Gazette Linux n°186 — juin 2011

par Henry Grebler(Copyright © 2011) henrygrebler@optusnet.com.au

traduction par Mohamed KRIFA(tous droits réservés) maktist@gmail.com

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FreeBSD - Une introduction pour les passionnés de Linux

By Henry Grebler

Avertissements

essayons d'écarter rapidement les rejets de notre chemin.

Ce sont mes propres impressions. Je n'ai pas de conexion avec les meneurs de FreeBSD.

J'ai commencé à utiliser freeBSD en Janvier 2010, un peu plus qu'une année.Je ne fut pas totalement étranger à FreeBSD, ayant déja fait un petit peu auparavant.Mais je n'ai pas utilisé FreeBSD aussi longtemps que mon usage de Linux.

Un peu d'histoire (Très peu)

Principalement, il existe 3 systèmes BSD et quelques variations mineures. Ces principeaux sont FreeBSD, OpenBSD, NetBSD. Je ne peux pas vous dire en quoi ils diffèrent. Peut-être, ils sont les analogues de Redhat, Debian et SUSE. Parmi les 3, FreeBSD est la distribution la plus populaire.

NetBSD et FreeBSD ont commencé avec la base même du code initial aux alentours de 1993. OpenBSD est une bifurcation récente de NetBSD. Avec différents degrées ,le code précurseur de FreeBSD est utilisé en Microsoft Windows, Darwin (Mac OS X), Solaris.

Regarde et apprécit

Quelle impression vous éprouvez lors d'un usage quotidien de FreeBSD? L'evidente réponse est qu'il ressemble trop à Linux, Ou même n'importe quel autre Unix.

Les lecteurs de la Linux Gazette peuvent étre au courant de mon HAL (Henry Abstraction Layer); que j'utilise HAL pour cacher la différence entre les différentes platformes. Mais en réalité, j'avais besoin de faire quelques petits changements dans mon HAL pour l'adapter à FreeBSD.

Les utilisateurs Linux peuvent noter que certaines commandes standards n'ont pas précisément les mêmes options. ls dans FreeBSD n'est pas la méme que GNU.Par exemple, ils ont des interprétations conflictuelles pour l'option '-T'.Dans FreeBSD, '-T' produit une information complète sur le temps,mais pas aussi détaillée que "--full-time".

Cependant, FreeBSD inclut GNU ls que gls (/ usr / local / bin / GLS).

En plus Si vous voulez vraiment quelque chose de Linux, FreeBSD inclut la compatibilité binaire avec Linux, qui "permet aux utilisateurs de FreeBSD d'exécuter environ 90% de toutes les applications Linux sans aucune modification" (http://www.freebsd.org/doc/en_US.ISO8859-1/books/handbook/linuxemu.html).

Ainsi au sommet de gls, vous pouvez aussi avoir /usr/compat/linux/bin/ls. (Se sont 3 version de ls à la place d'une seule !)

Quelle est la différence?

$ /usr/compat/linux/bin/ls --version
ls (GNU coreutils) 6.12
Copyright (C) 2008 Free Software Foundation, Inc.
...

$ gls --version
ls (GNU coreutils) 7.5
Copyright (C) 2009 Free Software Foundation, Inc.
...

C'est probablement plus que vous n'aurez aimer savoir sur ls (ou n'importe quelle commande !)

En dernier recours, si vous avez un programme Linux, vous pouvez essayer de l'exécuter sous FreeBSD. Il ya une bonne chance que cela fonctionnera. Et ce n'est pas une émulation. Il fonctionne à vitesse native à peu près .

Les differences que j'ai noté

FreeBSD est sans bash. Mais,en réalité, sur FreeBSD /bin/sh est plus large que Bourne shell. Mais ce n'est pas bash.

Les standards binaires venant avec FreeBSD peuvent étre trouver sous /bin et /usr/bin. Généralement un logiciel étranger cherche dans /usr/local/bin.

Standard stuff that comes with FreeBSD can be found in /bin and /usr/bin. Alien software usually goes into /usr/local/bin. Vous pouvez installer bash et il se retrouvera dans / usr / local / bin .la plus part de mes scripts sont des Bourne shell; leur première ligne est toujours:

    #! /bin/sh

Cependant, j'ai quelques scripts bash qui ont tendance à avoir une première ligne telque:

    #! /bin/bash

Je suppose que j'aurais pu trouver une autre solution, plus simple, mais il semblait faire / bin / bash un lien symbolique vers / usr / local / bin. Certaines personnes peuvent étre étonnées, mais c'est mon système et mes régles.

su est quelque peu différent. FreeBSD a truss (pareil comme Solaris) plutôt que strace.

Le bien

Le grand nombre de paquets. FreeBSD dispose d'un nombre étonnant de paquets. En regardant mon système, j'ai estimé à près de 22.000 paquets disponibles ( je ne les ai pas tous installé !). Ce nombre est surestimé probablement à caue de certains d'entre eux qui ont à faire avec des langues différentes (arabe, chinois, français, allemand, hébreu, hongrois, japonais, polonais, portugais, russe, ukrainien, vietnamien). Mais même sans les langues, il y avait plus de 21.800 paquets.

Je ne suis pas intéressé par une de ces langues puisque je suis plus à l'aise en anglais. Mais je crois qu'il ya un grand nombre de personnes dans le monde qui seraient très reconnaissants d'être en mesure d'utiliser leur langue maternelle. Ce genre de chose ne devient un problème que lorsque la langue préférée est omis.

Il ya un tas de documentation. Et la documentation est bien faite.

J'aime l'idée qu'il existe un Master pour le FreeBSD Universe. Donc, personne ne peut changer le standard ou le framework. Mais, individuallement, Un usager peu étre capable de consevoir n'importe quelle modification - car, finalement, vous êtes encouragés à construire tout pour vous-même.

Le résultat est que vous n'obtiendrez jamais des conflits de bibliothèque dynamique. (Je l'ai fait une fois - c'est une longue histoire et un scénario inhabituel).

Il ya une appréciation de qualité, une attente que les choses vont simplement fonctionner. Chaque fois que quelque chose ne fonctionne pas pour moi, je suppose que c'était simplement une question de mon ignorance. Bien que ce soit en général une valeur sûre, il parle néanmoins long sur la qualité de FreeBSD.

il y'a quelques exceptions en marges.

Le Mauvais

Voici quelque chose que j'ai remarqué sur l'Internet:

        "... étant longtemps adepte Linux, je suis triste de dire que les ports/paquets FreeBSD sont vraiment déroutant pour moi."

J'admets, finalement que je maîtrise les paquets. Je reste confus vis a vis des ports. Je suis a la recherche d'un tutorial pour la gestion des ports. Il existe une pléthore d'outils similaire. Which one(s) should I use? What's best practice?

À leur plus simple expression, les paquets sont plus spécifiquement pkg_add et, un peu comme 'yum' . C'est comme "yum install" sans "yum list": il prend soin de l'installation, mais c'est un acte de foi jusqu'a combien il pourrait être téléchargé. Jusqu'à récemment, c'était une question FAI pour moi. C'est toujours un problème pour une autre raison. Si j'installe openoffice à l'aveuglette, je finirais par le remplissage du disque. "yum list" me donne une idée de ce que ça implique avant que je m'engage.

Il existe un autre agacement, disant que vous voulez lancer Firefox, sa marche sans problèmes. Mais vous ne pouvvez pas vous rendre sur le site du fire fox a fin de telecharger la dernière version. Les choix existent seulement pour Windows, Mac OS X et linux avec différents languages. Donc il faut la télécharger comme un package ce qui fait un grand telechargement pour pkg_add qui prend en compte les dependances exactement comme yum.

Bien votre Firefox fonctionne normalement et vous êtes heureux, jusqu'au moment d'aller , disant, sur YouTube ou n'importe quel site qui nécisite des extentions. faisant encore des précisions: Jusqu'au moment ou vous avez besoin d'un plugin qui utilise un code binaire approprié. Comme Adobe Flash. Est-t-il libre ? Non, monsieur. Il est clair qu'une solution est nécessaire. La solution est plutôt alambiquée:

(Depuis http://www.freebsd.org/doc/handbook/desktop-browsers.html)

6.2.3 Firefox and Macromedia® Flash Plugin

Macromedia® Flash plugin is not available for FreeBSD. However, a
software layer (wrapper) for running the Linux version of the plugin
exists. This wrapper also supports Adobe® Acrobat® plugin,
RealPlayer® plugin and more.

Now before you start laughing, let me say that I encountered a similar problem when I ran a 64-bit version of Firefox on CentOS at work (on a 64-bit machine). The Firefox works, but I couldn't get any plugins to work because there was no 64-bit Flash plugin. I don't understand why it couldn't run a 32-bit plugin, but there it is.

Maintenant, avant de vous mettre à rire, laissez-moi vous dire que j'ai rencontré un problème similaire quand j'ai tourné une version 64 bits de Firefox sous CentOS au travail (sur une machine 64-bit). Le Firefox fonctionne, mais je ne pouvais pas avoir aucun des plugins en fonction parce qu'il n'y avait pas de plug-in Flash 64-bit. Je ne comprends pas pourquoi il ne pouvait pas tourner un plugin 32 bits. Au moin, j'étais capable de faire fonctionner Flash sous FreeBSD. Je peux donc voir la vidèo et entendre le son. C'étais une installation compliquée mais là c'est fait.

L'indiffèrent

Ne vous attendez pas que FreeBSD soit comme Microsoft Windows ou même Ubuntu. Vous êtes censé savoir ce que vous faites. Sinon, vous pouvez consulter l'aide. Mais vous ne serez pas guidé de la façon dont Microsoft ou Apple le font. Personnellement, c'est ce que je préfère. J'aime ma plates-forme avec un usage un peu antagoniste.

Par default, FreeBSD utilise ufs qui est différent de ext2 ou ext3. Et il parle de tranches au lieu des partions. Alors pour installer FreeBSD, vous utilisez un outil (comme fdisk) pour partionner le disque. Quelle que soit la partition que vous allouer à FreeBSD, il découpera cette partition en plusieurs morceaux. Ainsi, par exemple, j'ai alloué la partition 3 du second disque (/ dev/ad1s3) sous FreeBSD:

    Device Boot    Start       End    Blocks   Id  System
/dev/ad1s3   *     10608     25846   7680456   a5  FreeBSD

(J'ai omis les autres partitions).

Voici le résultat d'un df:

Filesystem                         Size     Used    Avail Capacity Mounted
/dev/ad1s3a                        372M     268M      74M  78% /
/dev/ad1s3e                        310M     117M     168M  41% /tmp
/dev/ad1s3f                        4.9G     3.5G     1.0G  78% /usr
/dev/ad1s3d                        558M      51M     462M  10% /var

FreeBSD utilise le terme "tranche". Il a pris la partition que j'ai donné (/ dev/ad1s3) et l'a découpée en tranches (/ dev/ad1s3a, / dev/ad1s3b, etc.)

La bonne nouvelle est que FreeBSD est compatible avec ext2. Donc, quand j'ai manqué de place dans ma partition FreeBSD, j'ai simplement monté une certaine partition Linux. En outre, FreeBSD comprend non seulement NFS, je pense qu'il a écrit le livre original sur lui. Je suis donc en mesure d'exécuter à la fois Linux et FreeBSD et monter les lecteurs soit sur l'un ou l'autre et être sur n'importe quelle machine sans se rendre compte des différences.

Je ne connais pas les mérites relatifs entre ufs et ext2. Il semble ussi que FreeBSD comprend tous les FS : ext2/ext3/ext4. je me demande pourqouoi j'utilise ext2 et non pas ext3.

Pourquoi j'ai choisi FreeBSD?

Bonne question à la fois difficile

J'étais entrain d'essayer de résoudre un problème, même plusieurs

Mon premier problème est que j'execute un environement idiosyncrasique. Pourquoi?

Imaginez que vous avez une voiture. Je suppose que ce n'est pas un exercice difficile pour la plupart des gens. Admettons, pour les fins de cet exercice, que vous n'êtes pas un tête en l'air. Vous n'êtes pas particulièrement intéressé par les voitures en soi. Vous êtes un peu comme ma femme: vous voulez entrer dans votre voiture et arriver à votre destination. Le seul choix que vous avez, c'est la couleur de la Décoration.

Donc, après un laps de temps il est temps de remplacer votre voiture. Mais le dernier modèle n'a pas les mêmes contrôles que votre précédente voiture. Le controle des roues? Non, nous n'avons plus aucun de ces controles. nous avons reçu ce nouveau gadget. c'est foutu; et quand tu veux te diriger, tu reste à tourner en rond. sons bizarres, mais vous allez bientôt s'habituer à eux. Actuellement, Ce n'est pas vraiment mieux qu'un volant, mais c'est le dernier qui existe.chaqu'un voudrait un. Ils ont été tous ennuyer par des roux de direction. Freins? Oui, nous avons un nouveau système de freinage. Nous nous en tenons un gadget dans votre oreille ...

TC'est ce que les nouvelles versions de distributions ont envie de moi. J'ai voulu mettre à jour Fedora de 5 à 10. je l'avais dèja fait pour passer du 2 au 5. Mais la version 10 était un grand travail. Sorti de null part, les nom de disques ont changé. Mon Fedora 5 (dont j'exécute toujours) est en référence avec /dev/hda. Fedora 10 décide de le renomer /dev/sda.Peut-être que je suis naïf, mais je ne m'attends pas à des changements gratuits comme celui de FreeBSD.

Chaque nouvelle rev de Emacs introduit des changements incompatibles

je ne suis pas programmable afin que je puisse apprendre de nouveaux trucs. pas ces sortes de nouveaux trucs ... Un de mes ordinateurs doit être du pain et du beurre, invariable de jour en jour.Je ne veux pas passer mon temps à apprendre au monde l'idée d'une meilleur éditeur. C'est un éditeur! Je veux juste l' celui que je faisais hier.Pas mieux, pas pire, pas différent.JE NE VEUX PAS DE NOUVELLE FONCTIONNALITES.Si vous voulez faire cela, voici une idée: prenez emacs-classique et un nouveau-emacs. Mettez tous vos changements en nouveau-emacs et laissez le classique tel qu'il est. A vous de jouer, volontaire?

Chaque fois qu'ils font mieux, ils aggravent la situation. Cela est vrai pour Solitaire et aspell et ... la liste est longue.

Et ces changements gratuits ont toujours un cout. J'ai exécuté Slackware sur une 16 Mo 100Mhz Pentium1.J'ai essayé d'installer Fedora 10 sur une machine de rechange et j'ai eu des problèmes intermittents. Après un certain temps, je les avais résolus. Après un petit moment je me suis rendu compte. je viens de remarqué que dans certains documents Fedora ne serait plus fonctionel avec 256 Mo, il avait besoin d'un minimum de 512 Mo. Alors j'ai jonglé avec ma machine, j'ai ajouté de la mémoire supplémentaire depuis une autre machine (morte).

J'ai décidé de ne jamais aimer cette notion de réalisation. D'autant plus que Fedora est engagé à produire une nouvelle version chaque année.je souhaitais ne pas avoir une catastrophe s'il n'y avait aucun respect pour l'arrière compatibilité. Mais non, tout le monde est convaincu par l'hypothèse disant que le plus récent et le dernier sera nécessairement le meilleur.

J'ai demandé autour. Gentoo et Arch Linux ont été proposés presque comme des solutions à mes problèmes. J'ai compris qu'ils sont plus dans l'idée de tout simplement permettre au système de mise à jour de façon organique. Si vous avez besoin de la dernière version d'une application X, il suffit d'aller la chercher. Ils sont partir loin de l'idée des versions discretes.Bien sûr, si vous voulez discrettement, vous obtiendrez la dernière version. Mais vous ne serez pas pénalisés pour l'exécution d'une ancienne version. Peut-être que j'ai mal compris.

j'ai essayé la méthode de Arch mais j'ai trouvé des problèmes pour récupèrer l'information. L'idée est éventuellement possible, mais je me sentais vraiment isolée.

Monsieurs Madames, les lecteurs savent peut-être l'historique de mes fichiers et mes dossiers, ce que je fais sur les machines que j'administre. Voici une note de la journée ou j'ai installé FreeBSD:

La documentation est excellente,soit disant.

Et qui dit tout cela sans doute, J'ose dire que j'ai rencontré les mêmes problèmes avec FreeBSD que j'ai fait avec mon architecture. Mais, avec FreeBSD, j'ai pu obtenir des réponses.

J'espère trouver la source d'une très vieille version d'emacs, de la faire tourner. Et la garder pour toujours. Parce que rouler à votre propre est encouragé avec FreeBSD.

Cela ne veut pas dire que je n'ai pas abandonné Linux tout à fait. Récemment, j'ai eu la puissance d'alimentation des problèmes avec cette machine. Après avoir remplacé l'alimentation, la machine ne démarre pas. J'ai essayé de courir en direct FreeBSD à partir d'un CD, mais je n'ai pas pu obtenir un environnement qui me permettrait d'examiner les disques.

J'ai démarré Fedora live et bientôt les choses sont sous contrôle.

J'ai KVM / QEMU fonctionne sous FreeBSD. Ma prochaine étape pourrait être de prendre ma Fedora 5 machine et virtualiser. J'ai déjà une machine virtuelle XP (que je n'ai pas retourné à prouver après je pouvais le faire), une architecture, plus tard, version de FreeBSD. Et le premier que j'ai jamais couru Linux, une Slackware à partir de 1995.

Quelques observations aléatoires

FreeBSD est confortable avec ext2/ext3/ext4 mais mon Fedora 10 n'est pas très confortable avec ufs. Quand tout fonctionne bien, ces choses peuvent être beaucoup similaires . Quand il s'agit de la récupération, veillez à ce que vous souhaitez. Je ne pouvais pas avoir accès à certains de mes tranches UFS à partir de Fedora 10 - ainsi, en réalité, seulement 1 - mais pas le reste. Il ne s'agit pas normalement d'une contrepartie, mais peut-être qu'il devrait être.

Un argument similaire pourrait, peut-être, être appliqué à d'autres systèmes de fichiers moins courants ou plus raffiné: Reiser, xfs, zfs, LVM. En fait, il ya quelque temps, j'ai eu des problèmes similaires avec LVM.

Résumé

Aucune plate-forme n'est parfaite. Le mieux que je puisse espérer une plate-forme qui est ajustable raisonnablement, en particulier pour le style dans lequel elle fonctionne. J'ai fini par trouver que Fedora est devenu trop concernée avec le regard et la sensation ayant aussi expédié des fonctionnalités aux utilisateurs de seconde classe.

Je pense que FreeBSD fournit un environnement confortable pour le clavier, vidéo, souris et audio. Pour le reste, il ya des machines virtuelles.

References:

http://en.wikipedia.org/wiki/Bsd
http://en.wikipedia.org/wiki/FreeBSD


Henry a passé son temps à travailler avec des ordinateurs, principalement pour les fabricants d’ordinateurs ou les développeurs de logiciels. Ses premières expériences de l’ordinateur comprenent des vestiges tels que des cartes perforées, ruban de papier et ruban de mag. C’est son secret le plus sombre qu’il a été payé pour faire ce genre de choses, il aurait versé de l’argent pour être autorisés à le faire. Il en parler sauf à ses employeurs.

Il a utilisé Linux comme système d’exploitation puisque la famille a obtenu son premier PC en 1996. à l’époque, lorsque la famille a partagé un PC, c’est un programme d’installation de Windows/Slackware dual-boot. Maintenant que chaque membre a son propre ordinateur, Henry survit d’une certaine manière dans un monde purement Linux.

He has used Linux as his personal home desktop since the family got its first PC in 1996. Back then, when the family shared the one PC, it was a dual-boot Windows/Slackware setup. Now that each member has his/her own computer, Henry somehow survives in a purely Linux world.

He lives in a suburb of Melbourne, Australia.


Adaptation française de la Gazette Linux

L'adaptation française de ce document a été réalisée dans le cadre du Projet de traduction de la Gazette Linux

Cet article est publié selon les termes de la Open Publication License. La Linux Gazette n'est ni produite, ni sponsorisée, ni avalisée par notre hébergeur principal, SSC, Inc.

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