En route avec Linux

Linux pour portables, Notebooks, PDA, téléphones portables et autres appareils portables

Version 3.18

10-10-2005

Historique des versions
Version 3.182005-10-10wh
Some URLs have been updated, spelling has been corrected, minor changes have been made.
Version 3.17.12005-09-28sh
A technical and a language review have been performed by Sebastian Henschel. Numerous bugs have been fixed and many URLs have been updated.
Version 3.172005-08-28wh
Some more tools added to external monitor/projector section, link to Zaurus Development with Damn Small Linux added to cross-compile section, some additions about acoustic management for hard disks added, references to X.org added to X11 sections, link to laptop-mode-tools added, some URLs updated, spelling cleaned, minor changes.
Version 3.162005-07-15wh
Added some information about pcmciautils, link to SoftwareSuspend2 added, localepurge for small HDDs, added chapter about FingerPrint Readers, added chapter about ExpressCards, link to Smart Battery System utils added to Batteries chapter, some additions to External Monitors chapter, links and descriptions added for: IBAM - the Intelligent Battery Monitor, lcdtest, DDCcontrol updated Credits section, minor changes.

Résumé

Les appareils électroniques mobiles (ordinateurs, téléphones et lecteurs audio et vidéo portables, appareils photo numériques, calculatrices, portatifs, ...) sont différentiels des ordinateurs de bureau. Ils utilisent un matériel qui leur est particulier comme les cartes PCMCIA, les ports infrarouges et BlueTooth, le réseau local sans fil, les écrans LCD, les batteries, les stations d'amarrage. On ne peut pas changer aussi facilement les éléments matériels, comme la carte graphique par exemple, que sur un ordinateur de bureau. Souvent la partie matérielle est plus limitée (par exemple l'espace disque, la vitesse du microprocesseur). Bien que l'écart de performances avec les ordinateurs de bureau diminue, dans de nombreux cas, les portables ou Notebooks peuvent servir à remplacer un ordinateur de bureau.

La compatibilité du matériel sous Linux (et autres systèmes d'exploitation) et des ordinateurs mobiles est parfois plus limitée (par exemple les chips graphiques, les modems internes). Ils utilisent souvent un matériel spécialisé, et par conséquent leur trouver un pilote peut être plus difficile. Souvent ils sont utilises dans des environnements en cours d'évolution, on doit donc utiliser plusieurs configurations et de nouvelles stratégies de sécurité.

Bien qu'ils existent déjà des guides pratiques pour les portables, Notebooks, PDA et téléphones portables, ce guide contient un aperçu concis de documents traitant des systèmes d'information. Des informations concernant plus particulièrement Linux y sont données, comme les méthodes d'installation pour portables, Notebooks et PDA ainsi que les configurations pour différents environnements (de réseau).

Et malgré certaines réserves, Linux est un meilleur choix pour les portables que la plupart des autres systèmes d'exploitation. Parce qu'il est compatible avec de nombreuses méthodes d'installation et qu'il fonctionne sous beaucoup d'environnements hétérogènes et nécessite moins de ressources.

The printed version includes an additional part "Lectures, Presentations, Animations and Slideshows".


Table des matières

Préface
1. À propos de l'Auteur
2. Parrainage
2.1. Comment et pourquoi parrainer?
2.2. Liste des parrains
3. À propos de ce document
3.1. Les URL dans ce document
3.2. Dernière version, miroirs
3.3. Traductions proposées
4. Contact
5. Droits d'auteur et Marque déposée
I. Portables et Notebooks
1. Quel ordinateur portable acheter?
1. Introduction
2. Portables, Laptops/Notebooks, Sub/Mini-Notebooks, Palmtops, PDAs/HPCs
2.1. Portables
2.2. Portables/Notebooks
2.3. Ordinateurs ultra portables/Mini-Notebooks
2.4. Palms
2.5. Assistants personnels (PDA)/Ordinateur de main (HPC)
2.6. Portatifs
3. Fonctionnalités Linux
4. Principales caractéristiques matérielles
4.1. Poids
4.2. Écran
4.3. Batteries
4.4. Processeur
4.5. Nombre de périphériques de stockage
4.6. Refroidissement
4.7. Qualité du clavier
4.8. Prix
4.9. Alimentation
5. Sources pour plus d'informations
6. Vérification de la compatibilité avec Linux
6.1. Documentation sur le sujet
6.2. Méthodes de vérification en général
7. Écrire un pilote pour périphériques
8. Acheter un portable d'occasion
9. Recommandation non matérielle
10. Enquête sur les fournisseurs de portables et de PDA sous Linux
2. Distributions pour Portables
1. Configurations requises
2. Recommandations
3. Installation
1. Documents sur le sujet
2. Pré requis : BIOS, options de démarrage, partitionnement
2.1. BIOS
2.2. Options de démarrage
2.3. Partitionnement
3. Outils pour Linux de réparation de disque dur
3.1. GNU parted
3.2. ext2resize
3.3. fixdisktable
3.4. Avertissements
3.5. Multi Boot
4. Méthodes d'installation de portable
4.1. À partir d'une disquette de démarrage plus un CD/DVD-ROM - la manière traditionnelle
4.2. From a CD/DVD-ROM - The Usual Way
4.3. A partir une partition DOS ou Windows disponible sur la même machine
4.4. A partir d'une deuxième machine avec un micro Linux sur disquette
4.5. A partir d'une deuxième machine avec un adaptateur de disque dur 2,5 pouces
4.6. A partir d'un périphérique PCMCIA
4.7. Depuis un lecteur ZIP sur port parallèle
4.8. A partir d'un lecteur CD sur port parallèle (MicroSolutions BackPack)
4.9. A partir d'un port parallèle en utilisant une seconde machine
4.10. A partir d'un périphériques de stockage USB (clé, CD, DVD, disquette)
II. Gros plan sur le matériel
4. Gros plan sur le matériel : processeur, affichage, clavier, son, etc.
1. Le son
1.1. Vérification de la compatibilité Linux
1.2. Documentation sur le sujet.
1.3. Pilotes audio generalises
1.4. Cartes son supplémentaires
1.5. Les lecteurs CD internes et externes.
2. Le clavier
2.1. Vérification de compatibilité Linux
2.2. Le clavier externe (secondaire)
3. Les touches spéciales
3.1. Documentation en rapport avec le sujet
3.2. Utilitaires
4. La touche fonction
5. La touche de mise sous tension (Power)
6. Les diodes (LED) supplémentaires
7. Le pavé numérique.
8. Dispositifs de pointage. Les souris et leurs semblables.
8.1. Vérification de compatibilité Linux
8.2. Documentation relative à ce sujet
8.3. Les différentes espèces de souris
8.4. Les souris PS/2
8.5. Le Touchpad (souris tactile)
9. Le ACPI
9.1. Documents sur le sujet :
9.2. Informations sur le ACPI
10. unité de gestion de l'alimentation [Power Management Unit]
11. Batteries
11.1. Support Smart Battery.
12. La mémoire
13. Les périphériques Plug-and-Play (PnP)
14. Réplicateurs de port/Stations d'accueil
14.1. Définitions
14.2. Autres solutions
14.3. Méthodes de connexion des stations d’accueil
14.4. Les duplicateurs de port USB universels
15. Network Connections
15.1. Related Documentation
15.2. Méthodes de connexion
15.3. Wake-On-LAN
16. Modem incorporé
16.1. Types de modems
16.2. Quelques réserves
17. Le GPRS
18. Le SCSI
18.1. Vérification de compatibilité Linux
18.2. Documentation sur le sujet
18.3. Enquête
19. Universal Serial Bus - USB
19.1. Vérification de compatibilité Linux
19.2. Divers
20. FireWire - IEEE1394 - i.Link
21. Le lecteur de disquettes
21.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
22. Les lecteurs optiques(CD/DVD)
22.1. Les CD-ROM
22.2. CD-RW
22.3. Le lecteur DVD
23. Le disque dur
23.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
23.2. Utilitaires
23.3. Divers
23.4. Facteurs de forme
23.5. Outils des fabricants
24. Périphériques permutables à chaud (MultiBay, SelectBay, ..)
25. Réseau sans-fil – WLAN
25.1. Documentation sur le sujet
25.2. Introduction
26. BlueTooth
27. Port infrarouge
27.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
27.2. Documentation sur le sujet
27.3. Configuration de l'IrDA® - Survol
28. Le lecteur d'empreintes digitales
5. Accessories: PCMCIA, USB and Other External Extensions
1. Les cartes PCMCIA
1.1. Les familles de cartes
1.2. Vérification de compatibilité Linux
2. Cartes Express ExpressCards
3. SmartCards
4. Les cartes SDIO
5. Composantes mémoire - RAM et cartes Flash
6. Les clés USB [Memory Stick]
7. Lecteurs de cartes pour SD/MMC/Memory Stick
7.1. Lecteurs externes
7.2. Lecteurs internes
8. Périphériques USB
8.1. Périphériques Ethernet
8.2. Clés électroniques [Dongles] BlueTooth
8.3. Duplicateurs de port/ Stations d'accueil
9. Imprimantes et scanners
9.1. Enquête sur les imprimantes et scanners portables
9.2. Les scanners et les logiciels OCR
9.3. La connectivité
10. Périphériques série
10.1. Adapteur série pour PDA Keyspan
11. Périphériques de stockage externe
11.1. Disques durs externes
12. Puissance et câble d'alimentation de téléphone!!!!Prises électriques et téléphoniques, alimentation électrique
13. Les sacs et les valises
III. Le noyau
6. Histoire du noyau
1. Kernel 2.4
1.1. PCMCIA
1.2. Gestion de l'énergie
1.3. Branchement à chaud
2. Noyau 2.6
2.1. PCMCIA
3. Configuration du noyau pour les ordinateurs portables
IV. Sur la route
7. Différents Environnements
1. Documentation en rapport
2. Outils de configuration
2.1. NetEnv
2.2. Gestionnaire de profil de configuration système - SCPM
2.3. ifplugd
2.4. divine
2.5. IP mobile
2.6. DHCP/BootP
2.7. Options PPPD
2.8. /etc/init.d
2.9. PCMCIA - Profils
2.10. Programmes de démarrage
2.11. X-Windows
2.12. Informations supplémentaires
3. E-Mail
3.1. Introduction
3.2. Le courriel avec UUCP
3.3. MailSync
4. Transfert de données entre différentes machines (synchronisation)
4.1. Matériel utile
4.2. Logiciels utiles
5. Connexions aux serveurs
6. Sécurité dans différents environnements
6.1. Introduction
6.2. Principes de sécurité
7. Protection contre le vol
7.1. Méthodes pour protéger ses données
7.2. Méthodes pour protéger le matériel
7.3. Le Jour d'Après
7.4. Documentation
8. Que faire des périodes d'inactivité (les tâches cron)
9. Imprimer des documents lors de deplacements
10. La lutte contre le bruit
10.1. La console (shell) et le X11
10.2. Le PCMCIA
10.3. L'USB
10.4. Branchement à chaud
10.5. Le ventilateur
10.6. Le dique dur
10.7. Applications diverses
8. Les solutions en informatique mobile
1. Introduction
2. Analyseur mobile de réseaux
3. Routeur mobile
4. Piratage et intrusion sur les réseaux
5. Acquisition des données et mobilité
5.1. Documentation sur le sujet
5.2. Applications
5.3. Environnements particuliers
6. Le bureau nomade
7. Connexion à un appareil photo numérique
8. Connexion à QuickCam (Vidéo)
9. Connexion à un téléviseur
10. Connection avec un téléphone mobile
11. Connection au Système de Guidage par Satellite (GPS)
12. Connection par Radio Amateur
13. Observation des satellites
14. Aviation
15. Utilisateurs aveugles ou mal voyants
V. Annexes
A. Autres Systèmes d'Exploitation
1. Microsoft DOS et Windows
1.1. Introduction
1.2. Les outils DOS pour repartitionner un disque dur
1.3. Partage de partition
1.4. Installation sans lecteur de CD
1.5. Divers
2. BSD UNIX
3. OS/2
4. NOVELL Netware
5. Debian GNU/Hurd (hurd-i386)
B. Autres documentations
1. Principales documentations web
2. Listes de diffusion
2.1. Listes générales
2.2. Listes dédiées à une distribution Linux
2.3. Liste dédiées à un ordinateur portable ou à un fabricant
3. Les newsgroups USENET
3.1. Les newsgroups Linux
3.2. Les newsgroups PDA et les canaux IRC
3.3. Newsgroups X Window System
3.4. Les newsgroups Matériels
4. Les lettres d'information, les canaux RSS
5. Les magazines
6. Informations générales sur les ordinateurs portables
C. Réparer du matériel informatique
D. Enquête sur les Micro Linux
E. Travailler avec des ressources limitées ou faire des réglages[tuner ]
1. Documentation sur le sujet
2. Introduction
3. Espace limité
3.1. Introduction
3.2. Techniques
4. Vitesse du disque dur
5. Mémoire vive limitée
5.1. Documentation sur le sujet
5.2. Les techniques
6. Processeur trop lent
7. Techniques d'économie d'énergie
8. Le noyau
8.1. Documentation sur le sujet
9. Mini programmes et distributions
10. L'amélioration du matériel
F. Les ordinateurs portables et l'écologie
1. Comparaisons des ordinateurs sur le plan écologique
G. Les chipsets graphiques NeoMagic, série NM20xx
1. Introduction
2. Textmode 100x37
2.1. Étude
2.2. Plus en détails
2.3. Feuille de route
H. Bibliographie avec annotations : livres pour les nomades du Linux
I. Documentation sur certaines marques d'ordinateurs portables
1. COMPAQ Concerto Aero
2. DELL
3. IBM™ ThinkPad
4. Sony VAIO
5. Toshiba
J. Remerciements
K. Copyrights
1. Copyrights
2. GNU Free Documentation License - GFDL
2.1. 0. PREAMBLE
2.2. 1. APPLICABILITY AND DEFINITIONS
2.3. 2. VERBATIM COPYING
2.4. 3. COPYING IN QUANTITY
2.5. 4. MODIFICATIONS
2.6. 5. COMBINING DOCUMENTS
2.7. 6. COLLECTIONS OF DOCUMENTS
2.8. 7. AGGREGATION WITH INDEPENDENT WORKS
2.9. 8. TRANSLATION
2.10. 9. TERMINATION
2.11. 10. FUTURE REVISIONS OF THIS LICENSE

Liste des illustrations

E.1. Capture d'écran de blackbox.

La vie est le premier don, l'amour le deuxième, et la compréhension le troisième.

Les gens ont une préférence soit pour les ordinateurs portables, soit pour les ordinateurs de bureau. J'aime mieux travailler avec les portables qu'avec les ordinateurs de bureau. Mon premier guide pratique a été le Linux-Infrared-HOWTO portant sur la compatibilité de Linux avec l'infrarouge. Mon deuxième est celui-ci et mon troisième le Linux-Ecology-HOWTO qui propose quelques méthodes écologiques pour l'utilisation de Linux.

J'ai également écrit quelques pages sur Linux pour tous les portables sur lesquels j'ai pu installer Linux. On peut les trouver sur TuxMobil Linux Laptop and Notebook Survey.

Au cours de mon travail sur le Linux-Mobile-Guide j'ai également collecté quelques enquêtes sur le matériel des ordinateurs portables : chips graphiques, les cartes PCMCIA compatibles (celles qui ne le sont pas officiellement), les modems internes, chips infrarouges et autres matériels.

En mai 2000 j'ai créé le revendeur allemand Xtops.DE: Linux, Laptops, Notebooks, PDAs pre-installed, pour parrainer le projet TuxMobil.

C'est une documentation libre. Elle est distribuée dans l'espoir qu'elle sera utile, mais sans aucune garantie. L'information contenue dans ce document est correcte à ma connaissance, mais des erreurs sont toujours possibles, ne suivez donc pas tout aveuglement, spécialement si cela semble faux. Il n'y a rien ici qui puisse nuire à votre ordinateur, mais je décline toute responsabilité en cas de dommages pouvant survenir du fait de l'utilisation des informations données ci-après.

Certains fabricants de portables n'apprécient pas de voir un portable casse avec un système d'exploitation autre que celui avec lequel il a été livré, et peuvent réinstaller MS Windows si le problème est matériel. Ils peuvent même annuler la garantie. Bien qu'à mon humble avis ce n'est pas légal et ou, en tout cas, pas très correct. Ayez toujours une sauvegarde de la configuration originale ainsi que de votre installation Linux si vous devez faire réparer votre portable.

Bien que j'espère que les marques déposées seront superflues parfois (vous pouvez voir ce que je veux dire sur Open Source Definition ), je déclare : Si certains termes sont des marques déposées, le contexte devrait faire apparaître clairement à qui elles appartiennent. Par exemple "MS Windows NT" implique que "Windows NT" appartient à Microsoft (MS). "Mac" est une marque déposée d'Apple Computer. Beaucoup des appellations utilisées par les fabricants et revendeurs pour que l'on reconnaisse leurs produits sont déclarées comme étant des marques déposées. Lorsque ces désignations apparaissent dans ce livre, et que je sais qu'elles ont le titre de marque déposée, les appellations sont imprimées en majuscules ou en initiales majuscules. Toutes les marques déposées appartiennent à leurs propriétaires respectifs.

Table des matières

1. Quel ordinateur portable acheter?
1. Introduction
2. Portables, Laptops/Notebooks, Sub/Mini-Notebooks, Palmtops, PDAs/HPCs
2.1. Portables
2.2. Portables/Notebooks
2.3. Ordinateurs ultra portables/Mini-Notebooks
2.4. Palms
2.5. Assistants personnels (PDA)/Ordinateur de main (HPC)
2.6. Portatifs
3. Fonctionnalités Linux
4. Principales caractéristiques matérielles
4.1. Poids
4.2. Écran
4.3. Batteries
4.4. Processeur
4.5. Nombre de périphériques de stockage
4.6. Refroidissement
4.7. Qualité du clavier
4.8. Prix
4.9. Alimentation
5. Sources pour plus d'informations
6. Vérification de la compatibilité avec Linux
6.1. Documentation sur le sujet
6.2. Méthodes de vérification en général
7. Écrire un pilote pour périphériques
8. Acheter un portable d'occasion
9. Recommandation non matérielle
10. Enquête sur les fournisseurs de portables et de PDA sous Linux
2. Distributions pour Portables
1. Configurations requises
2. Recommandations
3. Installation
1. Documents sur le sujet
2. Pré requis : BIOS, options de démarrage, partitionnement
2.1. BIOS
2.2. Options de démarrage
2.3. Partitionnement
3. Outils pour Linux de réparation de disque dur
3.1. GNU parted
3.2. ext2resize
3.3. fixdisktable
3.4. Avertissements
3.5. Multi Boot
4. Méthodes d'installation de portable
4.1. À partir d'une disquette de démarrage plus un CD/DVD-ROM - la manière traditionnelle
4.2. From a CD/DVD-ROM - The Usual Way
4.3. A partir une partition DOS ou Windows disponible sur la même machine
4.4. A partir d'une deuxième machine avec un micro Linux sur disquette
4.5. A partir d'une deuxième machine avec un adaptateur de disque dur 2,5 pouces
4.6. A partir d'un périphérique PCMCIA
4.7. Depuis un lecteur ZIP sur port parallèle
4.8. A partir d'un lecteur CD sur port parallèle (MicroSolutions BackPack)
4.9. A partir d'un port parallèle en utilisant une seconde machine
4.10. A partir d'un périphériques de stockage USB (clé, CD, DVD, disquette)

Les portables peuvent se diviser en plusieurs catégories. Cela se fait d'une façon subjective, mais je vais essayer. Mes regroupements suivent grossièrement les catégories généralement utilisées sur le marché. Les critères peuvent être :

En plus de ses caractéristiques Linux, il y a souvent certaines caractéristiques essentielles qui doivent être pris en considération à l'achat d'un portable. Pour les caractéristiques Linux voir Partie II, « Gros plan sur le matériel » Matériel en Détail ci-dessous.

Pour les détails sur les systèmes compatibles avec le noyau Linux, voir la FAQ sur le noyau Linux.

  1. i286: Linux n'est pas encore compatible avec cette famille de processeurs. Mais des essais sont faits par ELKS. Si vous le souhaitez, vous pouvez utiliser le Minixqui est également un système d'exploitation Unix libre. Minix est compatible avec les processeurs de 8088 à 286 avec seulement 640K de mémoire. En fait il existe quelques portables avec ELKS et MINIX.

  2. i386: Cela concerne les PC bases sur des processeurs compatibles avec Intel y compris les Intel 386, 486, Pentium, Pentium Pro et Pentium II, et les processeurs compatibles AMD, Cyrix et autres. La plupart des portables disponibles maintenant ont un processeur compatible avec Intel et présentent une compatibilité plutôt bonne avec Linux.

  3. m68k : Cela concerne les Amigas et Ataris ayant un processeur Motorola 680x0 avec X>=2; avec un MMU. Et les premiers ordinateurs Apple/Macintosh.

    Il y a eu une longue série de PowerBooks à Apple et autres portables bases sur le microprocesseur m68k. Le portable Macintosh (un premier 16 pouces, et il était moche); les PowerBooks 100, 140, 170, 145, 160, 180c, 165c, 520c, 540c, 550c, 190; Duo 210, 230, 250, 270c, 280. Les PowerBooks Duo étaient disponibles en même temps que les PowerBooks, ils étaient une sorte d'ultra portable, mais étaient conçus d'une manière que l'on pouvait les brancher sur une station d'amarrage (DuoDock) avec plus de RAM, de périphériques, etc. ils pouvaient ainsi servir d'ordinateur de bureau. Le premier PowerPc PowerBooks ont été le PowerBook 5300 ne sous une mauvaise étoile (après le 190) et le Duo 2300c.

    Pour une liste complète de tous les ordinateurs Macintosh jamais fabrique, avec leurs caractéristiques techniques, allez voir l' Historique d'Apple. Pour les rapports sur les installations de Linux allez voir l' etude sur Apple pour portables sous Linux.

    N'allez pas voir LinuxPPC pour la compatibilité matériel concernant les portables 68k, comme le nom l'indique, LinuxPPC est utile seulement pour les PowerPC. L'endroit le plus adapte pour trouver des informations sur la façon de faire tourner Linux sur un Macintosh m68k est linux-m68k.

    "A peu près comme les portables de l'univers Intel/Linux, les portables Mac ont généralement plusieurs configurations qui peuvent être très difficiles à discerner. En outre, en raison d'un manque général de machine à tester, nous savon seulement que les amorçages sont possibles sur Powerbook 145, Powerbook 150, Powerbook 170, Powerbook 180, and Powerbook 190. même s'ils démarrent, nous n'avons en ce moment aucune compatibilité pour ce qui est des ADB style PowerBooks, du support APM, ni quasiment rien d'autre d'ailleurs. Cela veut dire que le seul moyen de s'ouvrir une session est d'utiliser un terminal connecte à une interface série, cela a été teste sur le 170."

    "Plusieurs PowerBooks ont un IDE interne qui est compatible. Les pilotes PCMCIA sortiront le jour où quelqu'un pourra apporter les informations matérielles nécessaires pour écrire un pilote. Comme toujours, un FPU est également souhaite. Plusieurs des modèles récents ont le processeur 68LC040 sans le FPU, et plusieurs d'entre eux s'interrompent par rapport au mécanisme de dérivation du FPU, ainsi ils ne peuvent pas exécuter les binaires standards de Linux même avec l'émulation du FPU. L'état actuel des PowerBooks140, 160, 165, 165c, 180c, 190, 520 et desDuos 210, 230, 250, 270c, 280, et 280c est inconnu."

    Il existe également deux portables Atari, sur lesquels je ne possède pas assez d'informations. Les citations suivantes viennent de la Galerie Atari.

    "Le STacy est sorti peu après le Mega ST comme outil portable du secteur informatique d'Atari. Les ordinateurs Stacy sont construits avec un TOS v1.04.

    Conçu pour remplacer de fait le STacycomme ordinateur portable ST, le ST Book a apporte la puissance de calcul de base d'un ST dans un ordinateur portable léger. Cette machine n'est sortie qu'en Europe et Atari n'en a produit qu'une petite quantité. Le ST Book était équipe du TOS v2.06."

    après Stok, Leon <stok_AT_YIS.NL>: Le Stacey et le ST Book ne peuvent exécuter Linux puisqu'ils sont bases sur les microprocesseurs 68000 qui n'ont pas d'unité de gestion de mémoire MMU.

    De ce que je sais, Amiga n'a jamais produit de portable. Une société a fabriqué des kits pour convertir un Amiga de bureau en portables. Ils utilisent des cartes mères d'Amiga standard afin que n'importe quel Linux compatible avec un Amiga standard puisse être avec ces machines.

  4. PowerPC (PPC): Bien que la compatibilité pilote que l'ont trouve sous le Linux base sur Intel ne soit pas encore aussi étendue pour le PPC sous Linux, c'est un système totalement utilisable pour PowerBooks Macintosh. Voir LinuxPPC pour la liste actuelle des machines compatibles.

    D'ailleurs, équipe d' iMac Linux est parvenu à faire démarrer, et même à rendre utilisable, un iMac DV sous Linux. Vous devriez également pouvoir récupérer des informations sur l'iBook ici.

  5. Les architectures Aplha, Sparc, Sparc64: elles sont actuellement en construction. Autant que je sache, il n'y a que les portables Tadpole SPARC et ALPHA, et quelques autres portables ALPHA qui sont disponibles. NatureTech inclut également des processeurs CPARC dans ses portables. L'étude de TuxMobile sur les portables et notebooks sur Solaris peut également être utile.

  6. StrongARM: C'est un processeur qui consomme très peu énergie; il se trouve sur le NetWinder (qui a du succès et est aussi une sorte d'ordinateur portable) de Rebel.com's , il est activement soutenu dans le projet Debian et il est également dans plusieurs machines sous WinCE, comme les Jornadas de HP. Les caractéristiques techniques ne sont pas données, et c'est seulement cela qui empêche Linux être porte sur ces minuscules machines possédant une batterie de longue durée. Un portable complètement base sur un StrongArm ferait une superbe plateforme pour Linux.

    Pour les PDA avec un processeur ARM/StrongARM, allez voir la partie sur les Section 2.5, « Assistants personnels (PDA)/Ordinateur de main (HPC) »appareils à main ci-dessous.

  7. MIPS: Utilise dans les unîtes centrales SGI et dans les intranets Cobal Micro, les processeurs bases sur cette architecture sont utilises dans beaucoup de machines sous Windows-CE. Linux a été porte sur quelques uns d'entre eux.

  8. Processeurs AMD: On peut trouver plus d'informations sur les processeurs AMD en allant sur x86-64 org . Il existe également une étude sur les portables avec un processeur AMD sur TuxMobil.

  9. Processeurs 64bits : Une étude sur les portables avec un processeur 64bits existe sur TuxMobil.

Les caractéristiques techniques, les manuels et l'assistance fournie par les fabricants des informations depuis d'autres sources également :

  1. TuxMobil Linux Laptop and Notebook Survey, cette aide porte aussi sur d'autres Unix (par exemple BSD, Solaris).

  2. Linux on Laptops.

Informations générales sur de l'assistance fournie par les fabricants que vous pouvez trouver dans mon guide pratique Linux Status Survey of Laptop and Notebook Manufacturers , bien que je n'attende plus d'aide pour Linux. Dans certains cas la Matrix of OEM/ODM Relations peut aider à trouver des informations pour votre portable sous une marque différente.

Si vous ne pouvez pas trouver les informations nécessaires dans les sources mentionnées ci-dessus, vous allez devoir vous débrouiller tout seul. Heureusement, Linux a les moyens de vous aider de plusieurs façons. Pour plus d'information, consultez la section Partie II, « Gros plan sur le matériel » Matériel en détail ci-dessous. En général vous pouvez utiliser :

  1. En premier lieu le noyau lui-même. Recherchez quel type de matériel est détecté par votre noyau. Ces informations vous sont données pendant le démarrage ou par dmesg ou encore en regardant dans /var/log/messages. Pour les messages du tout premier démarrage voyez dans /var/log/boot.

  2. Si votre noyau est compatible avec le système de fichier /proc, vous pouvez obtenir des informations détaillées sur vos périphériques PCI grâce à la commande cat /proc/pci. Lisez la documentation du noyau pci.txt. Vous pouvez trouver d'autres informations à propos de périphériques PCI inconnus dans le Linux PCI ID Repository, la maison du fichier pci.ids. Depuis les noyaux 2.1.82, vous pouvez utiliser la commande lspci du paquetage pci-utils.

  3. Pour rechercher des informations sur les périphériques Plug-and-Play (PNP), utilisez isapnp-tools .

  4. Utilisez scsi_info écrit par David Hinds ou scsiinfo pour les périphériques SCSI.

Si vous ne voulez pas installer un Linux complet, vous pouvez rechercher ces informations en utilisant un mini Linux (voir Annexe A, Autres Systèmes d'Exploitation Annexe A). Le paquetage muLinux fournit même un petit programme systest et TomsRtBt est fourni avec memtest. Pour utiliser memtest , vous devez le copier sur une disquette dd if=/usr/lib/memtest of=/dev/fd0 et redémarrer à partir de cette disquette.

Si votre portable est fourni avec Windows, vous pouvez déterminer beaucoup des paramètres matériels à partir de l'installation. Redémarrez sous DOS ou Windows pour obtenir les informations dont vous avez besoin.

Pour obtenir les paramètres matériel en utilisant Windows9x/NT, vous n'avez qu'à démarrer sous Windows, puis faites then Démarrer -> Paramètres -> Panneau de Configuration -> Système -> Gestionnaire de Périphériques et notez toutes les informations, ou imprimez une copie écran en utilisant la touche <PRINT>, gardez également un journal des paramètres, du matériel, de la mémoire, etc.

En utilisant MS-DOS ou Windows3.1x, vous pouvez utiliser la commande msd, qui est un acronyme pour MicroSoft Diagnostics. Ou vous pourriez essayer un des nombreux utilitaire DOS disponibles comme logiciels contributifs : CHECK-IT, DR.HARD ou autres.

Il est parfois difficile de savoir quel constructeur a fabriqué la machine ou juste une partie. La base de données en ligne des homologations de matériels [FFC Online Equipment Authorization Database] de la FCC "Federal Communications Commission" peut être utilisée, si vous avez des problèmes à identifier le constructeur d'un portable ou d'un notebook (ou autre appareil électronique), ce site vous permet de chercher dans la base de données FFC basée sur les numéros d'identification FCC que vous pouvez trouver habituellement sur les équipement s'ils ont été commercialises des Etats-Unis d'Amérique.

Beaucoup de portables ne sont pas plus compatibles avec Windows qu'avec Linux. David Hinds, le codeur de pilotes PCMCIA d, fait remarquer que les notebooks Toshiba utilisent un processeur pont PCMCIA Toshiba propriétaire qui montre les mêmes bogues sous Windows que sous Linux. Les Thinkpads IBM™ont de sérieux problèmes de BIOS qui perturbent la communication d'événements vers le démon de gestion de la batterie apmd. Ces bogues affectent également MS Windows; on en trouve la liste dans la documentations d'IBM™ comme préoccupations.

Certaines incompatibilités sont temporaires, par exemple les portables qui ont un processeur USB Intel seront totalement compatibles avec l' USB.

Quelques recommandations pour vérifier un portable d'occasion, avant de l'acheter :

Autant que je sache il n'existe pas d'outil Linux comme l'outil DOS CHECK-IT, DR.HARD, SYSDIAG ou autres. Nombre de ces tests sont intègres à l'intérieur de ces outils. L'un des meilleurs à mon humble avis est PC Diagnostics 95 écrit par Craig Hart. En dépit du 95 de son nom, c'est carrément du DOS, minuscule (programme de 76KB et données de 199KB) sûr et gratuit. Malheureusement il ne contient pas de vérificateur pour le port IrDA®.

Notez cette citation de l'avis de non responsabilité : "Ce programme est écrit pour un public cible des techniciens qualifiés et expérimentes. Il n'est PAS conçu pour être utilisé par les personnes qui ne connaissent rien à l'entretien des ordinateurs. L'affichage n'est pas joli mais fonctionnel. Les informations ne sont pas expliquées car notre but n'est pas d'enseigner. Ce programme doit être considéré comme de l'outillage technique, ni plus ni moins. Il doit être utilisé avec soin, à bon escient, dans le but de trouver les réponses aux problèmes donnés. Si vous êtes un utilisateur qui ne se sent pas à l'aise avec la partie matériel des ordinateurs, ce programme n'est probablement pas fait pour vous."

Les ordinateurs portables, contrairement aux ordinateurs de bureau, s'usent rapidement. Les Lithium batteries sont bonnes pour 400 cycles de recharge pas plus, quelquefois beaucoup moins. Les Keyboards s'abîment. L'auto éclairage de écran LCD s'affaiblit. Les boutons de souris ne fonctionnent plus. Et pire que tout, les connecteurs lâchent à cause de vibrations, causant des erreurs intermittentes (rien qu'en tapant sur la touche <Enter> par exemple). On a entendu parlé d'une machine qui, rien qu'avec les secousses subies sur la tablette d'un train, s'est retrouvée hors d'usage en un voyage.

Vous pouvez consulter l' enquête sur les fournisseurs de portables, PDA et téléphones portables sous Linux sur TuxMobil si vous recherchez un revendeur dans votre pays. Certains d'entre eux vendent même des portables sans système d'exploitation Windows.

Il est souvent difficile d'obtenir des portables sans système d'exploitation Microsoft pré installe. Dans le cas où vous ne voulez plus l'utiliser vous pouvez lire quelques conseils et astuces pour vous débarrasser de l'impôt Microsoft. Si vous voulez acheter une machine récente, lisez les rapports d'installation de Linux pour portables et notebooks récemment disponibles.

Sur le Guide pratique Battery-Powered-HOWTO , j'ai récupéré ces recommandations (modifiées par WH):

Message aux distributeurs de Linux : S'il se trouve que vous êtes un distributeur de Linux, merci de lire ce qui suit. Les portables ont de plus en plus de succès, mais les distributions de Linux ne sont pas tout à fait prêtes pour les ordinateurs portables. Ce serait bien si vous faisiez quelques modifications dans votre distribution, du coup ce document n'aurait plus lieu être.

Le programme d'installation doit comporter une configuration optimisée pour les portables. L'installation minimaleest souvent trop volumineuse. Il y a beaucoup de choses dont un utilisateur de portable n'a pas besoin quand il est en déplacement. Voici quelques exemples. On n'a pas besoin de trois versions différentes de vi. Certains portables n'ont pas besoin d'avoir de support pour l'impression.

N'oubliez pas de décrire les problèmes d'installation spécifiques aux portablespar exemple comment installer votre distribution sans lecteur de CD/DVD.

Ajoutez une meilleure gestion de l'alimentation et un support continu pour le PCMCIA à votre distribution. Ajoutez un noyau recompile et un ensemble de pilotes PCMCIA de rechange avec un support apm afin que l'utilisateur puisse l'installer au besoin. Ajoutez un paquetage apmd pré compilé à votre distribution. Ajoutez également un support infrarouge IrDA® et un support USB.

Ajoutez un support pour changer dynamiquement de configuration réseau. La plupart des portables avec Linux sont utilisés dans différents lieux avec différentes configurations réseau (par exemple le réseau de la maison, du bureau, de l'université) et nécessitent le changement de leur identification réseau très souvent.

Ajoutez un numéroteur téléphonique PPP commode avec un carnet d'adresses qui n'essaie pas de lancer plusieurs copies du démon PPP si vous cliquez deux fois sur le bouton (par exemple l'outils usernet de RedHat). Il serait agréable que le composeur PPP affiche également la vitesse de connexion et quelques statistiques. Un bon composeur en ligne de commande : wvdial; il détecte automatiquement les modems et les services PPP . Il est fourni par OpenSourceInNitix.

Sur TuxMobil vous pouvez trouver un grand nombre de liens vers les rapports d'installation de Linux sur portables et notebooks. Ils sont classes par constructeur et distribution Linux. Il y a un classement particulier pour :

Quelques documentations sont disponibles dans differentes langues, par exemple :

Le Debian/GNU Linux a la plupart des fonctionnalités souhaitables pour une installation sur un portable. La distribution possède un outil d'installation relativement souple. La documentation sur le processus d'installation est assez complète spécialement en ce qui concerne les méthodes utiles pour les portables. Tous les fichiers binaires sont minuscules parce qu'ils sont réduits au strict minimum. Une liste de distribution debian-laptop comprenant une archive permettant de faire des recherches est fournie. De plus, Debian/GNU Linux est gratuit.

A la fin août 1999 la proposition pour une distribution Debian pour portable a été publiée. Quelques paquetages supplémentaires relatifs aux portables et un meta paquetage Debian dédié aux portables sont en cours de réalisation.

Note : Je sais que d'autres distributions de Linux fonctionnent également bien avec les portables. J'en ai même essaye plusieurs d'entre elles, lisez ce que j'ai écrit sur certains portables mentionnes plus haut.

GNU parted vous permet de créer, supprimer, redimensionner et copier des partitions. Il est actuellement compatible avec les systèmes de fichiers ext2 et fat (fat16 et fat32), les partitions Swap deLinux, et les disques de label MS-DOS, ainsi qu'avec les Macintosh et les PC98. Pour le système de fichiers NTFS voir ntfsresize .

ext2resize est capable de redimensionner (rétrécir ou agrandir) des systèmes de fichiers ext2 et ext3. Il vérifie que la nouvelle taille donnée par l'utilisateur est possible (c'est-à-dire si le système de fichier n'est pas trop rempli pour le rétrécir), il est lie au projet parted.

Quelque chose a été publie récemment sur la liste de diffusion <linux-kernel_at_vger.rutgers.edu>sur un programme de rétablissement de partition. Je ne l'ai ni utilise ni examine, et je n'ai pas lu grand chose dessus (à part sur la page HTML). Il pourrait être utile pour ceux d'entre vous qui ont des problèmes avec FIPS , Ranish Partition Manager/Utility ou Partition Magic qui détruisent les informations sur votre partition. Vous pouvez trouver des informations sur le réparateur de partition "fixdisktable" sur ces pages. Il faut vraiment aller chercher loin sur cette page.Ou recherchez le via ftp et trouvez le dernier "fixdisktable" dans ce répertoire FTP. (Les sources et les fichiers exécutables pour les distributions devraient être disponibles.)

Avant de repartitionner votre disque dur, faites bien attention à la disposition du disque. Regardez tout particulièrement les espaces de disques cachés ou certaines partitions utilisées pour le mode de mise en veille du disque ou hibernation et mise en veille prolongée. Quelques portables sont livres avec une partition contenant quelques programmes BIOS (par exemple COMPAQ Armada 1592DT). Recherchez soigneusement dans le manuel des outils comme PHDISK.EXE, Suspend to Disk, Diagnostic TOOLS.

Patrick D. Ashmore a récemment mis en circulation un utilitaire Linux pour préparer les partitions de mise en veille prolongée en vue d'une utilisation avec des portables et notebooks utilisant Phoenix NoteBIOS. "Cet utilitaire n'est pas nécessaire pour utiliser la fonctionnalité APM "Suspend-To-Disk" ... si vous avez déjà une partition de mise en veille prolongée valide, vous devriez pouvoir l'utiliser avec n'importe quel système d'exploitation qui supporte les suspensions APM.

Cependant, si le disque dur ou la mémoire sont mis à jour ou le disque dur redimensionne, on s'aperçoit que cela doit être fait sans la fonctionnalité suspend-to-disk ou bien en démarrant sous DOS et en utilisant le programme PHDISK.EXE fourni sur le portable ou directement par Phoenix Technologies.

Or, les utilisateurs de Linux ne sont pas touches par cette restriction. lphdisk est un utilitaire Linux qui prépare correctement ces partitions pour leur utilisation. Non seulement cela évite de démarrer sous DOS mais en plus mon utilitaire ne contient pas certains des bogues les plus méchants de son équivalent DOS."

Voir également le chapitre Outils DOS pour le repartitionnement de disque dur.

Voir le chapitre Chapitre 7, Différents Environnements Environnements différents qui donne des informations sur la façon de démarrer des systèmes d'exploitation différents à partir du même disque dur.

Extrait du guide pratique Battery-Powered-HOWTO : "Installer et utiliser Linux sur un portable ne pose généralement pas du tout de problème, lancez vous donc et essayez. Contrairement à d'autres systèmes d'exploitation, Linux est compatible et fonctionne toujours sur du très vieux matériel, vous pourriez donc donner un nouveau sens à la vie de votre portable démodé en y installant Linux."

L'un des grands atouts de Linux vient de ses fonctionnalités d'installation nombreuses et souples, que je ne détaillerai pas. Je me concentrerai par contre sur les méthodes spécifiques aux portables, qui sont nécessaires seulement dans certaines circonstances.

La plupart des distributions actuelles sont compatibles avec les méthodes d'installation qui sont utiles aux portables, cela va du CD-ROM, au PCMCIA en passant par le NFS (et peut-être le SMB). Voir les documents fournis par ces distributions pour de plus amples informations ou jeter un œil aux manuels et guides pratiques mentionnes ci-dessus.

Voici une brève description de la façon de faire une installation à partir d'un CD-ROM sous DOS sans avoir à utiliser le démarrage ou des disquettes supplémentaires. C'est particulièrement utile pour un notebook avec des composants disquettes et CD-ROM permutables (si les deux sont mutuellement exclusifs) ou s'ils ne sont disponibles que sur des périphériques PCMCIA. J'ai récupéré cette méthode sur Installing Debian GNU/Linux 2.1 For Intel x86 - Chapter 5 Methods for Installing Debian :

  1. Récupérez les fichiers suivants sur le miroir FTP Debian le plus proche et copiez les dans un répertoire sur votre partition DOS: resc1440.bin drv1440.bin base2_1.tgz root.bin linux install.bat et loadlin.exe.

  2. Démarrez sous DOS (pas Windows) en mode sans échec. Pour cela, vous devez appuyez sur <F8> au bon moment lors du démarrage.

  3. Exécutez install.bat depuis le répertoire où tous les fichiers ont été téléchargés.

  4. Redémarrez le système et installez le reste de votre distribution, vous pouvez maintenant utiliser toutes les fonctionnalités avancées comme le PCMCIA, PPP et autres.

Ceci doit marcher également avec d'autres distributions. Vous devrez peut-être cependant apporter quelques modifications appropriées.

A cause de leur encombrement faible voire nul, les micro Linux sont particulièrement adaptés pour être exécutés sur des portables, surtout si vous utilisez un portable fourni par votre entreprise fonctionnant sous Windows9x/NT ou en vue d'une installation à partir d'une autre machine ne fonctionnant pas sous Linux. Il y a plusieurs distributions micro Linux qui démarrent à partir d'une ou deux disquettes et tournent en mémoire RAM. Voir Annexe A, Autres Systèmes d'Exploitation la liste de ces distributions en annexe A.

Voici comment je m'y suis pris avec muLinux (disponible sur muLinux ) pour faire de mon OmniBook 800 de HP un clone du Armada 1592 de Compaq. Merci à Michèle Andreoli, responsable de la maintenance de muLinux, pour son soutien. Comme muLinux n'est pas encore compatible avec PCMCIA vous pouvez utiliser TomsRtBt à la place. En revanche TomsRtBt n'est pas compatible avec PPP mais fourni slip. Note : depuis la version 7.0 muLinux fourni un dispositif supplémentaire pour le PCMCIA.

J'ai décrit comment copier une partition déjà existante, mais il devrait également être possible de réaliser une installation personnalisée. Note : ce que l'on fera en général c'est de faire une installation via NFS, qui est compatible avec beaucoup de distributions. Ou si vos sources ne sont pas sur une machine sous Linux vous pourriez essayer le protocole SMB avec SAMBA qui est également compatible avec muLinux .

Comme je n'ai pas de portable ayant un lecteur de disquettes sur port PCMCIA (comme le Libretto 100 de Toshiba), je n'ai pas pu vérifier cette méthode. Voir le chapitre Booting from a PCMCIA Device dans le guide pratique PCMCIA-HOWTO. Je n'ai pas non plus vérifié si le démarrage avec un disque dur PCMCIA est possible.

En tout cas, si vous pouvez démarrer depuis une disquette et si le portable fournit un port PCMCIA, vous devriez pouvoir utiliser différentes cartes PCMCIA pour vous brancher à une autre machine, à un périphériques SCSI externe, à différents lecteurs CD ou ZIP et autres. Habituellement ces méthodes sont décrites dans la documentation fournie avec la distribution.

Le Vaio (PCG-Z600) de Sony est fourni avec un lecteur de disquette externe en USB et un lecteur de CD-ROM externe (PCMCIA). Vous pouvez démarrer depuis le CD-ROM, mais ensuite Linux ne reconnaît plus le même lecteur, vous ne pouvez donc pas lancer une installation depuis celui-ci. Vous devez ajouter le paramètre d'amorçage linux ide2=0x180,0x360 (ou 0x180,0x386?) à l'invite de démarrage de LILO si vous souhaitez que Linux reconnaisse votre lecteur de CD-ROM PCMCIA après que le noyau ait été amorce.

à n'ai pas pu vérifier cette méthode par moi-même car je ne dispose pas d'un tel dispositif. Consulter le guide pratique correspondant Install-From-Zip-HOWTO . Je ne sais pas non plus dans quelle mesure cette méthode est compatible avec les distributions Linux ou les micro Linux. J'image qu'il faut bidouiller un peu pour que ça marche.

Citation de Jeremy Impson <jdimpson_AT_acm.org>: j'ai installe Red Hat 6.1 sur un Libretto 50CT. Il n'a qu'un lecteur de disquette PCMCIA. (qui d'ailleurs est peu compatible avec le pilote de lecteur disquettes PCMCIA par défaut. Il a fallu que je télécharge un programme de correction pour Linux sur le site de Libretto.)

Toutefois, Linux se dégage du lecteur de disquette PCMCIA. Il lui est carrément impossible de revenir à la disquette une fois le noyau chargé. Mon Libretto (le 50CT) n'a qu'un seul port PCMCIA (des modèles plus récents en ont deux, mais j'aurais pu utiliser le réplicateur de ports amélioré, ce qui m'en aurait ajouté un autre). Je ne pouvais donc pas éjecter la disquette et ensuite monter un système de fichiers à distance.

J'ai donc téléchargé ZipSlack (un logiciel Slackware est fait pour fonctionner depuis un disque ZIP) et utilisé un autre PC pour le charger sur un disque ZIP. J'ai connecte le lecteur ZIP au Libretto (via le port parallèle sur le réplicateur de ports ordinaires fourni avec) et démarre depuis le disque d'amorçage Slackware dans le lecteur de disquettes PCMCIA. Une fois amorce, j'ai enlevé le lecteur de disquettes et insérer et configure une carte réseau PCMCIA. A ce stade, le noyau est dans la mémoire et utilise le système de fichiers présent sur le disque ZIP.

J'ai partitionné et formaté le disque dur du Libretto et téléchargé depuis un ftp les sources d'installation de la Red Ht 6.1 sur l'une des nouvelles partitions (celle qui deviendra /home quand tout sera fini). Mais attention! Si vous n'avez pas assez de place sur le disque pour avoir les fichiers d'installation et plus de quoi installer effectivement le système de fichiers, cette méthode ne fonctionnera pas.

J'ai fermé le noyau ZipSlack et l'ai redémarré en utilisant un disque d'installation RedHat dans le lecteur de disquettes. Je l'ai pointe sur le support d'installation Red Hat 6.1 déjà présent sur le disque dur puis j'ai démarré l'installation.

J'ai essayé moi-même d'installer Linux en utilisant le lecteur de CD sur port parallèle MicroSolutions BackPack. Il est entièrement compatible avec Linux, je n'ai pas eu de problème majeur à le faire tourner. Il est compatible grâce à son propre module (bpck) jusqu'à la version 2.0.36 tandis que dans les versions ultérieures il a été intégré dans les adaptateurs IDE de ports parallèles plus courants (le module paride qui donc bien sûr les transmet sur des pilotes bas niveau plus spécifiques, qui dans le cas du BackPack, s'appelle toujours bpck).

Dans les installations basées sur les RedHat 5.x, le module bpck est déjà disponible à l'étape d'installation, vous n'aurez donc plus qu'à sélectionner le cdrom BackPack dans Other CD-ROMs à l'étape d'installation puis lui ajouter quelques options (mais autoprobe devrait bien fonctionner).

Avec RedHat 6.x (qui utilise les noyaux 2.2.x et doit donc utiliser paride), la compatibilité de BackPack a été supprimée. Ainsi, pour installer cette distribution à partir de ce matériel-là, vous devrez adapter le disque de démarrage (en ajoutant les modules nécessaires) pour que l'installation se fasse sans problème.

Federico Pellegrin a adapté un disque de démarrage RedHat comprenant tous les lecteurs CD sur port parallèle qui sont compatibles avec la version du noyau de la distribution Linux (2.2.12) qui devraient donc fonctionner sur tous les lecteurs CDROM sur port parallèle compatibles (même si, n'ayant pas d'autre matériel similaire, il ne l'a testé que sur son MicroSolutions BackPack). Voici des informations là-dessus ainsi que sur l'image du disque de démarrage.

Depuis la RedHat 6.2, un disque de pilotes supplémentaires a été inclus dans la distribution pour rendre compatible les périphériques paride. Vous n'aurez qu'à créer le disque pilote (le fichier image est paride.img et on le trouve dans le répertoire images/driverscomme à l'habitude et insérer quand le programme d'installation le demandera.

Je suppose bien sûr qu'il n'y a aucun problème à installer tout autre distribution Linux en utilisant un tel périphérique tant qu'on peut ajouter et configurer les modules appropriés au tout début de l'étape d'installation, mais je n'en ai testée aucune.

Faites attention au mode utilisé par le port parallèle (ECP, EPP, Sortie seule, PS/2) car certains peuvent faire brusquement geler votre portable ou causer de graves corruptions de données. D'un autre côté, certains modules ralentissent notablement les communications (j'ai trouvé que la meilleure option pour mon portable était PS/2, mais vous devrez faire quelques tests).

Je dois ce chapitre à l'aimable autorisation de Federico Pellegrin. Voir également le guide pratique CDROM-HOWTO.

Avec l'aimable autorisation de Nathan Myers <ncm_AT_cantrip.org>: "Beaucoup de distributions sont compatibles avec l'installation par réseau, en utilisant les protocoles FTP, HTTP ou NFS. C'est de plus en plus courant pour un portable d'avoir un seul port PCMCIA déjà occupé par un lecteur pour la disquette de démarrage. Généralement l'image de la disquette de démarrage n'a de pilotes ni pour le lecteur de disquettes lui-même, ni pour le sous-système PCMCIA. Par conséquent, il se peut que la seule interface réseau disponible soit le port parallèle.

L'installation via le port parallèle en utilisant le protocole PLIP a été faite au moins sur Red Hat. Tout ce dont vous avez besoin c'est un câble parallèle Laplink; ils ne sont pas chers et on en trouve chez n'importe quel revendeur d'ordinateurs. Voir dans le guide pratique PLIP-HOWTO pour les indications concernant l'établissement de la connexion. Notez que l'installation de RedHat (uniquement) nécessite que l'autre bout de la connexion PLIP soit configurée pour utiliser ARP (apparemment parce que RedHat utilise le pilote DOS dans son installeur). Sur la machine hôte, vous devez soit exporter votre système de fichiers CD sur NFS, soit le monter là où le démon ftp ou web peut le trouver, selon les besoins de l'installation."

Dans son guide pratique PLIP Install HOWTO , Gilles Lamiral décrit comment installer une distribution Linux sur un ordinateur sans carte ethernet ni lecteur CD, rien qu'avec un lecteur de disquettes local et un serveur NFS distant connecté par un câble parallèle simulateur de modem.

Si le démarrage à partir d'un périphérique USB est compatible avec le BIOS, il est possible d'installer Linux à partir de ce lecteur. A part quelques vieux portables, pratiquement tous les portables équipés de ports USB sont compatibles avec cette fonctionnalité.

Vous devez premièrement configurer le BIOS pour démarrer sur un périphérique USB. Il est possible quelquefois d'utiliser une combinaison de touches particulière (par exemple : <ESC>) pendant le démarrage pour sélectionner le périphérique de démarrage.

Vous devez ensuite installer Linux sur le support de démarrage (disons une clé USB) et le rendre démarrable. Il existe quelques distributions spéciales de Linux disponibles qui sont dédiées à cela.

Feather Linux est une distribution qui tourne entièrement sur CD ou sur une clé USB et prend moins de 64Mo de mémoire. C'est une Knoppix remasterisée (basée sur Debian/Gnu Linux), et qui essaie d'inclure des logiciels que la plupart des gens utiliseraient tous les jours sur leur poste fixe. Voir ces instructions à propos de l'installation de Feather Linux sur un lecteur USB.

Partboot est dédiée aux lecteurs de disquettes USB et est faite spécialement pour les installations de Linux sur portable et notebook (on peut y trouver des outils pour redimensionner vos partitions, ainsi que la compatibilité PCMCIA et autre).

Damn Small Linux (DSL) est une distribution Linux Live CD de la taille d'une carte de visite (50Mo). Bien que sa taille soit minuscule, elle tend à être un bureau fonctionnel et facile d'utilisation.

Table des matières

4. Gros plan sur le matériel : processeur, affichage, clavier, son, etc.
1. Le son
1.1. Vérification de la compatibilité Linux
1.2. Documentation sur le sujet.
1.3. Pilotes audio generalises
1.4. Cartes son supplémentaires
1.5. Les lecteurs CD internes et externes.
2. Le clavier
2.1. Vérification de compatibilité Linux
2.2. Le clavier externe (secondaire)
3. Les touches spéciales
3.1. Documentation en rapport avec le sujet
3.2. Utilitaires
4. La touche fonction
5. La touche de mise sous tension (Power)
6. Les diodes (LED) supplémentaires
7. Le pavé numérique.
8. Dispositifs de pointage. Les souris et leurs semblables.
8.1. Vérification de compatibilité Linux
8.2. Documentation relative à ce sujet
8.3. Les différentes espèces de souris
8.4. Les souris PS/2
8.5. Le Touchpad (souris tactile)
9. Le ACPI
9.1. Documents sur le sujet :
9.2. Informations sur le ACPI
10. unité de gestion de l'alimentation [Power Management Unit]
11. Batteries
11.1. Support Smart Battery.
12. La mémoire
13. Les périphériques Plug-and-Play (PnP)
14. Réplicateurs de port/Stations d'accueil
14.1. Définitions
14.2. Autres solutions
14.3. Méthodes de connexion des stations d’accueil
14.4. Les duplicateurs de port USB universels
15. Network Connections
15.1. Related Documentation
15.2. Méthodes de connexion
15.3. Wake-On-LAN
16. Modem incorporé
16.1. Types de modems
16.2. Quelques réserves
17. Le GPRS
18. Le SCSI
18.1. Vérification de compatibilité Linux
18.2. Documentation sur le sujet
18.3. Enquête
19. Universal Serial Bus - USB
19.1. Vérification de compatibilité Linux
19.2. Divers
20. FireWire - IEEE1394 - i.Link
21. Le lecteur de disquettes
21.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
22. Les lecteurs optiques(CD/DVD)
22.1. Les CD-ROM
22.2. CD-RW
22.3. Le lecteur DVD
23. Le disque dur
23.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
23.2. Utilitaires
23.3. Divers
23.4. Facteurs de forme
23.5. Outils des fabricants
24. Périphériques permutables à chaud (MultiBay, SelectBay, ..)
25. Réseau sans-fil – WLAN
25.1. Documentation sur le sujet
25.2. Introduction
26. BlueTooth
27. Port infrarouge
27.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
27.2. Documentation sur le sujet
27.3. Configuration de l'IrDA® - Survol
28. Le lecteur d'empreintes digitales
5. Accessories: PCMCIA, USB and Other External Extensions
1. Les cartes PCMCIA
1.1. Les familles de cartes
1.2. Vérification de compatibilité Linux
2. Cartes Express ExpressCards
3. SmartCards
4. Les cartes SDIO
5. Composantes mémoire - RAM et cartes Flash
6. Les clés USB [Memory Stick]
7. Lecteurs de cartes pour SD/MMC/Memory Stick
7.1. Lecteurs externes
7.2. Lecteurs internes
8. Périphériques USB
8.1. Périphériques Ethernet
8.2. Clés électroniques [Dongles] BlueTooth
8.3. Duplicateurs de port/ Stations d'accueil
9. Imprimantes et scanners
9.1. Enquête sur les imprimantes et scanners portables
9.2. Les scanners et les logiciels OCR
9.3. La connectivité
10. Périphériques série
10.1. Adapteur série pour PDA Keyspan
11. Périphériques de stockage externe
11.1. Disques durs externes
12. Puissance et câble d'alimentation de téléphone!!!!Prises électriques et téléphoniques, alimentation électrique
13. Les sacs et les valises

Table des matières

1. Le son
1.1. Vérification de la compatibilité Linux
1.2. Documentation sur le sujet.
1.3. Pilotes audio generalises
1.4. Cartes son supplémentaires
1.5. Les lecteurs CD internes et externes.
2. Le clavier
2.1. Vérification de compatibilité Linux
2.2. Le clavier externe (secondaire)
3. Les touches spéciales
3.1. Documentation en rapport avec le sujet
3.2. Utilitaires
4. La touche fonction
5. La touche de mise sous tension (Power)
6. Les diodes (LED) supplémentaires
7. Le pavé numérique.
8. Dispositifs de pointage. Les souris et leurs semblables.
8.1. Vérification de compatibilité Linux
8.2. Documentation relative à ce sujet
8.3. Les différentes espèces de souris
8.4. Les souris PS/2
8.5. Le Touchpad (souris tactile)
9. Le ACPI
9.1. Documents sur le sujet :
9.2. Informations sur le ACPI
10. unité de gestion de l'alimentation [Power Management Unit]
11. Batteries
11.1. Support Smart Battery.
12. La mémoire
13. Les périphériques Plug-and-Play (PnP)
14. Réplicateurs de port/Stations d'accueil
14.1. Définitions
14.2. Autres solutions
14.3. Méthodes de connexion des stations d’accueil
14.4. Les duplicateurs de port USB universels
15. Network Connections
15.1. Related Documentation
15.2. Méthodes de connexion
15.3. Wake-On-LAN
16. Modem incorporé
16.1. Types de modems
16.2. Quelques réserves
17. Le GPRS
18. Le SCSI
18.1. Vérification de compatibilité Linux
18.2. Documentation sur le sujet
18.3. Enquête
19. Universal Serial Bus - USB
19.1. Vérification de compatibilité Linux
19.2. Divers
20. FireWire - IEEE1394 - i.Link
21. Le lecteur de disquettes
21.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
22. Les lecteurs optiques(CD/DVD)
22.1. Les CD-ROM
22.2. CD-RW
22.3. Le lecteur DVD
23. Le disque dur
23.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
23.2. Utilitaires
23.3. Divers
23.4. Facteurs de forme
23.5. Outils des fabricants
24. Périphériques permutables à chaud (MultiBay, SelectBay, ..)
25. Réseau sans-fil – WLAN
25.1. Documentation sur le sujet
25.2. Introduction
26. BlueTooth
27. Port infrarouge
27.1. Vérification de la compatibilité avec Linux
27.2. Documentation sur le sujet
27.3. Configuration de l'IrDA® - Survol
28. Le lecteur d'empreintes digitales

  1. Sound-HOWTO

  2. Visual-Bell-mini-HOWTO

  3. Vous pourriez aussi trouver de bons guides pratiques (HOWTO) dans le Linux Audio Users Guide - LAU

  1. ALSA Advanced Linux Sound Architecture(Architecture Son Avancée Linux ). ALSA est un pilote son entièrement modulaire qui supporte le kerneld/kmod, et assure la compatibilité avec la majorité des applications binaires OSS/Lite, de créer une bibliothèque ALSA (C, C++) qui couvre l'API ALSA pour les applications et créer un Manager ALSA, programme interactif pour paramétrer le pilote. Avec le Kernel 2.6 ces modules feront partie du Linux Kernel.

  2. UNIX Sound System Lite /OSS fournit des pilotes commerciaux pour la plupart des cartes son les plus utilisées sous Linux. Ces pilotes supportent l'audio, le son numérique, le MIDI, les synthétiseurs et les mixeurs qui se trouvent sur les cartes son. Ces pilotes pour carte son respectent les spécifications API Open Sound System. OSS fournit une interface [GUI] conviviale qui simplifie l'installation des pilotes son et la configuration des cartes son. OSS supportent plus de 200 cartes son de marque. Les pilotes OSS fournissent une détection automatique de la carte son, le support Plug-n-Play, le support pour les cartes audio PCI et l'assistance.

  3. En dernier ressort vous pouvez essayer le module pcsnd, qui essaie d'émuler une carte son.

VXPocket semble être une solution "medium2high-end" pour les cartes son dans la catégorie cartes son de moyen à haut de gamme pour les ordinateurs portables qui ont un équipement intégré de mauvaise qualité. Note : Je n'ai pas vérifié si c'est une carte PCMCIA ou pas. Les cartes PCMCIA ne sont sans doute pas supportées.

De même, l'USB est une autre possibilité. La plupart des périphériques audio USB sont supportés par les noyaux récents. Un exemple est le Labtec Axis 712 Stereo Headset (casque et micro) qui marche en mode duplex. Pour plus d'information concernant ce sujet et d'autres périphériques audio USB compatibles Linux voir le USB Survey et mon Mobile USB Linux Hardware Survey.

Un clavier secondaire (ou externe) peut être connecté en utilisant le port PS/2 (j'imagine qu'il n'est pas possible d'utiliser le port série, car il n'y a aucun contrôleur clavier sur le port série) ou par le port USB. De même il y a un ordinateur portable avec un clavier détachable, le Siemens Scenic Mobile 800. Cette machine utilise une connexion infrarouge vers le clavier, mais je ne sais pas si ça fonctionne sous Linux.

Il se peut que vous n'ayez pas besoin du support du système d'exploitation pour utiliser un clavier USB si vous disposez d'une architecture PC. Il existe plusieurs BIOS sur le marché où le BIOS fournit le support USB pour un clavier branché sur le concentrateur racine de la carte mère (ports USB sur la carte mère). ça peut marcher ou ne pas marcher en utilisant d'autres concentrateurs [hubs] et normalement ça ne marche pas avec les cartes ajoutées (PCI), alors vous aurez sans doute besoin d'ajouter le support. Il est certain qu'il va falloir ajouter le support clavier si vous activez le support du système d'exploitation, car le support USB Linux désactivera le support BIOS. Vous devez aussi utiliser le support clavier USB Linux si vous voulez utiliser une des touches "multimedia" qui sont incluses sur certains claviers USB .

Pendant l'étape de configuration du noyau, vous devez activer le support Périphériques Interface Homme USB [USB Human Interface Device (HID)] et le support clavier. N'activez pas le support clavier Keyboard USB HIDBP. Effectuez les étapes normales de recompilation du noyau et d'installation du noyau. Si vous les installez, faites une installation en modules; il faut charger les modules hid.o, input.o et keybdev.o.

Vérifiez les journaux [logs] du noyau afin de vérifier que votre clavier est bien détecté par le noyau.

A ce stade, vous devriez être capable de pouvoir utiliser votre clavier USB comme clavier normal. Il faut savoir que LILO n'est pas compatible USB, sauf si votre BIOS supporte un clavier USB générique, vous ne pourrez peut-être pas choisir une autre image de boot de démarrage utilisant le clavier USB que celle par défaut. J'ai personnellement moi-même utilisé un clavier (et une souris USB) et je n'ai pas rencontré de difficultés.

[Avertissement]Avertissement

Ne branchez pas le clavier externe pendant le démarrage du portable, et ne branchez pas la souris dans le port clavier ni le clavier dans le port souris. Sur un Toshiba, un utilisateur a dû, à cause de cela, complètement arrêter son portable, débrancher le clavier et la souris, et faire un redémarrage "à froid".

Pour les ports PS/2, il existe ce qu'on appelle un "Y-Cable" qui permet d'utiliser souris et clavier externes en même temps à condition que votre portable le supporte, bien sûr .

Adaptateur de port Parport vers AUX. Dans certains cas un port kbd et un port aux ne suffisent pas et on aura peut-être envie d'ajouter un autre clavier ou souris. Vous pouvez utiliser cet adaptateur, ainsi que le module parkbd qui va avec.

Sur certains ordinateurs portables, un diviseur permet de connecter à la fois souris et clavier, sur d'autres ça ne marche pas du tout. Si vous voulez utiliser les deux, il vaut mieux vérifier si ça marche.

Certains ordinateurs portables offrent des touches supplémentaires, telles qu'Internet, le courrier ou des touches de zone. Si le noyau Linux et XFree86/X.org génèrent des codes de touches pour celles-ci, hotkeys ou justement le xmodmap tout simplement . (voir la page man de ce programme X11 pour plus de détails) pourrait être utile. Si Linux ne reconnaît pas ces touches il faut d'abord corriger le noyau. Certains outils ne semblent pas en avoir besoin, mais je n'en suis pas bien sûr et, en tout cas, je ne comprends pas pour l'instant comment ça marche. Vous pouvez aussi utiliser xhkeys. Cet outil vous permet d'associer une action à n'importe quelle touche qui n'est pas utilisée par ailleurs sous X (telle que la touche "menu" sur un clavier avec 105 touches, des touches supplémentaires sur certains modèles de clavier ou des touches spéciales sur les ordinateurs portables). L'action correspondant à une touche ou une combinaison de touches (touches et modificateurs) peut être une opération déjà existante, ou l'appel d'une application externe, l'envoi d'un événement touche (simulant l'action appui/relâchement d'une touche), ou l'envoi d'un événement bouton souris (simulant l'appui ou le relâchement d'un bouton souris).

[Astuce]Astuce

Pour plus d'information concernant les événements souris ou clavier inconnu, vous pouvez utiliser showkey et mev (ce dernier fait partie du package gpm) dans une console. Mais il y a certaines touches supplémentaires que l'on ne retrouve pas avec ces outils.

keyTouch permet de configurer facilement les touches de fonction supplémentaires d'un clavier (telles que les touches multimédia). Il permet à l'utilisateur de définir quel programme sera exécuté quand on appuie sur une touche. En utilisant l'éditeur keyTouch, l'utilisateur peut facilement créer un fichier clavier pour son ordinateur portable afin d'activer le support pour son portable. akdaemon est un démon userland pour invoquer les "touches amusantes" en accédant à un node dev fourni par le correctif noyau complémentaire ou le programme funkey.

The hotkeys package is supposed to listen for those multimedia keys. Le package hotkeys est censé être à l'écoute de ces touches multimédia.

Les touches spéciales ("accès facile") sont supportées par LinEAK. Voici un exemple de fichier lineakd.conf.

# LinEAK Configuration file for Compaq Easy Access Key 2800 (6 keys)

# Global settings
KeyboardType            = CIKP800
CdromDevice             = /dev/cdrom
MixerDevice             = /dev/mixer

# Specific keys of your keyboard
internet        = xosview
search          = kfind
mail            = kmail
multimedia      = "artsdsp xmms"
voldown         = "aumix -v -2"
volup           = "aumix -v +2"

# end lineakd.conf

xbindkeys est un programme qui associe des touches clavier ou buttons souris à des commandes shell sous X. Après une petite configuration, il peut lancer de nombreuses commandes avec le clavier. (par exemple control+alt+x lance un xterm) ou avec les boutons souris.

ACME est un petit outil GNOME qui permet l'utilisation des touches multimédia présentes sur la plupart des ordinateurs portables et claviers Internet : les boutons Volume, Luminosité, Démarrer, Ejecter, Accueil, Recherche, Courriel, Veille, Economiseur écran, Finances, WWW, Calculatrice, Enregistrer, Fermeture de fenêtre, Mise en sous brillance fenêtre, Lire lecture vidéo/audio, Arrêt, Pause, Précèdent, Suivant, Groupes, Média, Rafraîchir, et Aide. Il marche sur toutes les plates-formes supportées par GNOME (ordinateur portable et PC). Pour le réglage du volume, il utilise soit ALSA, soit OSS.

Pour certaines séries d'ordinateurs portables, il existe des utilitaires Linux disponibles pour contrôler les touches spéciales et d'autres fonctionnalités.

  • toshutils de Jonathan Buzzard pour certains modèles Toshiba

  • Tclkeymon est un démon pour les ordinateurs Toshiba qui utilisent ACPI et les extensions ACPI Toshiba. Il surveille les touches fonction et les touches spécifiques Toshiba (y compris les boutons lecteur CD et état du couvercle) et agit si nécessaire.

  • tpctl des outils de configuration pour Linux de Thomas Hood pour les IBM ThinkPad pour Linux par Thomas Hood.

  • ThinkPad Buttons active les touches spéciales qui se trouvent sur le clavier d'un IBM ThinkPad. Il est possible de relier un programme à chacun de ces boutons. Il a un menu sur écran (OSD) pour afficher le volume, la coupure du son, la luminosité LCD et autre.

  • IBM ThinkPad Scroll Daemon

  • i8k utilitaire pour les ordinateurs portables DELL.

  • le pilote hotkey Linux pour les ordinateurs portables ACER

  • OSL est un simple client pbbuttonsd (utilisé sur les portables Apple pour accéder aux "touches spéciales" comme le volume, l'éjection, etc). Il utilise le xosd-lib pour afficher les valeurs courantes ce qui lui donne l'allure de l'OSX beaucoup plus qu'avec d'autres clients pbbuttonsd.

  • PBButtons active les touches spéciales sur les iBook/PowerBook/TiBook Apple. J'ai entendu dire qu'il marche bien également sur des architectures x86.

  • ikeyd est un simple démon qui définit le volume ou éjecte le CDROM quand on appuie sur les touches spéciales des iBook/TiBook.

  • jogdiald pour le Jog-Dial sur les ordinateurs portables SONY est également compatible avec les touches supplémentaires.

  • omke est un ensemble de petits programmes et de correctifs pour configurer certaines fonctionnalités avancées sur votre HP OmniBook (choses sur lesquelles en général HP ne fournit pas de documentation) tels que l'activation / désactivation des touches onetouch/multimédia. Cet outil marche aussi pour certains notebooks Toshiba.

Sur le clavier des ordinateurs de bureau le pavé numérique est en général séparé de la zone de touches texte, mais les ordinateurs portables n'ont pas de pavé numérique séparé. Il existe des façons différentes d'en simuler un , par exemple avec la touche Fn ou avec la touche NUM-LOCK. De même, des claviers numériques externes qui se connectent sur le port PS2 (ou USB, RS232) sont disponibles.

Comme décrit précédemment, le pavé numérique doit être utilisé si on veut changer la résolution X11 en tapant <CTL><ALT><+> ou <CTL><ALT><->. Si ceci ne marche pas ou est trop compliqué, on peut utiliser gvidm. L'exécution gvidm fera apparaître une fenêtre avec une liste des modes disponibles et permet à l'utilisateur d'en choisir un s'il le souhaite. Grâce à cela, gvidm peut être exécuté idéalement à partir du menu d'une application ou à partir d'une touche spéciale; dans ce cas, on n'est pas obligé d'utiliser de la ram pour une mini-application [applet] qui tourne en permanence. Si vous utilisez des affichages doubles ou multiples [multi-head], il vous donnera une liste des écrans afin de choisir celui qui est approprié. Vous pouvez également utiliser xvidtune [-next | -prev ]. Pour vérifier la résolution courante vous pouvez utiliser xwininfo -root, si xvidtune n'est pas disponible.

En général, une souris tactile [touchpad] fonctionne avec le périphérique PS/2 souris /dev/psaux et le protocole PS/2 (pour GPM et X11; pour X11 il semble également utile de vérifier le protocole GlidePointPS/2).

Le pilote Synaptics TouchPad a les fonctions suivantes (certaines fonctions nécessitent des fonctionnalités de la souris tactile qui doivent être présents, par exemple des appuis à plusieurs doigts):

  1. Mouvement avec accélération et vitesse ajustables et non linéaires (Options : MinSpeed, MaxSpeed, AccelFactor)

  2. Les événements bouton par contacts brefs sur la zone d'effleurement (Options : MaxTapTime, MaxTapMove)

  3. Les événements double bouton par des contacts brefs sur la zone d'effleurement.

  4. Le glissement par appui bref du doigt sur la zone d'effleurement.

  5. Les événements bouton au milieu et à droite sur les coins supérieurs et inférieurs de la zone d'effleurement (Option : Edges)

  6. Le défilement (événements du bouton quatre et cinq) par mouvement du doigt sur la partie droite de la zone d'effleurement (Options : Edges, VertScrollDelta).

  7. Détection du doigt paramétrable (Option : Finger)

  8. Détection du doigt paramétrable (Option : Finger)

  9. Le support pour le répéteur Ext Mouse - Alpha ! (Option : Repeater)

  10. Les appuis à plusieurs doigts : deux doigts pour le bouton du milieu et trois doigts pour les événements reliés au bouton droit.

  11. Configuration en ligne par la mémoire partagée (en développement) (Option : SHMConfig)

La commande synclient est fournie avec les sources du pilote (à noter qu'il n'est pas inclus dans SuSe Linux, au moins jusqu'au 9.3). La commande interroge et modifie les paramètres du pilote Synaptics TouchPad à la volée.

[Astuce]Astuce

L'appui simultané de un, deux ou trois doigts sur une souris tactile simultanément est équivalent à l'appui du bouton gauche, milieu et droit de la souris.

Il existe aussi un autre pilote pour souris tactile disponible. Le pilote Synaptics Touchpad Linux - tpconfig supporte des dispositifs de pointage utilisés sur les notebooks de Acer, Compaq, Dell, Gateway, Olivetti, Texas Instruments, Winbook et autres.

Dell et Sony ont démarré l'incorporation d'une zone d'effleurement (touchpad) et d'un touchstick à partir de ALPS. On les trouve au moins sur les gammes Dell Latitude CPx et Sony VAIO. Le responsable de suivi Bruce Kall écrit "tpconfig NE les supporte PAS à l'heure actuelle, mais je suis en train acquérir l'API de ALPS que j'incorporerai dans la prochaine version de tpconfig. Les Dell incluent aussi le GlideStick ALPS au milieu du clavier (comme le stick dans les Thinkpad IMB). J'ai aussi l'intention d'implémenter la désactivation du "click" sur le GlideStick. Le click sur le touchpad ou le touchstick me rend fou, je ne sais pas si c'est pareil pour vous (ça "sélectionne" des éléments sur écran alors qu'on en veut pas!)".

tpconfig est un utilitaire en ligne de commande qui permet de définir des options sur le Touchpad Synaptics et (maintenant) les Glidepad / Stickpointers ALPS. La majorité des gens l'utilisent pour désactiver le mode "click" sur les touchpad des ordinateurs portables.

Comment utiliser tpconfig: tpconfig est actuellement implémenté comme outil de configuration en ligne de commande. Le port PS/2 ne supporte pas encore le partage. Par conséquent, l'utilitaire tpconfig ne marchera pas avec d'autres types de souris qui seront chargés (par exemple gpm). Ceci veut aussi dire que vous ne pouvez pas utiliser tpconfig pendant que X Windows est exécuté. Ce que l'on suggère pour utiliser tpconfig est de l'exécuter à partir d'un script de démarrage avant le démarrage de gpm.

IBM ThinkPad Scroll Daemon

Tous les touchpads ne proviennent pas de Synaptics, par exemple certains Gateways incorporent un EZ-Pad (marque déposée) et il se peut qu'il y ait d'autres marques. L'utilitaire TPREV.EXE vérifiera si vous avez un touchpad Synaptics.

Le package gpm récent (version supérieure ou égale à 1.8, des versions antérieures contiennent peut-être aussi le support pour le touchpad) comporte le pilote pour le périphérique Synaptics touchpad mentionné plus haut. Ce pilote de périphérique a été développé par H.Davies <hdavies_AT_ameritech.net>.. Au lieu d'utiliser le mode de compatibilité PS/2 des périphériques touchpad, on peut maintenant utiliser un mode natif touchpad avec des fonctionnalités assez impressionnantes.

En plus de la traduction du mouvement du doigt en mouvement souris et le support de la compatibilité avec les boutons, cette implémentation contient actuellement plusieurs fonctionnalités (ceci vient du README):

  • un appui sur le TouchPad génère un click gauche

  • un appui rapidement suivi d'un mouvement du doigt génère une action de type glissement avec le bouton gauche.

  • un appui sur un des coins génère une action, la configuration par défaut étant qu'un appui en haut à droite génère un click avec le bouton du milieu de la souris et dans la partie basse gauche un click droit.

  • une pression accrue sur la zone d'effleurement accélère la vitesse du curseur

  • si le doigt s'approche d'un bord, le mouvement de la souris se poursuivra dans la même direction pour que vous n'ayez pas besoin de relever votre doigt et de reprendre le déplacement. Ce mouvement continu est sensible à la pression (plus de pression égale mouvement plus rapide).

    Ces fonctionnalités peuvent être activées/désactivées et plusieurs d'entre elles ont des paramètres pour le temps et la vitesse qui peuvent être adaptés au goût de l'utilisateur.

    Il semble que gpm est mieux connu comme outil utilisé en ligne de commande. Ceci est vrai, mais vous pouvez l'utiliser en tant que périphérique d'entrée X11. gpm s'utilise comme périphérique répéteur. De cette façon, on peut utiliser à la fois le touchpad intégré synaptics avec toutes ses fonctionnalités et une souris série (à 3 boutons). Ils marchent très bien ensemble. X11 interprète les événements souris à partir d'un "pipe" (opérateur de transfert de données) /dev/gpmdata dans un protocole connu, qui dans mon cas, est Mouse-Systems-Compatible (5 octets). La plupart des souris à 3 boutons utilisent le protocole par défaut. Une reconfiguration simple dans XF86Config est donc suffisante, bien sûr après avoir lancé gpm de façon adéquate.

    gpm peut être démarré avec les options suivantes : /usr/bin/gpm -t synps2 -M -t ms -m /dev/ttyS0 . La zone tactile ainsi que les souris série marchent avec X11. Vous devez pourtant créer le pipe /dev/gpmdata vous-même.

  1. ACPI-HOWTO I de Emma Jane Hogbin

  2. ACPI-HOWTO II de Ariel Glenn. Ce document décrit comment compiler, installer et utiliser le pilote ACPI pour Linux et les logiciels qui vont avec.

  3. ACPI-HOWTO III

  4. Le projet ACPI4Linux et son Wiki.

  5. ACPI Info fournit la spécification ACPI.

  6. Section 4.4, « Processeur » La section 12.3. du chapitre de ce guide concernant le processeur.

ACPI signifie Advanced Configuration and Power Interface (Interface Avancée de Configuration et Alimentation). Il s'agit d'une spécification de Toshiba, Intel et Microsoft. En plus de bien d'autres choses, elle définit aussi la gestion de l'alimentation. C'est pour ça qu'elle est souvent comparée à l'APM.

Vous pourriez utiliser les paramètres suivants (avec les modifications appropriées) dans votre fichier de configuration du chargeur/programme de démarrage (par exemple /etc/lilo.conf) afin d'expérimenter ACPI et APM, lorsqu'ils sont compilés avec le même noyau. L'utilisation de le APM et de le ACPI en même temps ne marche pas,voir la documentation noyau pour plus d'informations.

append="acpi=on apm=off"

Le Linux ACPI Project consiste à développer les composantes fondamentales ACPI (Advanced Configuration and Power Interface) pour Linux. Ceci inclut un analyseur syntaxique générique des tables ACPI, un interpréteur AML, des pilotes de bus et périphériques, règles une politique, une interface utilisateur et des outils d'aide.

E-AcpiPower est base sur E-Power. Il est modifie afin de lire l'information concernant le statut de la batterie en utilisant le nouveau module noyau acpi, apportant une précision et une fiabilité plus grandes qu'avec l'ancienne méthode APM.

Le script TCL/TK qui vous permet de définir état de performance processeur ACPI en utilisant une interface graphique sous Linux

acpi.py fournit à ACPI une interface uniforme et indépendante de la plate-forme

Le Linux ACPI client est un outil en ligne de commande, similaire à la commande apm, qui fournit des informations sur l'état de la batterie, l'alimentation secteur et les mesures thermiques.

Les PowerBook ne supportent pas la spécification APM, mais ils ont un protocole séparé pour leur PMU (Power Management Unit). Il existe un démon libre (GPL) qui s'appelle pmud; il gère la gestion de l'alimentation. Il a été écrit par Stephan Leemburg. Il y a aussi un utilitaire plus ancien snooze disponible sur les mêmes sites; il permet simplement de mettre en veille le PowerBook. PBButtons comporte à présent la fonctionnalité pmud.

Cron fonctionne très bien sur mon ordinateur portable étant donné que je ne l'éteins jamais complètement. Je le mets seulement en veille. Au réveil, les tâches cran non exécutées pendant la période de veille s'exécutent toutes.

Cette partie est publiée avec l'aimable autorisation de Steven G. Johnson.

Pour plus d'information concernant les types de batteries disponibles, voir le chapitre précédent Hardware Features.

Voir le Battery Powered Linux Mini-HOWTO et la page TuxMobil battery page pour plus d'information. Une étude des autres moyens d'alimentation pour les ordinateurs portables par exemple énergie solaire est disponible sur TuxMobil. Pour des informations générales concernant les batteries voir la FAQ Batteries.

Stephen Rothwell a propose un correctif qui ajoutera le support pour batteries multiples au noyau APM.

A partir de la page mobile-update (modifiée par WH) : Déchargez la batterie Si votre batterie fonctionne seulement pendant environ 20 minutes, vous subissez sans doute des effets mémoire. La plupart des ordinateurs portables ne déchargent pas correctement la batterie. Avec des périphériques à faible alimentation tels que les anciens ventilateurs d'ordinateur elles peuvent être déchargées complètement. Ceci supprime les effets mémoire. Vous devriez faire pareil même avec les batteries Li-Ion, bien qu'elles ne subissent pas beaucoup les effets mémoire (le manuel des ThinkPad IBM™ conseille d'effectuer un cycle complet charge/décharge 3 fois tous les trois ou quatre mois).

[Avertissement]Avertissement

A essayer à vos risques et périls! Assurez-vous que la tension des ventilateurs est compatible avec votre batterie. ça fonctionne pour moi.

Aux Etats-Unis , cette société a la plupart des batteries pour quelque usage que ce soit et peut refaire des nombreux modèles qui ne sont plus produits : Batteries Plus, 2045 Pleasant Hill Road, duluth GA 30096 +1 770 495 1644.

L'ensemble battery-stats rassemble des statistiques concernant le (défaut de) rechargement des batteries d'ordinateur portable. Il comporte aussi un simple utilitaire graphique qui permet d'afficher la charge de la batterie sur la durée ou de détecter un mauvais comportement de la batterie qui pourrait annoncer une fin de vie de la batterie. Battery-stats ne connaît rien sur qui se passe à intérieur des batteries au niveau électrochimique - par conséquent ils n'essaieront pas de faire la moindre prédiction. Mais quelqu'un s'y connaissant en batteries pourrait vous dire si le comportement est correct. Ce package utilise APM; il n'y a pas encore implémentation ACPI.

IBAM (Intelligent BAttery Monitor) est un moniteur avance de batterie pour les ordinateurs portables qui utilise des méthodes linéaires statistiques et adaptatives pour fournir des estimations précises des minutes de batterie restantes ou du temps nécessaire pour une recharge complète. Ce package utilise APM; il n'y a pas encore implémentation ACPI.

Un rclock modifie. Booker C. Bense a bidouillé l'application rclock pour inclure un indicateur simple de niveau de la batterie sur la façade de l'horloge.

xbatstat. Vérificateur de niveau de batterie pour Linux et X.

sbsutils est un ensemble d'applications utilitaires pour la gestion de Smart Battery sur les ordinateurs portables, il offre une implémentation noyau Linux & ACPI pour le système Smart Battery qui se trouve sur certains ordinateurs portables.

Le projet de pilote Plug and Play pour Linux est un projet de création d'un support à l'intérieur du noyau Linux (voir Linux.Org pour plus d'informations) pour gérer les périphériques Plug and Play (et autres semi-PnP) d'une façon propre et cohérente. Le but est de permettre à un pilote de tout type de matériel de faire configurer ce matériel par le pilote PnP dans le noyau. Ce pilote est alors averti quand le périphérique est reconfiguré, voire retiré du système, de manière à pouvoir, en l'occurence, agir plus aisément.

Autre paquetage utile : les outils ISA PnP.

Et on trouve un projet avec RedHat .

Le dernier paquetage de pilotePCMCIA (>3.1.0) contient des utilitaires lspnp et setpnp pour manipuler les paramètres PNP.

Moi-même, je n'utilise pas de station d’accueil. Ils me semblent vraiment coûteux et je ne leur vois aucune utilité. D'accord, vous avez à gérer stations d’accueil sont utiles dans un environnement de bureau lorsque vous avez une connection réseau permanente, ou que vous avez besoin des logements bus d’extension de la station d’accueil (par exemple pour certains périphériques SCSI exotiques).

En outre tous les stations d’accueil que je connais sont des modèles propriétaires, donc si vous changez de portable, vous devez changez la station également. Je n'ai trouvé qu'une seule exception de station d’accueil qui se connecte à votre portable via IrDA® la station IRDocking IR-660 de Tekram . Il supporte les connecteurs suivants : 10Base-T (RJ-45); clavier PS/2; souris PS/2; port imprimante 25 broches (LPT); transmetteur infrarouge; alimentation (6 VDC). Il semble donc qu'il manque un port VGA ainsi qu'un port pour connecter votre PC directement. Cet appareil devrait fonctionner avec l'/IrDA® Linux , bien que je n’aie pu vérifier cette information.

Je préfère acheter un PC à la place et le connecter via le réseau au portable.

Ou utiliser un écran externe, qui fonctionne bien généralement comme décrit plus haut, ainsi qu'un clavier externe et une souris. Si votre portable supporte un port PS/2 supplémentaire vous pourriez utiliser une solution peu coûteuse : un Y-câble,qui connecte le port PS/2 à un clavier et un moniteur externes. Note : votre portable est probablement compatible avec la fonctionnalité du Y-câble, comme le COMPAQ Armada 1592DT.

Pour autant que je sache, quatre solutions existent pour connecter un portable à une station d’accueil :

D'après Martin J. Evans "Le problème principal avec les stations d’accueil est de faire détecter par le système d'exploitation que vous y êtes connecté. Fort heureusement, vous pouvez examiner les périphériques disponibles dans /proc et ainsi détecter un état de connexion de la station. En gardant cela à l'esprit, quelques scripts simples vous suffiront à avoir une machine correctement configurée à l’état connecté.

Vous souhaiterez peut-être compiler le support pour le matériel que constitue la station d’accueil en tant que modules plutôt que de les adjoindre directement au noyau. Cela économisera de l'espace dans votre noyau mais votre choix dépendra probablement largement de la fréquence à laquelle vous vous connectez à la station.

1) Support des disques supplémentaires sur la carte SCSI de la station d’accueil.

A mon avis, la meilleure façon de faire est de :

  1. soit compiler le support pour la carte SCSI dans le noyau, soit en tant que module.

  2. mettre les points de montage dans /etc/fstab mais utiliser le drapeau indicateur "noauto" afin d'empêcher leur montage automatique à l'aide du drapeau mount -a. De cette façon, lorsqu’on est connecté à la station, on peut monter explicitement les partitions de n'importe quel disque connecté à la carte SCSI de la station d’accueil.

2) Support des adaptateurs réseau supplémentaires sur la station d’accueil

Vous pouvez utiliser une méthode similaire à celle expliquée plus haut pour les cartes graphiques. Vérifiez le système de fichiers /proc dans vos scripts rc afin de voir si vous êtes connecté puis configurez vos connections réseau de manière appropriée."

Une fois que vous avez cette information, vous pouvez utiliser un script comme celui de l'exemple qui suit, afin de configurer votre connexion à la station d’accueil au démarrage. Ce script est fourni par Friedhelm Kueck :

# check, if Laptop is in docking-station (4 PCMCIA slots available)
# or if it is standalone (2 slots available)
# Start after cardmgr has started
#
# Friedhelm Kueck mailto:fk_AT_impress.de
# 08-Sep-1998
#
# Find No. of Sockets
SOCKETS=`tail -1 /var/run/stab | cut -d ":" -f 1`
case "$SOCKETS" in
"Socket 3")
echo Laptop is in Dockingstation ...
echo Disabeling internal LCD Display for X11
echo
cp /etc/XF86Config_extern /etc/XF86Config
#
# Setup of PCMCIA Network Interface after start of cardmgr
#
echo
echo "Setting up eth0 for use at Network ..."
echo
/sbin/ifconfig eth0 10.1.9.5 netmask 255.255.0.0 broadcast 10.1.255.255
/sbin/route add -net 10.1.0.0 gw 10.1.9.5
/sbin/route add default gw 10.1.10.1
;;

"Socket 1")
echo Laptop is standalone
echo Disabling external Monitor for X11
cp /etc/XF86Config_intern /etc/XF86Config
echo
echo Network device NOT setup
;;
esac

J'ai utilisé une station d’accueil Typhoon USB 2.0 7in1 fabriqué par Anubis P/N 83057 pour vérifier la compatibilité Linux de tels périphériques. En fait on devrait appeler ce périphérique un duplicateur de port, car il ne possède aucun port d'extension. Ce périphérique ne possède aucun port VGA pour se connecter à un écran externe. Seuls quelques stations d’accueil USB présentent cette fonctionnalité. Ce serait sympa si quelqu’un pouvait nous indiquer si un port VGA fonctionne ou non. Testé avec le portable COMPAQ M700 (USB 1.1) et un noyau 2.6.1 personnalisé. Veuillez remarquer que le duplicateur de port ne fonctionne pas avec un PowerBook G4 d'Apple.

Comment fonctionnent ses différents ports avec Linux :

  • USB 2.0 A-type dans le sens descendant : prêt à l’emploi avec disques durs externes et souris.

  • USB 2.0 A-type dans le sens descendant : voir plus haut

  • clavier PS/2: prêt à l’emploi.

  • souris PS/2: fonctionne, mais pour les noyaux 2.6 vous devez spécifier le bon protocole de souris psmouse_proto=imps (si psmouse est compilé en tant que module).

  • port série : testé avec une souris série, ne semble pas fonctionner, /dev/ttyUSB0 a été assigné

  • port parallèle : testé, le périphérique /dev/usb/usblp0 a été assigné, fonctionne par exemple avec le HP Deskjet 2100

  • LAN: usbnet se charge, le périphérique eth1 a été assigné, ifconfig ou bien pump configure le périphérique réseau

  • le port de transfert, connu également sous le nom de liaison hôte [host link]: fonctionne avec le module usbnet, utilisez ifconfig usb0 usb0 pour configurer l'interface réseau. (USB 1.1 host link B-type) non testé

Voici la sortie de dmesg pour le duplicateur de port Typhoon :

hub 1-0:1.0: new USB device on port 1, assigned address 26
hub 1-1:1.0: USB hub found
hub 1-1:1.0: 4 ports detected
hub 1-1:1.0: new USB device on port 3, assigned address 27
hub 1-1.3:1.0: USB hub found
hub 1-1.3:1.0: 4 ports detected
hub 1-1:1.0: new USB device on port 4, assigned address 28
eth1: register usbnet at usb-0000:00:07.2-1.4, ASIX AX8817x USB 2.0 Ethernet
hub 1-1.3:1.0: new USB device on port 1, assigned address 29
usb0: register usbnet at usb-0000:00:07.2-1.3.1, Prolific PL-2301/PL-2302
hub 1-1.3:1.0: new USB device on port 2, assigned address 30
drivers/usb/class/usblp.c: usblp0: USB Bidirectional printer dev 30 if 0 alt 1 proto 2 vid 0x067B pid 0x2305
hub 1-1.3:1.0: new USB device on port 3, assigned address 31
pl2303 1-1.3.3:1.0: PL-2303 converter detected
usb 1-1.3.3: PL-2303 converter now attached to ttyUSB0 (or usb/tts/0 for devfs)
hub 1-1.3:1.0: new USB device on port 4, assigned address 32
HID device not claimed by input or hiddev
hid: probe of 1-1.3.4:1.0 failed with error -5
input: Composite USB PS2 Converter USB to PS2 Adaptor  v1.09 on usb-0000:00:07.2-1.3.4
HID device not claimed by input or hiddev
hid: probe of 1-1.3.4:1.1 failed with error -5
input: Composite USB PS2 Converter USB to PS2 Adaptor  v1.09 on usb-0000:00:07.2-1.3.4

Wake-On-LAN fonctionne sur certains portables avec cartes réseau intégrées. Wake-On-LAN est le nom générique de la technologie AMD "Magic Packet". Cela ressemble beaucoup à la ligne de transferts de signaux "réveil quand ça sonne" ["wake on ring"] du modem PCMCIA. L'idée de base est que l'adaptateur réseau est en mode très basse consommation pour surveiller l'arrivée sur le réseau de données par paquets spéciales qui réveilleront la machine.Le package etherwake ainsi que le script Perl Wakeonlan ont la capacité d'envoyer des 'paquets magiques' aux adaptateurs et cartes mères ethernet ayant le wake-on-LAN, afin d'allumer des ordinateurs distants.

Trois modèles de modems sont disponibles : modems internes, sous forme de carte PCMCIA ou par port série externe. Cependant certains modems internes ne fonctionneront pas avec Linux, on appelle habituellement ces modems WinModem. Cela vient des matériels non standard. Vous devez donc utiliser soit une carte modem PCMCIA ou un modem externe (série ou USB). Le Guide LinModem-HOWTO de Sean Walbran fournit des instructions détaillées pour gérer ce genre de modems. Mes pages sur les modems internes pour portables et celles sur les périphériques miniPCI pour portables proposent une étude sur les contrôleurs modem utilisés dans les différents portables.

Citation de la FAQ du Noyau : "9. Pourquoi les WinModems ne sont-ils pas supportés? (REG, citation de Edward S. Marshall) Le problème est le manque de spécifications pour ce matériel. La plupart des sociétés produisant les WinModems comme on les appelle, refusent de fournir les spécifications qui permettraient aux systèmes d'exploitation non-Microsoft de les utiliser. Le problème de base est qu'ils ne fonctionnent pas comme un modem traditionnel; il n'ont pas de DSP, et délèguent tout le travail au processeur. Par conséquent, vous ne pouvez pas communiquer avec eux comme avec un modem traditionnel, et vous -devez- lancer le pilote du modem en tant que tâche temps-réel, sinon vous aurez de graves problèmes de pertes de données sous tout type de charge. Il s'agit tout simplement d'une conception médiocre."

"Les modems Win sont des modems lobotomisés qui attendent de Windows qu'il se charge de réfléchir un peu à leur place. Si vous n'avez pas Windows, vous n'avez pas de connexion. "

De toutes façons, j'ai créé une page qui réunit des informations sur les portables avec modems internes ici TuxMobil - Matériel. Peut-être est-il possible de lancer de tels modems avec des émulateurs MS-Windows9x/NT comme wine ou VMware, mais je n'en sais rien.

Le Support Linux pour les WinModems et la page de Gromit pour les Winmodems constituent plus ou moins les standards définissant si un modem est un vrai modem ou non, et proposent également des instructions pour récupérer des pilotes pour les quelques winmodems qui possèdent bien des pilotes Linux.

Un pilote pour les WinModems (alpha) Lucent est disponible ici : SuSE - Labs et là : outil de diagnostique LTModem . Pour le pilote LucentPCI (en version binaire uniquement), destiné aux modems internes pilotés par PCI, veuillez consulter le Support pour les WinModems Linux .

[Avertissement]Avertissement

Faites attention aux différents types de lignes téléphoniques : analogiques et numériques [RNIS]. Vous ne pouvez connecter un modem analogique à un port numérique et vice versa. Bien qu'il puisse exister des modems hybrides. Le fait de connecter votre modem au mauvais port pourrait même le détruire. Astuce : si vous recherchez un port pour téléphone analogique dans un immeuble de bureaux qui est habituellement câblé en numérique, jetez un œil au lignes de fax, car il s'agit souvent de lignes analogiques.

[Avertissement]Avertissement

Si votre machine possède un modem interne ainsi qu'une carte ethernet interne, faites également attention de brancher le bon câble dans la bonne prise. Autrement vous pourriez endommager facilement votre matériel. Cela pourrait même déclencher un incendie.

Pour le suivi des paquets sur PPP vous pouvez éventuellement utiliser pppstats. Ou pload qui fournit une représentation graphique du trafic (entrant comme sortant) de la connection PPP. Il est basé sur les composants d'interface logiciels [widgets] athena et est de ce fait très portable. Il utilise également très peu de temps processeur. pload se trouve à cette adresse .

Les ordinateurs portables plus récents sont équipés d'Universal Serial Bus - USB. Les périphériques USB suivants sont disponibles, tous ne sont pas encore complètement supportés par Linux : clavier, souris, imprimante, tablette, appareil photo, cpia, webcam, baladeur MP3, modem, wireless LAN, audio, jukebox, scanner, stockage (disque dur, clé), lecteur disquette, ZIP, Super Disk - LS 120, lecteur compact flash, CD, BlueTooth, ethernet, port série, joystick, Câble point-à-point USB, concentrateur .

Visitez la page d'accueil USB Linux. J'ai aussi mis en place une page pour rassembler les informations concernant les ordinateurs portables et les périphériques mobiles utilisant l'USB sur TuxMobil - Mobile Hardware Survey .

[Avertissement]Avertissement

N.B.: J'ai entendu dire que la puissance délivrée par un ordinateur portable via USB n'est pas suffisante pour certains types de périphérique, ex. webcams ou disques durs. Mais il semblerait que cela dépende de l'ordinateur portable et du périphérique en question. Avec des stations de travail Linux ces périphériques USB fonctionnent parfaitement, mais pas avec les périphériques mobiles.

La plupart des ordinateurs portables d'aujourd'hui sont fournis avec des lecteurs CD. Si les lecteurs de disquettes et de CD sont permutables alors ils sont mutuellement exclusifs, cependant beaucoup de constructeurs (HP, Dell) fournissent des câbles permettant au module de disquettes d'être connecté au port parallèle. Quelquefois les lecteurs CD sont fournis sous forme de périphérique PCMCIA externe (par exemple SONY) ou comme périphérique SCSI (par exemple HP OmniBook 800), périphérique USB (par exemple SONY) ou encore Firewire (comme pour le SONY WAIO VX71P). De tels périphériques externes peuvent poser des problèmes lorsqu'on les utilise pour installer Linux.

Pour autant que je sache, des DiscMans SONY sont disponibles, qui possèdent un port pour les connecter à un ordinateur ou même un port SCSI. J'ai trouvé un article publié par la Ziff-Davis Publishing Company (datant de septembre 1996, je n'ai pas noté l'URL) écrit par Mitt Jones : "Les lecteurs de CD-ROM avec carte pour PC portable transforment les ordinateurs portables en machines multimédia mobiles", avec une liste qui comprenait : Altec Lansing AMC2000 Portable Multimedia CD-ROM Center; Axonix ProMedia 6XR; CMS PlatinumPortable; EXP CDS420 Multimedia Kit; H45 Quick PCMCIA CD; Liberty 115CD; Panasonic KXL-D740; Sony PRD-250WN CD-ROM Discman.

Ecouter de la musique avec un lecteur de CD interne ne pose en général aucun problème. Remarquez cependant que :

[Astuce]Astuce

Certains notebooks sont fournis avec un lecteur de CD externe, il vous faut un câble supplémentaire pour connecter la sortie son du lecteur à l'entrée son du portable.

La plupart des notebooks d'aujourd'hui sont fournis avec des graveurs de CD internes ou externes. Les lecteurs internes marchent d'ordinaire, voir Guide pratique pour graver les CD [CD-Writing-HOWTO]pour de plus amples informations. Avec les différents lecteurs externes (PCMCIA, Firewire, USB), cependant, il vous faudra vraisemblablement peaufiner un peu vos réglages.

regionset adapte et affiche l'identifiant régional des lecteurs DVD.

Le projet Vidéo et DVD Linux a bien avancé depuis sa création. On peut également trouver sur les sites des liens vers divers documents qui présentent les spécifications du chipset DVD . Le projet Vidéo et DVD Linux cherche désespérément l'aide de la communauté opensource pour le développement. Voir également le Guide pratique sur l’utilisation des lecteurs DVD[DVD-Playback-HOWTO] .

Le pilote de format de disque universel [Universal Disk Format (UDF)] : "UDF est une norme de système de fichiers CDROM plus récente pour les disques DVD. Il a été conçu pour remplacer le système de fichiers ISO9660 utilisé sur les CDROM actuels, mais l'impact immédiat se fera pour la plus grande part sur le DVD. Les cédéroms multimédias DVD utilisent le système de fichiers UDF pour stocker des flux audio et vidéos. Pour accéder aux cédéroms DVD vous aurez également besoin d'un lecteur cédéroms DVD , du pilote du noyau pour le lecteur cédérom, un support vidéo MPEG quelconque, ainsi qu'un pilote de système de fichier UDF (comme celui-ci). Certains cédéroms DVD peuvent contenir à la fois des systèmes de fichiers UDF et ISO9660. Si c'est le cas, vous pourrez vous en sortir sans support UDF."

Vidéo sur DVD

Les formats de DVD:

Digital Versatile Disc
DVD-5  4.4GB 1 face 1 couche ~ 2h vidéo
DVD-9  8.5GB 1 face 2 couches ~ 4h vidéo
DVD-10 9.4GB 2 faces 1 couche ~ 4.5h vidéo
DVD-18 17 GB 2 faces 2 couches ~ 8h vidéo

Le paquetage smartmontools comporte deux programmes utilitaires (smartctl et smartd) afin de contrôler et surveiller les systèmes de stockage en utilisant la technologie SMART [Self-Monitoring, Analysis and Reporting Technology System] intégrée dans la plupart des disques durs SCSI et ATA modernes. Dans de nombreux cas, ces utilitaires donneront un message d’alerte lorsqu’il y a risque de dégradation ou de panne/d’échec du disque.

L'utilitaire hddtemp surveille la température des disques durs SMART.

Certains fabricants de disques durs offrent des outils dédiés pour changer les paramètres du disque dur. Par exemple Hitachi propose Drive Fitness Test (DFT) [test d'aptitude du disque], qui fournit une méthode rapide et sûre pour tester les disques durs SCSI et IDE, dont les disques IDE Serial-ATA. La fonction analyse du Drive Fitness Test permet d’effectuer des tests de lecture sans écraser de données utilisateur. (Cependant, le Drive Fitness Test est empaqueté avec d'autres utilitaires de restauration qui écrasent les données.) L'Outil fonctionnalités [Feature Tool] est un outils amorçable par DOS permettant de changer différentes fonctionnalités ATA.

Certains portables (généralement les plus chers) sont fournis avec un emplacement libre, susceptible d'accueillir un second disque dur ou un lecteur de CD/DVD. Chaque fabricant semble le nommer différemment, on rencontre fréquemment les noms MultiBay(TM) et SelectBay(TM). Il existe différents outils Linux pour gérer ces périphériques permutables à chaud.

thotswap fait partie des Utilitaires Toshiba(tm) pour Linux [Toshiba(tm) Linux Utilities] et rend possible la permutation à chaud des périphériques insérés dans la SelectBay.

Hotswap est un utilitaire permettant d'enregistrer et de désenregistrer un matériel IDE permutable à chaud. Il est fait pour servir sur les portables possédant une sorte de logement physique permettant de retirer le module de la machine sans la redémarrer. Sachez que cet utilitaire n'est pas nécessaire pour insérer ou retirer la batterie ou les lecteurs de disquettes; c'est uniquement pour les périphériques IDE.

L'outil de gestion du disque dur hdparm est lui aussi fourni avec une option de permutation à chaud.

Certains logements peuvent (dans certains cas seulement) accueillir une deuxième batterie. Actuellement je ne sais pas comment Linux peut gérer cela. Existe-t-il par exemple des outils montrant les statistiques pour la seconde batterie?

Pour faire fonctionner le port IrDA® de votre portable avec Linux/IrDA® , vous pouvez utiliser StandardInfraRed (SIR) ou FastInfraRed (FIR).

Si vous désirez monter à une vitesse de 4Mbps, votre machine doit être équipée avec une puce FIR particulière. Il vous faudra un pilote Linux/IrDA® particulier pour gérer cette puce. C'est pourquoi vous aurez besoin des informations exactes sur votre puce FIR. Vous pourrez obtenir cette information par l'une des méthodes suivantes :

  1. Lisez les caractéristiques techniques de votre machine, bien qu'il soit très inhabituel d'y trouver des informations suffisantes et fiables pour une utilisation avec Linux.

  2. Essayez de savoir si la puce FIR est un périphérique PCI. Faites un cat /proc/pci . Les fichiers correspondant aux noyaux 2.2.x sont dans /proc/bus/pci. TBien que, souvent, les informations sur le PCI sont incomplètes, on peut en général trouver les dernières informations en date sur les périphériques PCI ainsi que les numéros constructeurs dans la documentation du noyau ici : /usr/src/linux/Documentation ou sur la page Internet de Craig Hart . A partir du noyau 2.1.82, on peut également utiliser lspci depuis le paquetage pci-utils.

  3. Utilisez l'outil DOS CTPCI330.EXE fourni au format ZIP par le magazine informatique allemand CT ftp://www.heise.de/pub/ct/ctsi/ctpci330.zip . Les informations fournies par ce programme sont parfois meilleures que celles fournies par les outils Linux.

  4. Essayez d'obtenir des informations sur les périphériques Plug-and-Play (PnP) devices. Bien que je ne les aie pas encore utilisés dans ce but, les outils isapnp pourraient s'avérer utiles.

  5. Si vous avez installé le logiciel Linux/IrDA®, chargez les modules FIR et observez la sortie de dmesg, afin de savoir si FIR est détecté ou non.

  6. Un autre moyen pour s’y retrouver a été expliqué par Thomas Davis (modifié by WH): "Fouillez dans le site FRP du constructeur, trouvez les Windows9x FIR drivers, , ils ont (pour une puce SMC):

    -rw-rw-r--   1 ratbert  ratbert       743 Apr  3  1997 smcirlap.inf 
    -rw-rw-r--   1 ratbert  ratbert     17021 Mar 24  1997 smcirlap.vxd 
    -rw-rw-r--   1 ratbert  ratbert      1903 Jul 18  1997 smcser.inf 
    -rw-rw-r--   1 ratbert  ratbert     31350 Jun  7  1997 smcser.vxd 
    
    Si vous êtes dans le doute, cherchez toujours les pilotes .inf/.vxd pour Windows95. Windows98 n'est fourni avec _AUCUN_ pilote FIR (il s'agit tous de pilotes développés par des tiers, la plupart par Counterpoint, qui a été racheté par ESI."

  7. Thomas Davis a également trouvé un paquetage de divers petits utilitaires DOS réalisés par SMC. Le paquetage contient FINDCHIP.EXE. Il comporte également un utilitaire FIRSETUP.EXE censé pouvoir régler toutes les valeurs sauf l'adresse de la puce. De plus il contient BIOSDUMP.EXE, qui produit une sortie de ce genre :

    Exemple 1 (sur un COMPAQ Armada 1592DT)

    In current devNode:
               Size      = 78
               Handle    = 14
               ID        = 0x1105D041 = 'PNP0511' -- Generic IrDA SIR
    Types:  Base = 0x07, Sub = 0x00,  Interface = 0x02
    Comm. Device, RS-232, 16550-compatible
    Attribute = 0x80
                    CAN be disabled
                    CAN be configured
    BOTH Static & Dynamic configuration
    Allocated Resource Descriptor Block TAG's:
    TAG=0x47, Length=7 I/O Tag, 16-bit Decode
    Min=0x03E8, Max=0x03E8
    Align=0x00, Range=0x08
    TAG=0x22, Length=2 IRQ Tag, Mask=0x0010
    TAG=0x79, Length=1 END Tag, Data=0x2F
    

    Résultat 1:

    Irq Tag, Mask (bit mapped - ) = 0x0010 = 0000 0000 0000 0001 0000 donc, il s'agit de l'IRQ 4. (on commence à 0, et on compte ..), donc il s'agit d'un périphérique SIR uniquement, situé à l'IRQ=4, IO=x03e8.

    Exemple 2 (sur une machine inconnue)

    In current devNode:
              Size      = 529
              Handle    = 14
              ID        = 0x10F0A34D = 'SMCF010' -- SMC IrCC
    Types:  Base = 0x07, Sub = 0x00,  Interface = 0x02
    Comm. Device, RS-232, 16550-compatible
    Attribute = 0x80
                   CAN be disabled
                   CAN be configured
    BOTH Static & Dynamic configuration 
    
    Allocated Resource Descriptor Block TAG's:
    TAG=0x47, Length=7 I/O Tag, 16-bit Decode
    Min=0x02F8, Max=0x02F8
    Align=0x00, Range=0x08
    TAG=0x22, Length=2 IRQ Tag, Mask=0x0008
    TAG=0x47, Length=7 I/O Tag, 16-bit Decode
    Min=0x02E8, Max=0x02E8
    Align=0x00, Range=0x08
    TAG=0x2A, Length=2 DMA Tag, Mask=0x02, Info=0x08
    TAG=0x79, Length=1 END Tag, Data=0x00
    

    Résultat 2:

    a) il s'agit d'une puce SMS IrCC.

    b) une portion se situe à 0c02f8, avec une io-extent de 8 octets; irq = 3

    c) une autre portion se situe à 0x02e8, io-extent de 8 octets; dma = 1 (0x02 =0000 0010)

    Thomas Davis has placed some device information.

    [Avertissement]Avertissement

    Le paquetage n'est pas destiné à l'utilisateur final, aussi certains des utilitaires pourraient endommager l'ordinateur. La seule documentation dans le paquetage est au format Microsoft Word. Les utilisateurs de Linux pourront le lire avec catdoc.

  8. Utilisez le Gestionnaire de périphériques du système d'exploitation Windows9x/NT de MicroSoft.

  9. Vous pouvez également utiliser les enquêtes sur les matériels mentionnées plus bas.

  10. Et en dernier recours, vous pouvez même ouvrir le portable et jeter un œil à ce qui est écrit sur les puces elles-mêmes.

J'ai réalisé une enquête sur le matériel IrDA ici : TuxMobil . Cette liste contient également des informations à propos des périphériques fonctionnant en infrarouge qui ne sont pas mentionnés ici (souris, imprimantes, télécommandes, émetteurs/récepteurs, etc.).

Pour que cette liste soit plus valable, il est nécessaire de réunir plus d'informations sur les périphériques infrarouges présents sur différents matériels. Vous pouvez m'aider en m'envoyant un petit courriel mentionnant le nom exact du matériel que vous possédez et quel type de contrôleur infrarouge il utilise.

Merci également de me donner votre avis sur le fonctionnement du Linux/IrDA® (sur quel tty, quel port et quel mécanisme d’interruption il fonctionne, ainsi que le périphérique infrarouge correspondant, c'est-à-dire imprimante, téléphone mobile).

Vous pouvez également apporter votre aide en contribuant à la collecte d'informations technologiques détaillées sur certains périphériques infrarouges, ce qui est nécessaire au développement de pilotes pour Linux.

Le LIRC [Linux Infrared Remote Control] est un paquetage qui permet de recevoir et d'envoyer les signaux infrarouges les télécommandes les plus courantes. Il comporte un pilote de périphérique pour le matériel connecté au port série, un démon qui décode et envoie des signaux infrarouges en utilisant ce pilote de périphérique, un démon souris qui traduit les signaux infrarouges en mouvements souris ainsi que quelques programmes utilisateurs qui permettent le contrôle de votre ordinateur grâce à une télécommande. Les informations que j’ai ne me permettent pas d’évaluer le fonctionnement des télécommandes infrarouges sur les périphériques infrarouges des portables.

Etes-vous à la recherche de Pilotes Linux pour cartes SDIO? Il n'y a pas grande chose disponible pour le moment. Mais voici quelques pistes.

Le projet The Linux Memory Technology Device a pour but de fournir un sous-système unifie pour la gestion de la mémoire vive [RAM] et des cartes Flash. Il est conçu pour être compatible avec le code PCMCIA pour Linux, afin éviter la duplication du code et de refaire plusieurs fois le même code et le même travail, et pourtant toutefois les petits systèmes imbriques constituent sa cible principale; il sera donc possible de compiler les pilotes dans le noyau pour une utilisation en tant que système de fichiers racine [root], et une attention spéciale sera accordée au marquage [footprint] de la mémoire.

Pour plus d'informations sur ces périphériques et autre périphériques USB ainsi que sur ceux qui sont compatibles Linux voir le USB Survey et mon Mobile USB Linux Hardware Survey .

Il existe beaucoup de dongles. J'ai testé le AIRcable pour ordinateur portable et ordinateur de poche [PDA] (par exemple le modèle les modèles Zaurus de SHARP SL-5x00 et C-7x0 SL-5x00 et C-7x0 de SHARP). Ce kit dongle USB permet de connecter rapidement et facilement des ordinateurs portables Linux entre eux sans utiliser de fils. AIRcable utilise une connexion BlueTooth sans avoir besoin d'une configuration compliquée. Par exemple : le AIRcable Zaurus USB peut être utilisé pour synchroniser Zaurus (ZaurusManager, Intellisync), pour les ordinateurs de bureau Qtopia et pour les connexions réseau par l'intermédiaire des ordinateurs (Linux, Windows, Apple) qui utilisent pppd. Pour plus d'informations, voir l'enquête sur les téléphones mobiles compatibles, etc. à TuxMobil.

Pour une étude des ports et protocoles d'impression sur imprimantes portables ou fixes, voir plus loin le chapitre "Différents environnements".

  1. CANON : BJC-80 (cette imprimante peut également être utilisée en comme scanner avec la tête de numérisation optionnelle). David F. Davey a écrit ceci : "J'ai finalement réussi à faire marcher convenablement une Canon BJC-80 avec l'IrDA®. Par "convenablement" je veux dire par rapport à ce qu'on attend d'un périphérique pseudo - PostScript en passant par un ghostscript et un lpd modifié.

    Voici comment :

    • linux-2.2.7-ac2-irda6

    • /proc/sys/net/irda/slot_timeout porté à 10 (essentiel sinon la détection échoue)

    • ghostscript DEVICE défini à bjc600

    • printcap inclut :

      :xc#01777777:\
      :fc#017:\
      :fs#020000010002:
      

    • et il a fallu modifier lpd pour accepter les valeurs ulong fs et utiliser xc (sur lequel on a une information dans les lpd que j'ai utilisés mais qui n'est pas codé). "

    Pour plus d'information allez voir sa page concernant BJC-80 .

    Tim Auckland a écrit ceci : "La version de mon lpd pourrait-elle être utile ? unixlpr est une version portable de l'ensemble lpr/lpd, compatible avec les versions traditionnelles et la RFC 1179 et avec quelques extensions mineures, comportant le champ :ms= (que l'on voit également dans SunOS 4) et avec la possibilité d'imprimer directement sur des imprimantes réseau TCP sans avoir besoin de filtres spéciaux. ms vous permet de configurer le tty en utilisant directement des arguments stty, alors si stty peut utiliser les drapeaux [flags] étendus, mon lpd devrait pouvoir utiliser IrDA® tel quel. La dernière version de unixlpr se trouve ici .

  2. CANON : BJC-50 65% de la taille du BJC-80, avec une batterie Li-Ion incluse, and et en gros les mêmes options que le BJC-80.

  3. CANON : BJ-30 Imprimantes HP DeskJet 340Cbi et le BJC-80 ont un port infrarouge. Faites attention à la tension électrique si vous prévoyez de voyager à l'étranger. Je n'ai pas encore pu tester les fonctionnalités scanner avec Linux.

  4. Citizen : CN-60

  5. Pentax : Pocketjet

  6. HP: DeskJet 340Cbi. Imprimante de petite taille, portable, pour utilisation modérée. Elle peut imprimer en noir et blanc ou couleur (3 couleurs). J'ai eu quelques problèmes avec l'alimentation en papier. Dans l'ensemble, sa taille réduite et la portabilité rend en fait un produit très utilisable agréable à utiliser avec les ordinateurs portables. J'utilise le pilote HP500/500C avec Linux.

  7. Olivetti: JP-90

  8. MaxPoint : TravelScan, scanner portable pour le port PCMCIA.

Autant que je sache, seules la HP Deskjet 340cbi et la BCJ-80 ont un port infrarouge. Faites attention à la tension électrique si vous prévoyez de voyager à l'étranger. Je n'ai pas encore pu tester les fonctionnalités scanner avec Linux

SANE signifie Scanner Access Now Easy et est une interface de programmation d'application (API) qui fournit un accès standardisé à tout matériel avec un module de balayage d'image de trame (scanner horizontal, scanner de type à main, cameras et appareils photo, cartes de capture vidéo, etc). Le standard SANE est gratuit et open source, tout le monde peut donner son avis dessus et participer à son développement. Le code source actuel est disponible. Le code source est écrit pour UNIX (Linux inclus) et est disponible sous licence publique GNU (les applications et utilisations commerciales sont également les bienvenues, cependant).

GOCR est une application de reconnaissance optique écriture. Elle convertit les fichiers PGM en ASC.

Pour les pilotes de scanners, voir Linux Drivers for Handheld Scanners.

Vous vous demandez probablement, pourquoi j'aborde ce sujet ici. Mais peu de temps après avoir utilisé mon COMPAQ Armada 1592DT, je me suis aperçu que l'arrière de la machine (où se trouvent les différents ports de connexion) était légèrement abîmé. Malgré toutes les précautions prises lors du transport de l'ordinateur portable, cela s'est produit en posant le sac par-terre. Il semble que le portable soit si lourd, qu'il rebondisse dans le sac sur sa propre face arrière. J'ai donc décidé de rembourrer le fond du sac avant d'y mettre le portable. Un bon sac est vivement recommandé si vous emmenez votre portable en voyage, ou si vous le ramenez à la maison tous les soirs.

Les ordinateurs portables sont souvent cassés dans leur sac de transport. Les deux principales causes de casse sont, un choc dans l'écran LCD et des coups portés sur les bords. Une bonne malette a des côtés très rigides pour amortir les coups, et beaucoup de rembourrage qui absorbe les coups sur les bords pour le protéger quand vous le cognez dans le chambranle d'une porte. Peu de sacs de transport ont effectivement l'une ou l'autre de ces caractéristiques.

La plupart des ordinateurs portables sont voués à être volés plutôt que cassés, donc le camouflage est également judicieux. Emerson, Tom # El Monte <TOMEMERSON_AT_ms.globalpay.com> écrit : "J' utilise comme sac de transport pour portable : un sac de transport pour plat en Pyrex. Ouais, vous devez penser que c'est farfelu de transporter un portable dans un sac pour plat, mais il s'avère qu'il y a plusieurs avantages :

Le chapitre sur le noyau n'est pas encore prêt. Seulement quelques notes sur les changements importants entre les noyaux 2.4 et 2.6 concernant les ordinateurs mobiles. De même que quelques notes sur les configurations du noyau pour les portables.

Source PCMCIA.ORG: «  La PCMCIA (Personal Computer Memory Card International Association) est un organisme de normalisation international et une association professionnelle comptant plus de 200 entreprises membres. Ellea été fondée en 1989 pour établir des normes pour les cartes de Circuits Intégrés et pour promouvoir l'interchangeabilité entre les ordinateurs mobiles pour qui la robustesse, la faible consommation d'énergie, et la petite taille étaient indispensables. En même temps que les besoins des utilisateurs d'ordinateurs mobiles évoluaient, les normes PC Cards évoluaient aussi. En 1991, la PCMCIA avait défini une interface d'E/S avec les mêmes connecteurs à 68 broches initialement utilisés pour les cartes mémoires. Au même moment, la Socket Services Specification fit son apparition bientôt suivie par la Card Services Specification, les développeurs se rendant compte qu'il faudrait des logiciels communs pour améliorer la compatibilité.  » Les cartes sont disponibles dans différents formats : Type I, II, III.

Citation du fichier ../Documentation/Changes : "Le PCMCIA (PC Card) est maintenant partiellement supporté dans la source principale du noyau. Faites attention quand vous recompilez votre noyau. Si vous avez besoin d'utiliser les modules PCMCIA-CS, ne compilez pas le support du PCMCIA par le noyau. Si vous n'avez pas besoin d'utiliser les modules PCMCIA-CS (c'est-à-dire que tous les pilotes dont vous avez besoin sont dans les sources du noyau), ne les compilez pas; vous n'aurez besoin de rien là-dedans. Veillez également à bien mettre à niveau votre PC avec la dernière version de PCMCIA-CS." Vous pouvez récupérer des informations supplémentaires dans le README-2.4 inclut avec ce paquetage.

On peut trouver un exemple de configuration du noyau pour les ordinateurs portables dans Section 3, « Configuration du noyau pour les ordinateurs portables ».

Pour le moment deux pilotes de gestion de l'énergie existent dans le noyau linux (pour autant que je sache). Chacun possède sa propre interface de configuration, /proc/apm/ et /dev/apmctl/ et /proc/acpi/ ou quelque chose comme ça.

Pour plus d'information, voir la page de John Fremlin . Il a également écrit un programme appelé powermanager.

ACPI est disponible avec le noyau 2.4. Voir le chapitre ci-dessous.

Le démon Powersave Daemon de Suse propose le contrôle et la surveillance de la batterie, de la température, de l'alimentation, et de la fréquence du processeur. Ce démon fournit aussi une bonne prise en charge de l'hibernation et de la mise en veille de la machine. Il supporte les machines utilisant ACM et ACPI et peut contrôler les paramètres avancés du disque dur pour l'alimentation et l'accoustique. Il est adapté aux ordinateurs portables et aux stations de travail que l'on a pas besoin de faire tourner à fond et qui consomment peu d'énergie. Il permet également de basculer en mode d'utilisation intense si nécessaire. L'utilisation de profils de consommation d'énergie auto-définissable permet le contrôle de l'alimentation électrique et de basculer automatiquement entre différents niveaux de performance pour chaque composant de la machine.

Il y a une nouvelle liste de diffusion pour les développeurs interessés par les fonctionnalités de branchement à chaud du noyau linux. Cela concerne entre autre les standards USB, PCMCIA, SCSI, Firewire, et probablement PCI. Il existe un premier site sur SourceForge .

Compatibilité du noyau Linux pour les périphériques connectables à chaud.

CONFIG_HOTPLUG
  Say Y here if you want to plug devices into your computer while
  the system is running, and be able to use them quickly. In many
  cases, the devices can likewise be unplugged at any time too.

  One well known example of this is PCMCIA- or PC-cards, credit-card
  size devices such as network cards, modems or hard drives which are
  plugged into slots found on all modern laptop computers. Another
  example, used on modern desktops as well as laptops, is USB.

  Enable HOTPLUG and KMOD, and build a modular kernel. Get 
  agent software
  and install it. Then your kernel will automatically call out to a
  user mode "policy agent" (/sbin/hotplug) to
  load modules and set up software needed to use devices as
  you hotplug them.

PCMCIAutils propose des scripts de branchement à chaud et les outils d'initialisation nécessaires au sous-système PCMCIA pour qu'il se comporte comme (presque) tout les autres bus système branchables à chaud (par exemple USB, IEEE1394). Cette fonctionnalité n'est disponible que depuis la version 2.6.13-rc1 du noyau.

On peut trouver un exemple pour les noyaux 2.4.x ici A noter : n'utilisez pas ce fichier par défault, utilisez toujours make config, make menuconfig ou make xconfig pour créer un fichier de configuration du noyau. Voir Kernel-HOWTO (du Linux Development Project) pour plus d'informations. Thomas Hertweck a écrit un autre guide pratique très utile Linux-Kernel-HOWTO mais n'est disponible qu'en allemand et en italien.

laptopkernel est un ensemble de correctifs pour le noyau Linux contenant de nombreux correctifs utiles pour les utilisateurs d'ordinateurs portables. Il contient les patches de compatibilité pour acpi, mise en veille, supermount et quelques autres correctifs de compatibilité matérielle. Malheureusement, ce projet est en sommeil depuis 2003.

Table des matières

7. Différents Environnements
1. Documentation en rapport
2. Outils de configuration
2.1. NetEnv
2.2. Gestionnaire de profil de configuration système - SCPM
2.3. ifplugd
2.4. divine
2.5. IP mobile
2.6. DHCP/BootP
2.7. Options PPPD
2.8. /etc/init.d
2.9. PCMCIA - Profils
2.10. Programmes de démarrage
2.11. X-Windows
2.12. Informations supplémentaires
3. E-Mail
3.1. Introduction
3.2. Le courriel avec UUCP
3.3. MailSync
4. Transfert de données entre différentes machines (synchronisation)
4.1. Matériel utile
4.2. Logiciels utiles
5. Connexions aux serveurs
6. Sécurité dans différents environnements
6.1. Introduction
6.2. Principes de sécurité
7. Protection contre le vol
7.1. Méthodes pour protéger ses données
7.2. Méthodes pour protéger le matériel
7.3. Le Jour d'Après
7.4. Documentation
8. Que faire des périodes d'inactivité (les tâches cron)
9. Imprimer des documents lors de deplacements
10. La lutte contre le bruit
10.1. La console (shell) et le X11
10.2. Le PCMCIA
10.3. L'USB
10.4. Branchement à chaud
10.5. Le ventilateur
10.6. Le dique dur
10.7. Applications diverses
8. Les solutions en informatique mobile
1. Introduction
2. Analyseur mobile de réseaux
3. Routeur mobile
4. Piratage et intrusion sur les réseaux
5. Acquisition des données et mobilité
5.1. Documentation sur le sujet
5.2. Applications
5.3. Environnements particuliers
6. Le bureau nomade
7. Connexion à un appareil photo numérique
8. Connexion à QuickCam (Vidéo)
9. Connexion à un téléviseur
10. Connection avec un téléphone mobile
11. Connection au Système de Guidage par Satellite (GPS)
12. Connection par Radio Amateur
13. Observation des satellites
14. Aviation
15. Utilisateurs aveugles ou mal voyants

Dites-le moi et j'oublierais. Montrez moi et il est possible que je m'en souvienne. Impliquez moi et je comprendrais.

-- Confucius, 450 B.C.

Si vous utilisez Debian GNU/Linux vous devriez vous reporter au chapitre intitulé "Configuration du réseau" du guide de référence Debian. Debian contient un grand nombre de paquets permettant l'itinérance sur plusieurs réseaux sans effort.

Utilisez vous votre ordinateur portable sous différents environnements? A la maison? Au bureau? Chez des clients?

Si c'est le cas, le paquetage "netenv" pourrait vous être utile. Lors du démarrage, il fournit une interface simple où on peut choisir son environnement réseau. Au premier démarrage dans un nouvel environnement, on peut entrer les données de base et le sauver pour les utilisations ultérieures.

Netenv écrit un fichier de configuration dans lequel il stocke les affectations de variables et décrit l'environnement courant. Ceci peut être utiliser pour la configuration PCMCIA, par exemple celle fournit avec Debian/GNU Linux et peut-être d'autres.

Les données de netenv peuvent être utilisées pour différentes choses :

Netenv est disponible ici : netenv home. son interface repose sur dialog(1). Netenv est développé par Gerd Bavendiek.

Le Gestionnaire de profil de configuration système - SCPM de Suse permet de basculer entre les profils de configuration. On peut démarrer avec un profil et en changer à la volée. C'est le successeur de l'ancien gestionnaire de profil de Suse.

ifplugd est un démon léger qui configure automatiquement le réseau lorsqu'on branche un câble et le déconfigure lorsqu'on débranche le câble. Il a été à la base développé pour les ordinateurs portables. Il se base sur le sous système natif de la distribution, et est particulièrement discret.

divine est un utilitaire pour les personnes qui utilisent leur machine sur différents réseaux tout le temps. Voici se dont il s'agit :

  • vous décrivez les différents réseaux possibles dans /etc/divine.conf, en incluant une ou plusieurs machines présentes sur le réseau (routeurs et serveurs NIS par exemple).

  • vous lancez Divine au démarrage.

  • divine exécute un processus qui injecte de fausses requêtes arp sur le réseau. Le processus fait trois tentatives, avec une seconde de délai entre chaque. Si la dernière tentative échoue, le processus affiche un message d'erreur, laisse l'interface configurée comme précédemment et quitte proprement.

  • le processus principal attend juste une réponse ARP et se termine lorsqu'une réponse est reçue.

  • Il y a un fichier resolv.conf par réseau, par exemple /etc/resolv.conf.default et /etc/resolv.conf.work. divine va faire un lien symbolique /etc/resolv.conf pour vous.

  • On peut spécifier un serveur proxy et un port et divine va écrire le serveur proxy dans /etc/proxy. On peut vérifier ceci dans le script de démarrage shell de la façon suivante (zsh):

    export http_proxy="http://`</etc/proxy`/"
    
    Le script perl inclu (edit-netscape-proxy.pl) va éditer la configuration du proxy dans votre fichier de préférences Netscape 4.

  • On peut même spécifier un script additionel qui sera exécuter à chaque sélection. On peut s'en servir pour éditer /etc/printcap ou /etc/issue ou faire autre chose que j'ai oublié.

L'avantage de divine par rapport aux autres solutions est que les autres utilisent habituellement ping ou quelque chose comme ça. divine peut rechercher un grand nombre de réseaux en même temps, en assumant que les machines du réseau répondent en moins d'une seconde (4 dixièmes de seconde sont généralement nécessaires sur un réseau ethernet. Et faire un ping sur une adresse inconnue va générer une requête ARP de toute façon, alors pourquoi ne pas faire une requête ARP directement?

D'après le Networking-HOWTO : "Le terme IP mobile décrit la capacité d'un hôte à déplacer ses connections d'un point d'Internet à un autre sans changer son adresse IP ni perdre sa connexion. Habituellement quand un client change son point de connexion, son adresse IP doit changer également. IP Mobility résoud ce problème en attribuant une IP fixe au client et utilise l'encapsulation IP (tunneling) avec routage automatique pour s'assurer que les datagrammes destinés à ce client sont routés vers l'IP qu'il utilise au même moment."

L'IP mobile HUT est un système dynamique et hiérarchique d'IP Mobile pour les systèmes d'exploitation basé sur Linux. L'implémentation met en place un modèle hiérarchique pour la mobilité de l'IP, en réduisant le taux de rafraichissement de la position , puisqu'un client mobile bouge. Les systèmes dynamiques ont été conçus pour le sans-fil (Wireless, LAN...), leur fonctionnalité a été optimisé pour la mobilité dans les réseaux WIFI. Il y a maintenant une liste de diffusion disponible. On peut s'y inscrire en envoyant un courriel avec comme objet <dynamics-user-request_at_cs.hut.fi> ; on peut simplement aller voir les archives de mails.

Je m'inspire de Martin J. Evans pour cette recommandation : La première chose à noter est que init va prendre tout argument de la forme name=value comme affectation de variable d'environnement si elle n'est pas reconnue comme quelque chose d'autre. Autrement dit, on peut fixer les variables d'environnement depuis les lignes de commandes LILO avant que les scripts rc ne s'exécutent. J'ai fixé la variable LOCATION en fonction de l'endroit où je me trouve quand je lance Linux, par exemple :

LILO: linux LOCATION=home
Ou bien
LILO: linux LOCATION=work
Ou simplement
LILO: linux
Ici, quand l'assignation de LOCATION échoue, la valeur prise par défaut est LOCATION=home(C'est ce que j'ai mis par défaut). Au lieu de taper LOCATION=place à chaque démarrage on peut ajouter une entrée au fichier /etc/lilo.conf et utiliser les instructions ci-dessous.
# Linux bootable partition for booting Linux at home
#
image = /vmlinuz
root = /dev/hda3
label = linux
read-only
# Linux bootable partition config ends
#
# Linux bootable partition for booting Linux at work
#
image = /vmlinuz
root = /dev/hda3
label = work
read-only
append="LOCATION=work"
# Linux bootable partition config ends
Avec l'exemple ci-dessus on peut utiliser "linux" pour le démarrage à la maison et "work" au travail.

Grâce à ce que nous venons de voir, on peut maintenant éditer les scripts rc appropriés pour tester l'ENVIRONNEMENT avant de lancer ifconfig, ou de configurer route etc.

Utiliser un portable dans différents environnements de Gerd Bavendiek . Article paru en août 1997 dans la Linux Gazette. C'est un petit article technique, excellent, qui décrit un moyen simple de configurer votre portable sous Linux pour démarrer sous différentes configuration réseau ou d'impression, particulièrement utile pour ceux qui utilise leur machine à la maison ainsi qu'à l'extérieur, comme au bureau, à l'école, ou chez des clients par exemple.

Petite introduction sur la façon de configurer la messagerie électronique sur un portable qui sert à la maison (avec modem) et au travail (ethernet) par Peter Englmaier <ppe_AT_pa.uky.edu>:

C'est la partie la plus compliquée. Après avoir installé le paquetage sendmail-cf, j'ai créé un fichier nommé /usr/lib/sendmail-cf/laptop.mc:

divert(-1)
include(`../m4/cf.m4')
define(`confDEF_USER_ID',''8:12'')
define(`confBIND_OPTS',`-DNSRCH -DEFNAMES')

# here you define your domain
define(`confDOMAIN_NAME',''pa.uky.edu'')
OSTYPE(`linux')
undefine(`UUCP_RELAY')
undefine(`BITNET_RELAY')

# there we send outgoing email
define(`SMART_HOST',`server1.pa.uky.edu') 

# there we send mail to users my laptop does not know
define(`LUSER_RELAY',`server1.pa.uky.edu') 

# again the domain, we want to be seen as
MASQUERADE_AS(pa.uky.edu)
FEATURE(allmasquerade)
FEATURE(nouucp)
FEATURE(nodns)
FEATURE(nocanonify)
FEATURE(redirect)
FEATURE(always_add_domain)
FEATURE(use_cw_file)
FEATURE(local_procmail)
MAILER(procmail)
MAILER(smtp)
HACK(check_mail3,`hash -a@JUNK /etc/mail/deny')
HACK(use_ip,`/etc/mail/ip_allow')
HACK(use_names,`/etc/mail/name_allow')
HACK(use_relayto,`/etc/mail/relay_allow')
HACK(check_rcpt4)
HACK(check_relay3)

Ceci paraît plus compliqué que ça ne l'est réellement. C'est simplement pour rediriger le courrier sortant sur SERVER1 (SMART_HOST) ainsi que le courrier destiné aux utilisateurs locaux inconnus (LUSER_RELAY). Comme ça, je peux envoyer des messages à mes collègues sans entrer leur adresse complète. Plus important : la ligne "De" de mes messages contient l'adresse du domaine MASQUARADE_AS et pas directement celle de mon ordinateur. Si ce n'était pas le cas, les messages envoyés grâce au bouton répondre pourrait ne jamais arriver. Il faut réexécuter sendmail pour que les changements prennent effet. A noter : c'est une configuration pour les systèmes Redhat 5.2. Vous aurez peut-être à adapter en fonction de votre distribution.

Maintenant, ce qu'il nous reste à faire est de générer le fichier /etc/sendmail.cf m4 laptop.mc >/etc/sendmail.cf et ajouter dans /etc/sendmail.cw tous les noms de domaines possibles dans lequel peut se trouver mon portable.

# sendmail.cw - include all aliases for your machine here.
laptop
laptop.pa.uky.edu
128.17.18.30
guest1
guest1.somewhere.org

Il est important d'avoir tous les alias dans ce fichier, autrement sendmail n'acceptera pas le message (et va répondre Nous ne transmettons pas à l'expéditeur). Enfin, il faut maintenant tester la configuration en envoyant des messages, et répondre aux messages dans toutes les configurations possibles. Toute mauvaise configuration peut entraîner une perte de messages.

Sur ma station de travail j'ai le fichier .forward suivant :

me@pop.acount.edu,me@server1

Ici server1 est la machine sur laquelle je possède un compte de messagerie. Tout message est envoyé sur mon compte POP pour être récupéré ultérieurement (avec fetchmail). Cependant, quand mon portable est connecté via ethernet, je veux que mes messages arrivent directement sur celui-ci, à la place du serveur POP:

me@laptop,me@server1

Dans les deux cas, une copie de sauvegarde des messages est envoyée à server1 (où je peux aussi les consulter si je n'ai pas mon portable). Je conserve tous les messages sur mon portable.

Le basculement est fait par trois fichiers de script et un fichier crontab(sur la station de travail) :

forward_pop

#!/bin/sh
echo "me@pop.acount.edu,me@server1" > ${HOME}/.forward

forward_laptop

#!/bin/sh
echo "ppe@laptop,ppe@server1" > ${HOME}/.forward
crontab ${HOME}/mycrontab
${HOME}/utl/check_laptop

check_laptop

#!/bin/sh
if /usr/sbin/ping -c 1 laptop  >/dev/null 2>&1 ; then
   :
else
   # redirect mail to pop
   ${HOME}/utl/forward_pop
   sleep 10
if /usr/sbin/ping -c 1 laptop  >/dev/null 2>&1 ; then
      # back to normal
      ${HOME}/utl/forward_laptop
else
# deactivate crontab check
/bin/crontab -l | grep -v check_laptop >${HOME}/tmp/mycrontab.tmp
      /bin/crontab ${HOME}/tmp/mycrontab.tmp
      rm -f ${HOME}/tmp/mycrontab.tmp
fi
fi

mycrontab

# mycrontab
0,10,20,30,40,50 * * * * ${HOME}/utl/check_laptop

A chaque fois que je branche le portable sur le réseau ethernet, je dois lancer forward_laptop, et à chaque fois que je le déconnecte je lance forward_pop. Au cas où j'oublie de lancer forward_pop, le processus crontab le lance pour moi moins de dix minutes plus tard. Pour faire tout ça automatiquement, je change les fichiers de script réseau sur mon portable comme suit :

/sbin/ifdown (ce script s'exécute, chaque fois qu'un périphérique réseau est arrêté

...
fi
# BEGIN new stuff
# turn off forwarding email
mail ppe <<EOF
turning off forwarding email
device = ${DEVICE}
hostname = `hostname`
EOF
if [ "${DEVICE}" = "eth0" -a "`hostname`"
= "laptop" ]; then
su -lc "ssh -l myusername server1
utl/forward_pop" myusername >& /dev/null
fi
# END new stuff

ifconfig ${DEVICE} down
exec /etc/sysconfig/network-scripts/ifdown-post $CONFIG

À noter, ce script vérifie le nom d'hôte. Au cas où je serais connecté à un réseau étranger, mon nom d'hôte et mon adresse IP deviendraient quelque chose d'autre, par exemple guest1.

/etc/sysconfig/network-scripts/ifup-post (ce script est lancé, chaque fois qu'un périphérique réseau est démarré.

# Notify programs that have requested notification
do_netreport
# BEGIN new stuff
# check for email -- I'm using fetchmail for this
if [ "${DEVICE}" = "eth0" -o "${DEVICE}"
= "ppp0" ]; then
su -lc fetchmail myusername >& /dev/null &
fi
# set clock if connected to ethernet, redirect email
if [ "${DEVICE}" = "eth0" -a "`hostname`" = "zaphod" ]; then
( rdate -s server1 ; hwclock --systohc --utc ) >& /dev/null &
# forward email
su -lc "ssh -l myusername gradj utl/forward_laptop" myusername >& /dev/null &
fi
# END new stuff

exit 0

Cette étape est totalement optionnelle. La configuration sendmail décrite ci-dessus appelle procmail pour chaque message reçu, on aurait pu appeler procmail en utilisant le fichier .forward (Voir la page du manuel de procmail). Procmail est un outil pratique pour bloquer le courrier indésirable et trier le courrier entrant.

Vous devez créer le fichier .procmailrc pour utiliser procmail. Voir le manuel de procmail, procmailrc, et procmailex (exemples). Ma configuration démontre, comment ignorer certains courriels et comment scinder les regroupements de courriels (synthèses) en éléments distincts :

# -- filtrage du courrier -- procmail est appelé par sendmail --
PATH=/bin:/usr/bin
MAILDIR=$HOME/Mail
LOGFILE=$MAILDIR/from
# Rappelez vous :
# utilisez ":0:" lorsque vous écrivez dans un fichier
# utilisez ":0"  quand vous écrivez à un périphérique, par exemple /dev/null, ou que vous envoyez un courriel

# - faites une sauvegarde de *tous* les courriels entrant, mais ignorez le courrier étiquetté ci-dessous -
:0 c:
*! ˆSissa-Repro
backup

# - garder seulement 50 courriels
:0 ic
| cd backup && rm -f dummy `ls -t msg.* | sed -e 1,50d`

# - effacer le courriel venant de la liste de diffusion 'postdocs', quand
# les messages ne sont d'aucun intérêt
:0
* ˆFrom.*postdocs
* ˆFrom.*Ernst Richter /dev/null :0
* ˆFrom.*postdocs
* ˆSubject.*card charge
/dev/null
# Scinder la liste de distribution venant du serveur d'aperçus "sissa" en différents courriels séparés
# - c'est un peu compliqué :(   
#   ça me permet de jeter un Å“il beaucoup plus rapidement à la liste et d'ignorer les aperçus qui ont un titre inintéressant. Je n'ai plus besoin de parcourir la liste entière, car mon logiciel de messagerie ne va afficher que la liste des articles
# 1. Scinder en plusieurs messages
:0
* ˆFrom no-reply@xxx.lanl.gov
| formail +1 -de -A "Sissa-Repro: true" -s procmail
# 2. Remise en page du message
# 2.1. Extraire 'Title:' depuis le corps du courriel et l'ajouter à l'entête
comme 'Subject:'
:0 b
* ˆSissa-Repro
*! ˆSubject
TITLE=| formail -xTitle:
:0 a
|formail -A "Subject: $TITLE " -s procmail

# 2.2. stocker le courriel entrant dans le dossier 'sissa-email'. Ici, on pourrait
#      aussi rejeter (et par la suite effacer) les sujets inintéressants
#      On pourrait aussi marquer les sujets interessants comme urgents ou envoyer une copie
#      à une boîte à lettre normale.
:0:
* ˆSissa-Repro
* ˆSubject
*! ˆreplaced with
sissa

En fait, il y a une interface tk pour configurer procmail (Je crois que ça s'appelle dotfiles).

Mailsync permet de synchroniser plusieurs boîtes de courriel. L'algorithme est un '3-way diff' (différentiateur 3 voies). Deux boîtes de courriel sont comparées simultanément à un relevé de leur état au moment de la dernière synchronisation. La création et la suppression des messages sont propagées aux deux boîtes. Mailsync peut synchroniser les fichiers de boîtes locales dans de nombreux formats, et par IMAP, POP, et IMAPS pour les boîtes distantes.

Je n'ai pas encore d'expérience sur le sujet. Juste un aperçu sur différents moyens de transfert et de synchronisation.

Bien que ce ne soit pas le but premier, les logiciels de gestion de version comme CVS (Concurrent Version System) sont des outils parfaits lorsque vous travaillez sur plusieurs machines et que vous avez du mal à les conserver toutes synchronisées (quelque chose qu'on appelle souvent « disconnected filesystems » dans la littérature informatique). Contrairement aux programmes comme rsync, qui sont asymétriques (d'un côté un maître, de l'autre un esclave, dont les fichiers sont écrasés par ceux du maître), CVS accepte que vous fassiez des changements sur plusieurs machines, et que vous les mettiez en commun ensuite. Les outils asymétriques sont à proscrire si vous ne respectez pas une discipline stricte, lorsque vous changez de machine. Au contraire, les outils comme CVS sont moins rigoureux.

Pour synchroniser deux machines ou plus (souvent une machine de bureau avec un portable), choisissez juste un emplacement de stockage CVS quelque part sur le réseau. Cela peut être une des machines que vous voulez synchroniser ou un troisième hôte. Dans tous les cas cette machine devra être facilement joignable sur le réseau et posséder de bons disques.

Ensuite, faites un cvs co sur la machine sur laquelle vous voulez travailler, faites vos changements, et faites un cvs commit au moment où vous voulez synchroniser et que vous êtes connectés. Si vous avez fait des changements sur les deux machines, CVS va essayer de les mettre en commun (d'habitude ça fonctionne bien automatiquement) ou abandonner et vous demander de résoudre cela à la main.

Les limites courantes de cette solution : CVS a du mal avec les fichiers binaires, donc cette solution est plus pour les utilisateurs de vi ou emacs que pour les fans de Gimp. CVS rencontre quelque problèmes avec certaines fonctionnalités UNIX comme les liens symboliques.

Pour plus d'informations sur CVS, allez voir la page Web . La documentation est très bien faite (au format info).

Le système de fichier CODA est un descendant du système de fichier Andrew. Comme AFS, Coda offre un accès avec transparence/sans modification de l'emplacement à un espace de noms de fichiers UNIX partagé répertorié dans un ensemble de serveurs de fichiers dédiés. Mais le Coda constitue une amélioration conséquente par rapport à l'AFS car il offre une bien meilleure disponibilité en cas de pannes de serveur et de réseau. L'amélioration de la disponibilité est complète puisqu'elle s'obtient en employant les techniques complémentaires de réplication de serveurs et des opérations de fonctionnement hors connexion. Les opérations hors ligne s'avère particulièrement utiles en ce qui concerne les ordinateurs portables.

unison est un outil de synchronisation de fichiers pour Unix et Windows. Il permet de stocker deux copies d'un ensemble fichiers et répertoires sur différentes machines (ou différents disques de la même machine), de les modifier séparement et de les mettre à jour en propageant les changements de chaque copie vers l'autre. Unison a été écrit par des chercheurs particulièrement exigeants au niveau de la qualité de la sémantique en matière de duplication : ils étaient très tatillons sur la sécurité, et tenaient à ce que les choses comme les arrêts prématurés se passent bien. Unison est simétrique/bidirectionnel contrairement à rsync, fonctionne bien avec les fichiers binaires (contrairement à cvs), et est simple d'utilisation (contrairement à la plupart des systèmes de fichiers distribués). Il entreprend également la synchronisation transparente entre Unix/Linux et Windows, ce qui n'est pas anodin. Quelques points faibles : il ne fait pas de contrôle de versions, et ne peut pas synchroniser plus de deux arborescences. unison partage un certain nombre de caractéristiques avec les logiciels de gestion de configuration.(CVS, PRCS, etc.), les systèmes de fichiers distribués (CODA, etc.), les utilitaires de miroirs uni-directionels (rsync, etc.) et autres synchronisateurs ( Intellisync, Reconcile, etc). Cependant, il y a un certain nombre de points sur lesquels il diffère :

  • unison s'exécute sur les systèmes MicroSoft Windows (95, 98, NT, and 2000) et Unix (Solaris, Linux, etc.) ( pour les PDA Linux basés sur ARM, voir le fil IPK TuxMobil . En outre, unison fonctionne indépendament de la plateforme, permettant de synchroniser un portable sous Microsoft Windows avec un serveur Unix, par exemple.

  • Contrairement à un système de fichiers distribués, unison est facile d'utilisation : pas besoin de bidouiller le noyau (ou même d'en être propriétaire), ni d'avoir les droits superutilisateur sur l'une des machines.

  • Contrairement à un simple utilitaire de sauvegarde ou de miroir, unison peut gérer les mises à jour sur deux copies d'un système de fichiers distribués. Les mises à jour n'entraînant pas de conflit sont propagées automatiquement. Les autres sont detectées et affichées.

  • unison fonctionne pour n'importe quel couple de machines reliées à internet, communiquant soit par une connexion physique directe, soit par un tunnel rsh ou un tunnel ssh crypté. Il tient compte de la bande passante du réseau, et fonctionne bien même sur les liaisons bas débit comme les connections PPP.

  • unison a des spécifications claires et précises.

  • unison est résistant aux échecs de transmission. Il laisse l'arborescence dans un état stable en cas d'arrêt anormal ou de problèmes de communication.

  • unison est gratuit; l'ensemble du code source est disponible sous la licence publique GNU.

Tsync (Transparent) Synchronisation est un démon utilisateur qui fournit une synchronisation transparente pour un ensemble de machines. Tsync utilise une architecture pair à pair [peer-to-peer] pour la capacité d'adaptation, l'efficacité et la robustesse.

MultiSync est un programme modulaire gratuit pour synchroniser les calendriers, les carnets d'adresses, et autres données du gestionnaire d'informations personnelles [PIM] entre les programmes de votre machine et d'autres machines, périphériques mobiles, PDAs ou téléphones portables. Actuellement MultiSync possède des extensions pour les calendriers Ximian Evolution et IrMC Mobile Client (supporté par le Sony/Ericsson T68i) via Bluetooth, infra-rouge, ou connexion par câble.

Mirrordir est un ensemble de fonctions regroupées en un paquetage. Il contient un utilitaire de connexion à distance et un démon qui fournit une console sécurisée, un équivalent à cp permettant l'envoi et la réception de fichiers depuis des serveurs ftp, un outil permettant de faire des miroirs de systèmes de fichier via ftp ou localement, et un autre utilitaire auquel on peut passer un script C pour effectuer des opérations récursives sur des fichiers.

mirrordir force le répertoire miroir à être une copie exact de l'arborescence maître dans le moindre détail pour une restauration ultérieure. Les fichiers dont la date de modification ou la taille varie sont automatiquement copiés. Les permissions, appartenances, dates de modifications, date d'accès, et autres propriétés sont dupliquées. Les périphériques, les canaux de transmission, et les liens symboliques et non symboliques sont dupliqués. Les fichiers ou répertoires du système mirroir qui n'existent pas dans le répertoire maître sont effacés. Ceci s'applique naturellement dans tous les sous-répertoires.

InterMezzo est un nouveau système de fichiers distribué avec un souci de haute disponibilité. InterMezzo est un projet Open Source, actuellement pour Linux (2.2 et 2.3). Un des premiers objectifs de développement est de supporter de manière flexible la copie de répertoires, avec fonctionnement hors connexion et cache persistant. Par exemple, on veut faciliter la copie des répertoires "home" personnels sur plusieurs ordinateurs, et résoudre les problèmes de synchronisation portable/bureau. A plus grande échelle le but est d'offrir la duplication d'emplacements à grande capacité de stockage , par exemple accroître la disponibilité pour les serveurs. InterMezzo est largement inspiré du système de fichier Coda, mais totalement repensé.

WWWsync/ est un programme écrit en Perl qui va mettre à jour vos pages web par ftp depuis vos pages locales. C'était à l'origine écrit pour mettre à jour les pages personnelles sur Demon, mais il fonctionne avec les autres fournisseurs qui fournissent des accès ftp direct aux pages web. Pour le moment, je ne sais pas ce qu'il en est pour les portables.

De Dirk Janssen <dirkj_AT_u.arizona.edu> : Voici plusieurs façons permettant de bien utiliser un portable depuis un ordinateur de bureau. Si vous avez un ordinateur de bureau au travail, ça vous intéresserait peut-être de l'utiliser comme serveur pour votre portable. Vous disposerez ainsi d'un écran plus grand et d'un meilleur clavier, sans avoir à vous soucier de la synchronisation de vos fichiers . Le plus simple est d'installer ssh sur les deux machines et faire un ssh entre votre ordinateur de bureau (avec X qui fonctionne) et votre portable. Ssh vous fournit une connexion sécurisée ainsi que, et c'est fondamental, une connexion X sécurisée entre les deux machines. Si vous tapez par exemple, emacs & dans votre console ssh, emacs démarrera une fenêtre sur votre ordinateur tout en tournant sur votre portable.

Il existe plusieurs manières de rendre cette situation plus productive ou plus compliquée. Emacs, pour commencer, peut ouvrir des fenêtres (appellées frames par emacs) sur des écrans séparés en tapant make-frame-on-display. De cette façon vous pouvez avoir le même emacs qui s'affiche sur votre ordinateur de bureau et sur votre portable. Un système double affichage est né.

Pour les autres programmes, vous devez en général décider au démarrage sur quel écran vous les voulez. Pour les avoir sur l'écran de votre portable, démarrez les comme d'habitude. Pour les démarrer sur l'écran de l'ordinateur de bureau, démarrez les depuis la console ssh sur l'ordinateur de bureau ou redirigez les affichages en utilisant la variable DISPLAY. Certains programmes acceptent aussi l'option -display. Regardez la documentation sur xauth pour savoir comment la configurer. Le plus simple est de savoir quel pseudo affichage, ssh a créé pour vous en tapant echo $DISPLAY dans la console ssh. Supposons que votre ordinateur de bureau s'appelle olli et votre portable stan, cela donnera, en général, quelque chose comme stan:10. Cela signifie que les processus sur stan (le portable) s'affichent sur ce qu'ils pensent être le 10ème écran de stan qui par la magie du ssh, est en fait relayé (de manière sécurisée) sur l'écran d'olli.

Il existe différentes manières de déplacer dynamiquement vos fenêtres d'une machine à l'autre. Une approche très intéressante est utilisée par xmove mais une bonne interface utilisateur fait défaut(des volontaires ?). Xmove crée un pseudo écran (similaire à stan:10 créé par ssh) et les fenêtres qui ont leurs propres variables DISPLAY pour ce pseudo écran peuvent être déplacées dans les deux sens entre de vrais écrans (à condition que tous les écrans utilisent la même palette de couleur).

Sinon, vous pouvez lancer un des multiples programmes qui ouvrent une fenêtre virtuelle root : une fenêtre sur votre bureau qui contient les autres fenêtres. Ça ressemble beaucoup à un émulateur. Avec ces programmes, vous pouvez démarrer vos processus sur stan, puis amener toutes leurs fenêtres sur olli, travailler alors pendant un certain temps puis les ramener sur stan de façon à pouvoir continuer à travailler sur stan. Mettez en veille votre portable et répetez ça à l'infini. Jetez un œil à xmx et VNC pour cela.

Si tout ceci est trop compliqué pour vous, mais que vous aimez utiliser les deux écrans en même temps, réessayez au moins avec x2x . Ce petit outil permet de déplacer votre souris d'un écran à l'autre et le focus du clavier suit aussi. Pour l'utiliser, vous avez besoin d'un autre ssh allant de stan (le portable) à olli (le fixe) : autrement dit tapez ssh olli dans la console de stan. Laissez tourner le shell pour voir quel pseudo écran a été créé avec la commande echo $DISPLAY. Cela vous renverra quelque chose comme olli:10 (voir les explications dans les paragraphes précédents). Maintenant tapez ceci dans n'importe quel shell d'olli : x2x -west -to olli:10 (je parle bien d'un shell qui tourne sur olli et qui s'affiche sur olli, pas un shell ssh). Cela crée un petit bandeau noir sur le côté gauche (ouest) de l'écran de l'ordinateur de bureau. Quand vous faites passer la souris dessus, la souris sur olli:10 bougera aussi. Comme olli:10 est juste un alias, créé par ssh, pour l'écran de stan, la souris sur votre portable se déplacera et vous pourrez taper votre texte là en tournant simplement la tête, sans avoir à déplacer vos mains.

Note sur la sécurité de X : jouer avec les différents programmes de gestion d'écrans est plus facile si vous lancez un xhost + sur l'un ou l'autre des ordinateurs. Mais c'est très dangereux. Faites le seulement quand vous n'êtes pas du tout connecté à un grand réseau. Si vous avez tout qui fonctionne, passez un peu de temps à faire marcher xauth. Si vous utilisez xdm, c'est en général facile. Sinon, songez à démarrer tout le temps votre serveur X avec le même cookie magique. C'est moins sûr mais ça l'est encore suffisamment, en plus vous n'avez à copier les cookies qu'une seule fois. Cherchez dans les scripts de démarrage (.xserverrc, .xinitrc, .xsession, etc) quelque chose comme cookie="MIT-MAGIC-COOKIE-1 `keygen`" et modifiez le comme ceci (à vous d'inventer votre propre cookie): cookie="MIT-MAGIC-COOKIE-1 12345678901234567890abcdefabcdef"

  1. Chiffrement : le noyau Linux offre différentes options.

  2. Cartes à puceIntelligentes (SmartCards): Les seuls ordinateurs portables diponibles avec une carte à puce intelligente intégrée sont le Siemens Scenic Mobile 800 ainsi que certains modèles ACER.

  3. Mots de passe utilisateur : peuvent être facilement contournés si l'intrus peut accéder physiquement à votre machine.

  4. Mots de passe pour le disque dur :

  5. Mots de passe pour le BIOS : sont également facilement craquables, bien que ce soit parfois plus difficile que pour les ordinateurs de bureau. Mais la méthode pour y parvenir n'entre pas dans le cadre de ce guide :) Certains fabricants ont maintenant un second mot de passe pour le démarrage.

    Si vous utilisez un mot de passe pour le BIOS ou pour le programme de démarrage, SIGNALEZ LE ! Mettez un autocollant (ou scotchez un bout de papier) sur le dessus de votre portable, avec un texte du genre :

    			   ATTENTION
    Cet ordinateur portable est protégé par un mot de passe. Celui ci ne peut être supprimé que par un technicien habilité de chez [Nom du Fabricant] sur présentation d'un document permettant d'identifier le propriétaire. Inutile de le voler, vous ne pourriez pas l'utiliser.
    
  6. Avant d'acheter un ordinateur d'occasion, vérifiez si la machine a été volée. J'ai fait un relevé des bases de données des vols de portables.

  1. Portables avec antivol : quasiment tous (si ce n'est pas tous) les nouveaux portables possedent un emplacement pour antivol, et si le vôtre n'en a pas, la plupart des antivols sont fournis avec un kit pour ajouter un emplacement. Un des antivols Defcon de Targus possede même un detecteur de mouvement, vous n'avez pas à le fixer à un endroit sûr, si il n'y en a pas près de vous.

    Le seul reproche auquel je pense, est le fait que cela prend quelques secondes de plus pour installer ou ranger votre portable. On met environ 30 secondes pour le mettre en place ensuite il n'est pas possible de simplement prendre le portable pour l'amener à un autre endroit sans perdre de temps. Cela n'arrêtera pas un voleur determiné qui aurait le temps de dévisser les pieds du bureau ou un autre qui se balladerait par là avec une bonne paire de pinces coupantes dans les mains, mais je me sens plus en sécurité quand je laisse mon poartble sur le bureau le temps d'une réunion ou d'un dejeuner.

    Kensignton et TARGUS sont des fabricants connus d'antivols pour portables.

  2. Plaque d'identification : pour réduire le risque d'un vol, vous pouvez faire poser une plaque d'identification (nom, télephone, e-courriel, adresse) sur le couvercle de votre portable. On en trouve de bien pour 12$ et vous pourrez la faire faire dans un magasin de trophées. Ils la colleront par la même occasion. Vous pourriez utiliser un adhésif double face mais la colle tient mieux. C'est donc facile à retourner, mais le portable sera en mauvais état si on les enlève. On peut même faire une marque sous le couvercle du portable (à l'intérieur), mieux encore : sur chaque élément amovible ( disque dur, batterie, lecteur CD/DVD, unité d'alimentation). Si cette machine arrive un jour dans un atelier de réparation, il se pourrait bien qu'on me la renvoie. N'oubliez pas de mettre à jour la plaque si vous déménagez.

    Si ça ne vous embête pas de faire une marque sur un équipement de plusieurs centaines d'euros, n'hésitez pas à marquer votre portable d'un signe particulier facilement reconnaissable, par exemple, un paquet d'autocollants collés dessus. Non seulement cela rend votre portable plus facilement reconnaissable, mais à mon avis les gens seront moins enclins à le voler.

    Ça pourrait peut-être même servir d'avoir un autocollant qui dirait clairement « Ne fonctionne pas sous Windows ». C'est au moins un argument pour faire s'arrêter votre programme de démarrage à l'écran de démarrage du programme, plutôt que d'arriver sur un écran d'authentification XDM pittoresque.

  3. Lier xlock à des services apm. Pourquoi ne pas installer un système qui, lorsque le portable est inutilisé pendant un certain temps, au lieu d'utiliser le service apm normal et mettre en veille la machine, lancerait un xlock, désactiverait les services apm de manière à ce qu'ils ne mettent pas en veille automatiquement et démarrerait un 'démon de protection pour portables' Quand le xlock disparaît, le démon est stoppé et les services apm sont restaurés ( vous pouvez alors utiliser vous-même les services apm).

    Dans le cas où quelqu'un débranche la machine sous xlock (sans donner le mot de passe) le démon devrait le détecter et pourrait alors démarrer une action préventive comme : - lancer un message sonore à fond disant "On est en train de me voler". - le démon peut aussi s'enregistrer à un serveur local donné et effectuer un ping à intervalles réguliers. Si le ping s'arrête avant que le démon ne se deconnecte auprès du serveur, ce dernier peut prendre d'autres mesures comme envoyer un SMS, démarrer une caméra video dans la pièce, etc. L'arrêt des services apm devraient empêcher toute utilisation par le voleur des touches spéciales pour susprendre/arrêter la machine, pas vrai ?

  4. Vous pouvez changer le logo de « Prévention de la pollution  » au démarrage sur les BIOS AWARD. Reportez vous aux instructions de Sven Geggus. Pour les IBM ThinkPads, il existe un utilitaire DOS dédié pour graver votre carte de visite sur l'écran de démarrage du BIOS.

  5. Programme de démarrage : on peut utiliser un gestionnaire de démarrage pour mettre son nom, son numéro de télephone (ou tout ce qu'on veut) dans la séquence de démarrage avant que le système d'exploitation soit chargé. On obtient ainsi une etiquette qu'on ne peut effacer qu'en éditant des fichiers ou en réalisant un simple formatage du disque dur. Certains programmes de démarrage (e.g LILO) permettent l'utilisation de mots de passe, ce qui est hautement recommandé (notez que sans ça, c'est très facile d'obtenir un accès de super adminisatrateur root)

  6. Camouflage : Si vous portez un sac conçu pour les portables, il peut être facilement remarqué par un voleur. Donc, pensez à utiliser un autre type de sac.

  7. Numéro de série : notez le numero de série dans un endroit sûr. Il sera nécessaire si votre portable vient à être volé.

  8. Assurance : il existe des assurances spécialisées, reportez-vous à ma page Base de données des vols de portables.

  9. Utilisation d'un logiciel qui se connecte et s'identifie tout seul : pour autant que je sache, il y avait un vieil utilitaire DOS qui faisait un truc dans ce genre-là . Il s'intégrait dans le secteur de démarrage et via une combinaison de touches donnée, il affichait un numéro de série sur l'écran et sortait un code en audio par le haut-parleur (au cas où l'écran n'etait plus utilisable pour une quelconque raison). Vous étiez censé inscrire le numéro de série auprès de la société qui avait produit l'utilitaire.

    Le portable peut envoyer un courriel avec son adresse IP réelle si il est connecté (courriel avec une capture d'écran de ifconfig démarré avec /etc/ppp/ip-up ou comme tâche cron (si il est connecté à un réseau d'entreprise)).

  10. Retirez toujours les périphériques externes et rangez les dans un autre endroit ou une autre salle. Modifiez le BIOS pour démarrer directement sur le disque dur et ce par défaut et supprimez si possible les démarrages depuis les autres périphériques. Essayez aussi de brancher l'alimentation dans la prise la moins accessible. Comme ça si votre machine est volée dans votre bureau le temps de le dire (par exemple au cours d'une pause cigarette de 5 secondes), le voleur n'aura peut être pas le temps de prendre l'alimentation ni de prendre les lecteurs. Ça ne lui servira peut-être pas à grand-chose de se retrouver avec ce portable et vous pourrez peut-être le récupérer.

  11. Équipements électroniques (transpondeurs) : il existe aussi des équipements qui peuvent être detectés à distance par satellites, allez voir l'étude que j'ai faite sur ces équipements sur ma page sur le vol de portables.

Un programme de type cron qui ne marche pas en fonction de la durée : anacron (comme "anac(h)ronique") est un planificateur de commandes périodiques. Il exécute des commandes à des intervalles de temps fixés en jours. A la différence de cron, il n'a pas besoin que le système tourne continuellement. Il peut donc être utilisé pour contrôler l'exécution de tâches journalières, hebdomadaires et mensuelles (ou de toute période de n jours), sur des systèmes qui ne fonctionnent pas 24 heures sur 24. Quand il est installé et configuré correctement, anacron veillera à ce que les commandes s'exécutent dans des intervalles de temps aussi précis que le temps de fonctionnement des machines le permet.

hc-cron est une version modifiée du démon cron très utilisé de Paul Vixie. Comme le programme original, il exécute des travaux spécifiques à des intervalles de temps définis. Cependant le crond original se base sur un ordinateur fonctionnant sans interruption, sinon des tâches seront oubliées. Ce problème est résolu par hc-cron, qui est destiné aux ordinateurs domestiques qui ont la particularité d'être souvent éteints plusieurs fois par jour; hc-cron se rappellera de l'heure à laquelle il a été éteint et rattrapera lors du démarrage les tâches qui auraient dû être exécutées durant cette période d'inactivité.

Il existe différentes techniques pour imprimer à partir d'un ordinateur portable. Vous pouvez utiliser des imprimantes portables (voir le chapitre Imprimantes et Scanners ci-dessus) ou bien imprimer via une imprimante fixe. Pour se connecter à une imprimante mobile, fixe ou à un serveur d'impression vous pouvez utiliser plusieurs protocoles :

  1. Infrarouge - IrLPT/IrCOMM: Consultez le Guide pratique HOWTO Infrarouge.

  2. Infrarouge - IrOBEX: Consultez le Guide pratique HOWTO Infrarouge.

  3. BlueTooth : Consultez le Bluetooth printing backend for CUPS Pour le moment ce dispositif fournit seulement une impression native pour les imprimantes équipées d'un port série bluetooth, mais le support de Basic Printing (BPP) et du Hardcopy Cable Replacement (HCRP) est prévu pour l'avenir.

  4. réseau sans-fil - WLAN

  5. réseau local - LAN

  6. rlpr - imprimante en ligne à distance [remote line printer]

  7. Server Message Block - SMB, via SAMBA

  8. port parallèle

  9. port série

  10. port USB

A cause de la prolifération des télephones portables et des baladeurs, il n'est pas très courant de nos jours de se soucier de la tranquillité de l'environnement. Quoi qu'il en soit je veux donner quelques recommandations pour ceux qui ont le sens de la politesse.

Les bruits de l'ordinateur sont dûs au matériel (ventilateurs, lecteurs optiques, disques durs) et aux applications.

[Avertissement]Avertissement

Il faut que vous sachiez vraiment ce que vous faites, quand vous configurez le ventilateur. Votre portable peut surchauffer et cela peut lui être fatal, au cas où vous commettiez une erreur. Si vous étiez amené à devoir vérifier le ventilateur, essayez de faire monter en charge le CPU, en tapant par exemple md5sum /dev/urandom. top montrera alors une hausse de la charge CPU et le ventilateur devrait finir par démarrer. Note : habituellement, il faut être branché sur l'alimentation, sinon le CPU pourrait réduire la charge de sa propre initiative. Vous pouvez aussi surveiller la température du CPU en tapant acpi -bt ou cat /proc/acpi/thermal_zone/*.

Il existe pour certaines séries de portables des utilitaires Linux pour contrôler le ventilateur et d'autres fonctionnalités.

  • Toshutils de Jonathan Buzzard pour certains modèles Toshiba.

  • tpctl Outils de configuration pour Linux et IBM Thinkpad de Thomas Hood.

  • i8k Utilitaires pour les portables DELL.

Pour éviter que le disque dur fasse du bruit inutilement, vous pouvez employer les mêmes techniques décrites, plus haut, dans le chapitre sur la gestion de l'alimentation. Les disques durs pour les portables modernes sont livrés avec ce qu'on appelle un "gestionnaire d'acoustique", jetez donc un coup d'œil dans le manuel pour avoir une idée des réglages possibles.

Certains fabricants de disques durs proposent des outils dédiés comme le Feature Tool d'Hitachi qui permet de changer les réglages de gestion automatique du niveau sonore pour un réglage avec le moins d'émanations acoustiques (mode de positionnement silencieux), ou bien un niveau de performance maximal (mode de positionnement normal). La commande hdparm -M offre aussi des options de gestion du niveau acoustique.

Je ne suis pas un expert dans ce domaine, je ne mentionne donc que les outils que je connais. Je vous invite à faire des recherches pour trouver d'autres applications. En plus des outils habituels comme tcpdump, netcat, il y a deux programmes que j'aime bien et qui peuvent être utilisés pour analyser le trafic réseau :

Le Multi Router Traffic Grapher (MRTG) est un outil pour contrôler la charge des nœuds réseaux. Le MRTG génère des pages HTML contenant des images GIF qui fournissent une représentation visuelle en direct de ce trafic. Le MRTG est écrit en Perl et en C et fonctionne sous UNIX et Windows NT.

Network Top - ntop est un outil UNIX qui montre l'utilisation du réseau comme le fait la commande bien connue UNIX top. ntop est basé sur libpcap et a été écrit de manière portable dans le but d'être utilisé quasiment sur toutes les plateformes UNIX ainsi que sous Win32. ntop peut être utilisé aussi bien en mode interacif qu'en mode web. Dans le premier cas, ntop affiche l'état du réseau sur le terminal de l'utilisateur. En mode web, un navigateur web (par exemple Netscape) peut se connecter à ntop (qui agit comme un serveur Web) et récupérer une vue de l'état du réseau. Dans ce dernier cas,ntop peut être vu comme agent simple du type RMON avec une interface web embarquée.

Avec KDE (K-Office), Gnome et les produits commerciaux WordPerfect, Staroffice et Applixware Linux a de plus en plus d'applications professionnelles. Avec le matériel correspondant, par exemple une imprimante ou un télephone portable qui se connecte à votre portable, vous avez un bureau nomade parfait.

Pour autant que je sache, il existe actuellement trois méthodes pour relier un appareil photo numérique à un ordinateur portable : le port infrarouge (IrDA®), le port série et peut-être l'USB. Il y a aussi des programmes auxiliaires pour la conversion d'images, etc.

Eric <dago_AT_tkg.att.ne.jp> écrit : " J'ai finalement réussi à transférer les images de mon appareil photo numérique mais pas exactement de la manière voulue, c'est à dire pas par le port USB mais en utilisant le port pour cartes PCMCIA et pour les périphériques memory stick. Enfin bon, voici des choses intéressantes à mentionner :

Sony (censé utiliser un standard) utilise le format msdos pour stocker les images sous forme de fichiers JPEG; alors la meilleure façon pour que votre système d'exploitation les reconnaisse est de monter le périphérique raw de base comme un système de fichiers msdos. En utilisant directement mount, cela ne marche pas (je ne sais pas pourquoi) mais une ligne dans le fichier /etc/fstab vous permet de monter le périphérique correctement. à savoir :

/dev/hde1    /mnt/camera    msdos     user,noauto,ro    0    0
Bien sûr, newfs avant mount fonctionne aussi mais on n'en voit rien du tout ;) Je pense que noauto et ro sont tous les deux des drapeaux importants; j'ai essayé sans et cela n'a pas marché. Quelque part dans le mount, quelque chose doit bugger. Et si la commande ro est manquante, l'appareil photo ne reconnaît plus la carte mémoire et elle doit être formatée en msdos.

Conformément à la documentation de l'appareil photo, les ports PCMCIA et le port USB se comportent de la même façon ( pour Mac et Windows - par exemple vous voyez un système de fichier monté automatiquement); j'en déduis que pour Linux ça doit être la même chose, tant que le pilote USB est installé. Je pense maintenant que monter un périphérique raw USB de la façon dont je l'ai fait pour PCMCIA devrait marcher, mais je n'ai toujours pas trouvé quel port utiliser.

OpenDiS (Open Digita Support) est une bibliothèque et un utilitaire pour des appareils tels que les Kodak DC-220, DC-260, DC-265 et DC-280, qui tournent sous le système d'exploitation Flashpoint's Digita. La bibliothèque est une implémentation de la spécification de l'interface Digita Host, conçue pour l'intégration du support Digital dans d'autres programmes tels que gPhoto. Ce logiciel est un programme simple en ligne de commande pour télécharger les photos des appareils photo numériques.

gPhoto vous permet de prendre une photo à partir de n'importe quel appareil photo numérique, de la charger sur votre PC fonctionnant sous un système d'exploitation libre comme GNU/Linux, de l'imprimer, de l'envoyer par courriel, de la publier sur un site web, de la sauvegarder sur votre support de stockage dans les formats graphiques les plus répandus, ou de l'afficher sur votre écran. gPhoto utilise un nouveau moteur HTML qui permet la création de thèmes pour galeries (cadres HTML avec des balises spéciales) rendant la publication d'images sur le web très rapide. Un mode de navigation par répertoires est implémenté, rendant ainsi possible la création d'une galerie HTML à partir d'images déjà présentes sur votre ordinateur. Il fonctionne avec les appareils photos numériques Canon PowerShot A50, Kodak DC-240/280 USB, et Mustek MDC-800.

photopc est une bibliothèque et une interface en ligne de commande pour manipuler des appareils photos basés sur une puce Fujistu et le micro-logiciel Siarra Imaging. On sait que ce programme fonctionne avec les appareils Agfa, Epson et Olympus. Il devrait marcher aussi avec les appareils Sanyo, mais cela n'a pas été testé. Les appareils photos sont systématiquement fournis avec des logiciels pour Windows ou pour Mac, et sans description du protocole. Avec cet outil, Ils sont gérables via une machine UNIX. Bruce D. Lightner<lightner_AT_metaflow.com> a ajouté le support des plateformes Win32 et DOS. Il faut savoir qu'il n'a pas d'interface graphique, il reste un programme en ligne de commande même sous Windows. Pour une interface graphique, regardez le programme phototk.

DC20 est un paquet facile d'utilisation pour le Kodak DC20. Il est composé de deux programmes, un pilote bas niveau pour manipuler l'appareil en ligne de commande et une interface en TCL/Tk pour utiliser le pilote. Vous pouvez utiliser un visionneur interne, ou choisir un visionneur ordinaire.

kdc2tiff est un logiciel qui convertit les images .kdc provenant de l'appareil photo numérique Kodak DC120 en fichier .tiff ou .jpg. Ce logiciel prête une attention particulière au taux de conversion, à une grande qualité de la mise à l'échelle , au réglage du contraste, à la correction des gamma et à la rotation de l'image.

rdc2e est un outil en ligne de commande qui télécharge des images depuis votre appareil photo numérique Ricoh RDC-2E. Il est disponible soit via une archive tar soit dans le RedHat 6.1 i386 RPM.

fujiplay Interface pour les appareils photos numériques Fuji.

Pour autant que je sache, il existe trois méthodes pour connecter une caméra vidéo sur un portable : les ports ZV, FireWire et peut être l'USB mais je ne sais pas comment ils fonctionnent sous linux. J'ai entendu parler de l'utilisation d'une carte son pour transférer des données vidéos vers un Linux, consultez apenwarr . J'ai aussi entendu parler d'un Guide pratique Linux-QuickCam-mini-HOWTO, mais je n'arrive pas à trouver une URL valide. allez voir le package sane qui est conçu pour supporter les scanners, il devrait contenir également un support pour l'acquisition d'images fixes.

kmc_remote fournit une interface graphique pour contrôler une caméra numérique Kodak Motion Corder au travers d'une connexion série. kmc_remotes est basé sur la bibliothèque kmc_serial, qui fait partie du package kmc_utils. kmc_remote fournit un panneau de boutons virtuels et des commandes simples à une touche pour modifier les variables système, ce qui impliquerait la manipulation de plein de boutons, sur la console réelle de la caméra. Les boutons, les réglages d'enregistrement (taille de l'image, vitesse d'enregistrement, vitesse d'obturation, mode de déclenchement, mode continu de transfert) et le contrôle de la vitesse de lecture devraient être pleinement fonctionnels. Tous les modèles de caméra sont supportés ainsi que le PAL et le NTSC.

Intel PC Camera Pro Pack est une des premières webcams avec des ports USB . SONY annonce également la sortie d'une webcam avec un port USB. Steve's Digicams propose une enquête à consulter.

D'après Hardware-HOWTO il existe Trimble Mobile GPS pour Linux. On peut aussi connecter un GPS par le port série. La plupart des récepteurs GPS ont un port pour les données et peuvent être connectés à un PC à l'aide d'un cable série particulier.

  • Le GPS différentiel permet d'appliquer un facteur correctif relatif à partir d'un lieu connu à un signal GPS. Cela peut réduire considérablement l'imprécision dans la localisation GPS. En général l'acquisition du signal correctif se fait en utilisant un récepteur radio spécial : dgpsip permet de recevoir un signal DGPS via le protocole TCP/IP, et de l'envoyer au GPS connecté au port série.

  • DGPS est un projet qui a pour but de mettre au point une solution peu onéreuse au niveau matériel et logiciel pour le GPS Différentiel (à la fois en mode temps réel en utilisant le format de correction RTCM et en mode post-traitement).

  • gpsd est un démon qui écoute un récepteur GPS ou Loran et qui traduit les données de position en un format simplifié qui peut être utilisé plus facilement par d'autres programmes, comme les traceurs de graphiques. Le package est livré avec un exemple de client qui reporte la localisation des satellites GPS visibles actuellement (si il y en a) et un accéléromètre. Sont aussi incluses l'aide concernant DeLame EarthMate ainsi qu'un nouveau mini client 'accéléromètre'.

  • Le package QtGPS comporte un logiciel pour UNIX/Linux/X et un récepteur GPS. Il permet d'enregistrer et de rejouer un trajet, grâce à l'affichage d'une carte animée. QtGPS fonctionne avec les systèmes de coordonnées latitude/longitude et avec le système britannique British OSGB (Ornance Survey : service national de cartographie,' IGN]).

  • GRASS (Geographic Resources Analysis Support System) est un logiciel libre qui permet de faire des trames et un système d'information géographique (GIS) vectoriel, de traitement d'images, de production graphique, et de modélisation spatiale.

  • XASTIR est un programme d'APRS (Automatic Position Reporting System : Système de signalement de position automatique) gratuit. APRS(tm) a été développé pour suivre le déplacement des stations GPS mobiles; il utilise un signal radio bi-directionnel pour transmettre les rapports de position, les messages, et la météo entre autres. XASTIR reporte ces informations sur un plan sur votre écran vous pouvez alors voir le monde entier ou zoomer jusqu'au niveau des rues.

  • as-gps contient une bibliothèque regroupant les fonctions de base pour accéder au Module GPS d'Aisin-Seiki peu coûteux (20$) et disponible auparavant sur mavin.com. Le package comprend aussi un certain nombre d'utilitaires simples en ligne de commande pour vider le statut satellite, la localisation, ainsi que l'heure et la synchronisation de l'horloge système.

  • gmap est un visionneur de carte qui met l'accent sur les données temporelles. Il a pour ambition d'évoluer vers un Système d'Information Géographique puissant et gratuit.

  • gps3d est un ensemble d'utilitaires qui permettent de manipuler un GPS à partir d'une machine Linux. Une option sympa permet de visualiser les données GPS (trajets, étapes, points de repères, etc.) sur un modèle OpenGL de la terre, avec texture 3D.

Pour autant que je sache, les ordinateurs portables sont utilisés dans les compétitions de radio amateur. Veuillez vous reporter au Guide pratique HAM-HOWTO de Terry Dawson, VK2KTJ, <terry_AT_perf.no.itg.telstra.com.au>.

XASTIR est un programme gratuit d'APRS (Automatic Position Reporting System : Système automatique de signalement de position). APRS(tm) a été développé pour trouver les stations GPS mobiles et suivre leurs déplacements; il utilise un signal radio bi-directionnel pour transmettre les rapports de position, les messages, et la météo entre autres. XASTIR reporte ces informations sur un plan sur votre écran vous pouvez alors voir le monde entier ou zoomer jusqu'au niveau des rues.

Les ordinateurs portables sont très utilisés pour des sujets en rapport avec l'aviation.Le Guide pratique Aviation HOWTO fournit les références de logiciels qui fonctionnent sous Linux et qui sont utiles aux pilotes amateurs,et à ceux de l'aviation civile ou de l'armée de l'air. le but principal est de permettre aux pilotes d'utiliser Linux pour tous leurs besoins informatiques en relation avec l'aviation.

Table des matières

A. Autres Systèmes d'Exploitation
1. Microsoft DOS et Windows
1.1. Introduction
1.2. Les outils DOS pour repartitionner un disque dur
1.3. Partage de partition
1.4. Installation sans lecteur de CD
1.5. Divers
2. BSD UNIX
3. OS/2
4. NOVELL Netware
5. Debian GNU/Hurd (hurd-i386)
B. Autres documentations
1. Principales documentations web
2. Listes de diffusion
2.1. Listes générales
2.2. Listes dédiées à une distribution Linux
2.3. Liste dédiées à un ordinateur portable ou à un fabricant
3. Les newsgroups USENET
3.1. Les newsgroups Linux
3.2. Les newsgroups PDA et les canaux IRC
3.3. Newsgroups X Window System
3.4. Les newsgroups Matériels
4. Les lettres d'information, les canaux RSS
5. Les magazines
6. Informations générales sur les ordinateurs portables
C. Réparer du matériel informatique
D. Enquête sur les Micro Linux
E. Travailler avec des ressources limitées ou faire des réglages[tuner ]
1. Documentation sur le sujet
2. Introduction
3. Espace limité
3.1. Introduction
3.2. Techniques
4. Vitesse du disque dur
5. Mémoire vive limitée
5.1. Documentation sur le sujet
5.2. Les techniques
6. Processeur trop lent
7. Techniques d'économie d'énergie
8. Le noyau
8.1. Documentation sur le sujet
9. Mini programmes et distributions
10. L'amélioration du matériel
F. Les ordinateurs portables et l'écologie
1. Comparaisons des ordinateurs sur le plan écologique
G. Les chipsets graphiques NeoMagic, série NM20xx
1. Introduction
2. Textmode 100x37
2.1. Étude
2.2. Plus en détails
2.3. Feuille de route
H. Bibliographie avec annotations : livres pour les nomades du Linux
I. Documentation sur certaines marques d'ordinateurs portables
1. COMPAQ Concerto Aero
2. DELL
3. IBM™ ThinkPad
4. Sony VAIO
5. Toshiba
J. Remerciements
K. Copyrights
1. Copyrights
2. GNU Free Documentation License - GFDL
2.1. 0. PREAMBLE
2.2. 1. APPLICABILITY AND DEFINITIONS
2.3. 2. VERBATIM COPYING
2.4. 3. COPYING IN QUANTITY
2.5. 4. MODIFICATIONS
2.6. 5. COMBINING DOCUMENTS
2.7. 6. COLLECTIONS OF DOCUMENTS
2.8. 7. AGGREGATION WITH INDEPENDENT WORKS
2.9. 8. TRANSLATION
2.10. 9. TERMINATION
2.11. 10. FUTURE REVISIONS OF THIS LICENSE

En général, un ordinateur portable est fourni avec une version préinstallée de Microsoft-Windows. Si vous désirez simplement rétrécir la partition Windows, vous aurez besoin d'un outil. Ou alors, vous pouvez supprimer la partition, puis repartitionner, et enfin réinstaller. La majeure partie des informations qui suivent ont été trouvées sur la page de Michael Egan <Michael.Egan_AT_sonoma.edu>.

Partition Magic de Power Quest est un produit commercial connu et fiable.

BootitNG est un programme shareware, qui peut redimensionner des partitions NTFS, EXT2, EXT3 et ReiserFS.

System Commander 2000 de Symantec redimensionne les partitions FAT32, et contrairement à Partition Magic, SC2000 semble pouvoir fonctionner sans système d'exploitation Microsoft installé (toutefois, il est possible d'utiliser Partition Magic à partir de deux disquettes autonomes).

Un autre utilitaire "plus récent" pour repartitionner et redimensionner des partitions FAT est Ranish Partition Manager/Utility (requiert un support FAT-32, le support Linux est pris en compte.) Ranish Partition Manager/Utility .

FIPS 15c a été très utilisé (il se peut qu'il fonctionne sur le FAT-32) FIPS pour repartitionner des partitions FAT. D'autre part, une autre version d'une source différente est FIPS 2.0 (requiert un support FAT-32) FIPS 2.0 pour repartitionner les partitions FAT.

Il est possible de partager des espaces d'échange entre Linux et Windows. Se reporter à la section "Utiliser des ressourses limitées".

Sous Linux, on peut monter toute sortes de partition DOS/Windows de type msdos, vfat et même des lecteurs compressés (Drivespace, etc.). Pour les noms de fichier longs, utilisez vfat et si vous aimez l'autoconversion ( une option sympa pour les fichiers texte ),utilisez l'option conv=auto . Je l'ai utilisée dans mon /etc/fstab, mais il faut savoir que cela peut parfois avoir des effets bizarres. Lisez la documentation du noyau pour plus d'informations.

/dev/hda8    /dos/d    vfat    user,exec,nosuid,nodev,conv=auto    0    2

Dans l'autre sens, il existe aussi des outils, qui permettent de lire et d'écrire dans des partitions ext2 sous Windows9x/NT.

LREAD est une suite logicielle pour Windows 9x et Windows NT (ou DOS ou Windows 3.x pour ceux qui les ont toujours) permettant d'accéder aux fichiers sur des disques durs Linux (systèmes de fichier original Linux Extended 2).

Ces outils permettent d'établir des listes de répertoires, de copier des fichiers de Linux vers DOS et de DOS vers Linux. Il est aussi possible de supprimer des fichiers ou de modifier les droits d'accès des fichiers Linux à partir de DOS/Windows.

Utilisant en même temps un programme serveur simple qui est inclus, il est également possible d'accéder à ses fichiers à partir d'un client distant en passant par internet (toutefois, cela peut présenter un risque au niveau de la sécurité, étant donné que la protection est, dans ce cas, assez simple).

LINE permet d'exécuter des programmes Linux non modifiés sous Windows en interceptant les appels système Linux. Les programmes Linux eux-mêmes ne sont pas émulés. Ils s'éxecutent directement sur le processeur comme n'importe quel autre programme Windows.

TravSoft

Windows/NT propose : RAS - Remote Access Service (Service d'Accès à Distance)

Windows/9x/NT propose le protocole PPTP pour se connecter à des sites distants via un tunnel TCP/IP. Ce protocol est aussi supporté pat Linux. PoPToP est la solution serveur PPTP pour Linux qui permet aux serveurs Linux de fonctionner d'une façon homogène dans l'environnement PPTP VPN. Cela permet aux administrateurs de combiner les avantages considérables des clients Microsoft et des serveurs Linux . La version beta disponible actuellement supporte les clients Windows 95/98/NT PPTP et les clients Linux PPTP. La version beta du serveur PoPToP n'est pas encore complètement optimisée. Dans la version stable, PoPToP sera totalement compatible avec IETF PPTP Internet Draft et supportera sans problèmes les clients Windows PPTP avec la gamme complète des options de cryptage et d'authentification.

FreeBSD est une version du système d'exploitation UNIX qui fonctionne sur PC. Il utilise un ensemble différent de supports pour les périphériques PCMCIA, l'APM, et autres dispositifs mobiles.

  1. PicoBSD est une version sur disquette de l'actuel FreeBSD 3.0, qui permet dans certaines de ses variantess de communiquer de manière sécurisée par modem, d'avoir un petit routeur sans disque ou même un serveur dial-in. Et tout cela sur une seule disquette standard de 1.44Mo. Cela fonctionne avec au minimum un processeur 386SX avec 8Mo de RAM (pas besoin de disque dur!). Il est aussi possible de l'utiliser pour installer BSD sur un ordinateur portable comme cela est décrit ci-dessus pour les micro-Linux.

  2. PAO: FreeBSD Mobile Computing Package [Bloc calculateur mobile de FreeBSD]

  3. le projet CMU Monarch propose des implémentations de Mobile-IPv4 et de Mobile-IPv6 pour FreeBSD.

  4. Archive XF86Config . Base de données des fichiers XF86Config utilisés pour Linux et FreeBSD. En cas de besoin d'un fichier XF86Config pour un notebook ou un ordinateur portable, consultez ce site. (Certains documents sont disponibles seulement en japonais.)

  5. Pour autant que je sache, il n'existe pas encore de support IrDA®.

  6. Archive de la liste de diffusion FreeBSD-Mobile . Désolé, je ne sais pas encore comment s'y inscrire.

  7. Laptop Survey / FreeBSD - LTS est un projet visant à collecter des informations sur les environnements d'ordinateurs portables et de PocketPC sous FreeBSD. Il fournit des informations en anglais et en japonais. Merci de soutenir ce projet.

Sur le site du Dr. Martinus : The Notebook/2 Site on trouve des informations sur différents organizers et cartes PCMCIA qui fonctionnent avec OS/2.

Kenneth E. Harker tient à jour une base de données plutôt intéressante : Linux sur un ordinateur portable . Reportez-vous à ce site pour avoir des informations récentes concernant les listes de distributions traitant des portables newsgroups, les magazines et lettres d'information, les sites web et une grande base de données à jour recensant un grand nombre de pages sur les ordinateurs portables.

L'auteur de ce guide tient à jour l' TuxMobil Linux Laptop and Notebook Installation Survey ainsi qu'une base de données sur la compatibilité Linux de différents matériels pour ordinateurs portables, ordinateur portables et PDA, comme PCMCIA/CardBus/CF-Cards, cartes graphiques, cartes sons, dispositifs IrDA, entre autres.

Etude sur les listes de diffusion concernant les ordinateurs portables. Certaines adresses proviennent de la page de Kenneths. Tous les commentaires sont de moi :

Pour s'ajouter à la liste de diffusion Linux-Laptop de TuxMobil il faut utiliser la page inscription . On y trouve également les archives de la liste. C'est une liste récente mais elle compte d'ores et déjà un nombre raisonnable de membres.

Pour s'ajouter à la liste de diffusion Linux-Laptop de Kernel.Org, écrire un courriel à <majordomo_at_vger.kernel.org> avec en objet subscribe linux-laptop. Un message de confirmation sera alors envoyé, il faudra y répondre de manière appropriée. Cette liste a maintenant une archive . Note : Ceci est la liste anciennement administrée par <majordomo_at_vger.rutgers.edu>. C'était une liste très utilisée, mais elle semble maintenant l'être très peu. Elle semble avoir perdu la plupart de ses membres depuis son changement d'adresse.

Une archive de cette liste de diffusion (celle d'avant) sur laquelle il est possible d'effectuer des recherches est hébergée dans la section « divers » de GeoCrawler.

Le forum de discussion eGroups (linuxonlaptop) est dédié aux questions concernant Linux sur ordinateurs portables. Il n'y a pour ainsi dire pas de trafic et il est archivé.

Il existe aussi le forum de discussion eGroups (linuxlaptop) qui est dédié aux questions concernant Linux sur ordinateurs portables . Il n'y a pour ainsi dire pas de trafic et il est archivé.

Le forum de discussion Linux Notebook HQ est dédié aux questions concernant Linux sur ordinateurs portables. Il n'y a pour ainsi dire pas de trafic et il est archivé.

Il y a maintenant une liste de diffusiondebian-laptop. Tout sujet ou question sur le fonctionnement du(des) systèmes d'exploitation Linux Debian/GNU actuels sont les bienvenus. Envoyez un courriel à  <debian-laptop-request_at_lists.debian.org> avec en objet subscribe. Ou alors, visitez le site Linux Debian/GNU et utilisez le formulaire en ligne. La liste est archivée, a un trafic raisonnable et est de bonne qualité.

SuSE propose une liste d'ordinateurs portables compatibles avec suse (majoritairement en allemand). Vous pouvez vous inscrire à la liste de diffusion sur la page SuSE mailing list .

La liste linux-dell-laptops est dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux sur les ordinateurs portables DELL. Elle est pour ainsi dire inactive et est archivée.

La liste linux-thinkpad est dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux sur les ThinkPads IBM. Elle n'a pratiquement pas de traffic. Ecrire un mail à  <majordomo_at_bm-soft.com>.

La liste linux-thinkpad est elle aussi dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux sur les ThinkPads IBM. Elle est pour ainsi dire inactive et est archivée.

La liste linux-toshiba-portege est dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux sur Toshiba Porteges. Elle est pour ainsi dire inactive et est archivée.

La liste linux-tosh-40xx est dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux sur Toshiba Satellite 40xx . Elle n'a pratiquement pas de trafic. Ecrire un courriel à  <majordomo_at_geekstuff.co.uk>.

La liste linux-ibm-thinkpad-tp240-portege est dédiée aux questions relatives à l'utilisation de Linux surIBM ThinkPad 240.

Voici des sources d'information utiles pour tous les utilisateurs d'ordinateurs portables et notebooks, quel que soit le système d'exploitation utilisé.

Laptop Soup Ce site propose beaucoup d'information sur les entreprises qui produisent telle machine vendue sous telle marque. Si vous avez besoin de savoir quelle entreprise a fabriqué votre ordinateur, ce site peut vous aider à trouver.

La bibliothèque virtuelle du Web : informatique mobile et sans fil Ce site fournit toute une information sur les journaux scientifiques, les conférences, les projets universitaires, et autres qui ont trait à  l'état de l'art de l'informatique mobile. Il y a aussi beaucoup de références aux standards de développement, aux organisations non-lucratives et gouvernementales et une liste de revendeurs, y compris des fournisseurs de services sans-fil.

Base de données en ligne des équipements autorisés par la Commission Fédérale des Communications [FCC] Si vous avez du mal à identifier le fabriquant d'un ordinateur portable ou d'un notebook (ou d'autres appareils électroniques,) ce site vous permet d'accéder à la base de données FCC basée sur le numéro d'identifiant FCC qu'on peut habituellement trouver sur l'appareil si il a été vendu aux Etats-Unis d'Amérique.

L'ouverture d'un ordinateur portable, d'un notebook ou d'un PDA peut s'avérer nécessaire pour des tas de raisons.

  1. Réparer du matériel informatique cassé

  2. obtenir de l'information sur le matériel non disponible par ailleurs, par exemple en lisant l'autocollant sur une puce non-détectée.

  3. retirer les haut-parleurs(haut-parleurectomie, comme on le décrit dans le HOWTO Visual-Bell )

  4. surcadencer [overclocker ]

  5. changer [flasher] le BIOS

  6. changer la batterie du BIOS

  7. ajouter un disque dur

  8. ajouter de la mémoire vive

  9. ajouter du matériel, par exemple une carte interne LAN miniPCI sans fil.

La réparation d'un ordinateur portable peut revenir assez chère si vous n'avez pas de garantie constructeur. Parfois, les professionnels ne sont pas très bons. Mais ouvrir un ordinateur portable peur être difficile. Souvent, les procédures pour changer la mémoire et le disque dur sont décrites dans le manuel. Pour plus d'information, essayez d'obtenir le manuel technique ou de maintenance. Soyez donc très attentif et prenez des notes sur l'emplacement de chaque vis. Vous devez en remettre la plupart dans le bon trou sinon vous risquez d'abîmer votre machine en endommageant la carte mère. De plus, après avoir retiré toutes les d'un bloc, (certaines seront cachées) les différents éléments sont souvent attachés avec des clips de plastique moulés, il faudra donc les séparer avec précaution . Vous pourrez avoir besoin de certains outils, par exemple un tourne-vis TORX ou un kit de soudure. Bonne chance.

[Avertissement]Avertissement

En général, les fabriquants de PDA et d'ordinateurs portables déclarent que la garantie est caduque en cas d'ouverture par d'autres personnes que leur personnel. Si vous souhaitez quand-même essayer, voici quelques liens intéressants sur la façon de réparer, démonter, mettre à niveau ou modifier les ordinateurs portables ou les notebooks, disséquer, réparer et mettre à niveau les PDA et autres appareils portables cassés. , ainsi que démonter, réparer, et mettre à niveau les téléphones portables et ouvrir, réparer et mettre à niveau les lecteurs audios et vidéos portables, réparer et mettre à niveau les imprimantes.

A cause de leur encombrement léger voir inexistant, les micro-Linux sont particulièrement adaptés aux ordinateurs portables, en particulier si vous utilisez un ordinateur portable d'entreprise qui fonctionne sous Microsoft-Windows9x/NT. Ou pour des besoins d'installation en utilisant une autre machine sans Linux. Il existe de nombreuses distributions micro Linux qui démarrent à partir d'une ou deux disquettes ou CD/DVD.

Voir LinuxHQ ou Tinux pour des informations. Vous trouverez une FAQ et une liste de diffusion à propos des disquettes de démarrage sur Boot-Floppies-FAQ . Un BootDisk-HOWTO est également disponible. Merci à  Matthew D. Franz qui assure la maintenance de Trinux pour ces infos et pour avoir rassemblé la plupart des adresses suivantes. Voir aussi le contenu de Distributions Console/Mini sur FreshMeat .

  1. Knoppix de Klaus Knopper est un CD de démarrage contenant une sélection de logiciels GNU/Linux, avec autodétection du matériel, et le support pour beaucoup de cartes graphiques, de cartes son, de composants SCSI et USB et d'autres périphériques. KNOPPIX peut être utilisé comme démo Linux, CD éducatif, système de secours, ou adapté et utilisé comme plateforme pour des démos de logiciels commerciaux. On peut ne rien installer sur le disque dur. Du fait de la décompression à la volée, le CD peur contenir jusqu'à 2Go de logiciels exécutable. Un kix (mini CD Knoppix) est maintenant disponible dans le répertoire contrib.

  2. MuLinux de Michele Andreoli.

  3. tomsrbt "Le maximum de Linux sur une disquette. (distribution disquette de récupération)." de Tom Oehser.

  4. Trinux Trinux " Trousse à outil sécurité pour Linux" de Matthew D. Franz.

  5. LRP "Linux Router Project"

  6. hal91

  7. floppyfw de Thomas Lundquist.

  8. minilinux (ne semble plus fonctionner) ou minilinux

  9. monkey

  10. DLX de Erich Boem

  11. C-RAMDISK

  12. babel "Mini-distribution pour jeux"

  13. Xdenu , pour citer Alan Cox : "Xdenu est une petite distribution qui s'installe comme ensemble de fichiers compressés zips DOS sur une partition DOS et vous fournit un poste de travail client X11 complet."

  14. LOAF

  15. pocket-linux

  16. FLUF

  17. YARD

  18. TLinux

  19. ODL

  20. SmallLinux de Steven Gibson. Micro-distribution de Linux sur 3 disques avec utilitaires. Basé sur le noyau 1.2.11. Le disque racine est de format ext2 et a fdisk et mkfs.ext2 pour qu'une installation dique dur puisse être faite . Utile pour démarrer sur des vieilles machines qui ont moins de 4Mo de RAM.

  21. cLIeNUX de Rick Hohensee : distribution de Linux orientée utilisation client .

  22. linux-lite de Paul Gortmaker pour les systèmes très petits avec moins de 2Mo RAM et de 10Mo de disque dur (noyau 1.x.x)

  23. Voir aussi les paquetages sur MetaLab officiellemetn connu sous le nom de SunSite et le Boot-Disk-HOWTO .

  24. Vous pouvez aussi penser à certaines des disquettes de démarrage fournies par différentes distributions qui font partie de cette catégorie, par exemple les disquettes de démarrage/secours de Linux Debian/GNU.

  25. Si vous souhaitez élaborer votre disquette de démarrage personnalisée, vous pouvez le faire manuellement comme c'est décrit dans Boot-Disk-HOWTO ou en utilisant des outils d'aide, par exemple mkrboot (fourni au moins en tant que paquetage Linux Debian/GNU) ou pcinitrd, qui est une partie du paquetage PCMCIA-CS de David Hinds.

  26. Vous pourriez aussi essayer de construire votre système Linux sur une disquette ZIP. C'est décrit dans le ZIP-Install-HOWTO .

  1. LBX-HOWTO

  2. Small-Memory-HOWTO

  3. Linux poids plume, partie 1: Le matériel est tout aussi vieux que l'application qu'il fait tourner : avec un système d'exploitation moderne et des application à jour, on ramène un système plus ancien à un niveau de productivité. Cet article fournit les meilleures pratiques et vous accompagne pas à pas pour construire un système Linux qui marche sur du matériel ancien ou moderne ayant peu de mémoire vive et d'espace disque-dur.

  1. Stripping : même si la plupart des distributions sont aujourd'hui livrées avec des exécutables découpés, il est utile de vérifier. Pour plus de détails, voir man strip. Pour trouver tous les fichiers non-découpés, on peut utiliser la commande file ou, plus pratique, l'outil findstrip. Attention : ne découpez pas les bibliothèques, parfois une mauvaise programmation technique provoque la suppression des mauvais symboles. Ou alors utilisez l'option --strip-unneeded.

  2. La perforation : zum(1) lit la liste de fichiers qui sont dans stdin et essaye de perforer ces fichiers. Perforer, c'est remplacer les séries de bits nuls par lseek, donnant ainsi la possibilité au système de ne pas allouer de véritable espace disque pour ces bits. Example : find . -type f | xargs zum

  3. Enlever les fichiers inutiles ou dupliqués : vérifiez s'il y a des fichiers core dans votre système, des fichiers de récupération emacs <#FILE#> vi <FILE>.swp, RPM <FILE>.rpmorig et patch. Pour trouver les fichiers dupliqués, essayez finddup. Choisissez un système pour nommer votre sauvegarde, vos fichiers temporaires et tests, par exemple avec une signature à la fin.

  4. Nettoyer les fichiers temporaires.: , par exemple /tmp, il y a même un outil tmpwatch.

  5. Raccourcissez les fichiers de journal : en général les fichiers de /var/log. Vous pouvez utiliser logrotate pour effectuer cette tâche.

  6. Supprimer des fichiers : supprimez les fichiers qui ne sont pas « nécessaires » en toutes circonstances comme les pages de manuel, la documentation /usr/doc et les sources par exemple /usr/src .

  7. Les bibliothèqyes inutiles : on peut utiliser le logiciel binstats pour trouver les bibliothèques non-utilisées (Merci à Tom Ed White).

  8. Système de fichiers : choisissez un système de fichiers qui utilise l'espace disque économiquement par exemple rsfs. Paramétrez votre système de fichiers par exemple avec tune2fs. Choisissez une taille de partition et de blocs appropriée.

  9. Réduire la taille du noyau : en utilisant seulement les options nécessaires du noyau, ou/et en faisant une image compressée du noyau bzImage.

  10. Compression : je ne l'ai pas vérifié mais pour autant que je sache, vous pouvez compresser votre système de fichiers avec gzip et le décompresser à la volée. Sinon, on peut aussi choisir de ne compresser que certains fichiers. On peut même exécuter des fichiers compressés avec zexec

  11. Système de fichiers compressés : - pour les systèmes de fichiers e2fs il y a une version de compression disponible : e2compr.

    - DMSDOS qui permet à votre machine d'accéder aux disques compressés Windows95 (drivespace, doublestacker). Si vous n'avez pas besoin de compatibilité DOS/Windows95 ,c'est-à -dire si vous souhaitez compresser seulement les données Linux, c'est fortement déconseillé par l'auteur du programme. Voir dmsdos .

  12. Le partage de partition : on peut partager l'espace de permutation [swap] (voir Swap-Space-HOWTO) ou l'espace de données entre plusieurs systèmes d'exploitation (voir mount). Pour monter des disques durs compressés MS-DOS Windows95 (doublespace, drivespace) on peut utiliser dmsdos dosfs/ .

  13. Les bibliothèques : prenez une autre bibliothèque (plus ancienne), par exemple libc5 , cette bibliothèque semble plus petite que libc6 également nommée glibc2 .

  14. Le noyau : si une version plus ancienne d'un noyau convient à vos besoins, vous pouvez gagner de l'espace.

  15. GUI: évitez autant que possible les interfaces graphiques utilisateur (Graphical User Interface : GUI).

  16. Les distributions légères : il existe des distributions qui tiennent sur des espaces mémoire allant de la disquette 3.5" au disque de 10 Mo et conviennent aussi pour les machines ayant peu de mémoire. Voir Annexe A, Autres Systèmes d'Exploitation Annexe D et ci-dessous.

  17. Les dispositifs de stockage externe (disques durs, disques ZIP, NFS, SAMBA): comme beaucoup de notebooks sont limités dans leur évolution, utiliser le port parallèle est une option intéressante. Il y a des disques durs externes et des disques ZIP qui le font. En général ils sont aussi connectables via PCMCIA. Une autre possibilité est d'utiliser les ressources d'une autre machine grâce à NFS ou SAMBA etc.

  18. Purger les fichiers locaux inutiles : localepurge pour Debian est juste un script simple pour récupérer de l'espace disque gaspillé pour des fichiers locaux et des pages de manuel localisées. Selon votre installation, il est possible de gagner 200 Mo, 300 Mo, et même plus d'espace disque habituellement dédié à des fichiers locaux dont vous n'aurez probablement jamais l'usage.

Vérifiez l'utilisation de la mémoire avec les commandes free et top.

Mergemem Project. Beaucoup de programmes contiennent des zones mémoire de même contenu qui restent indétectées par le système d'exploitation. Une caractéristique de ces zones est qu'elles contiennent des données qui ont été générées au démarrage et qui restent inchangées pendant de longues périodes. Avec mergemem , de telles zones sont détectées et partagées. Le partage est effectué au niveau du système d'exploitation et est invisible au niveau des programmes utilisateur. mergemem est particulièrement utile si vous démarrez plusieurs instances d'interpréteurs et d'émulateurs (comme Java ou Prolog) qui gardent leur codes dans des zones de mémoire privées. Mais bien qu'à un degré moindre, d'autre programmes peuvent aussi en tirer avantage.

Vous pouvez aussi réduire la taille du noyau autant qu'il est possible en retirant toutes les options qui ne vous sont pas nécessaires et en modularisant le noyau au maximum.

Vous pouvez aussi arrêter tout service ou démon qui n'est pas nécessaire, par exemple lpd, mountd, nfsd et fermer des consoles virtuelles . Voir Small-Memory-HOWTO pour plus d'information.

Et bien sûr utiliser de l'espace swap, quand c'est possible.

Si c'est possible, utilisez les ressources d'une autre machine, par exemple avec X11, VNC ou même telnet. Pour plus d'information sur le Virtual Network Computing (VNC), voir VNC.

  1. Si vous n'avez pas besoin de support infrarouge, désactivez le dans le BIOS ou éteignez le pilote IrDA®. Il y a aussi des options IrDA® du noyau qui sont utiles pour économiser de l'énergie.

  2. Les services PCMCIA consomment beaucoup d'énergie, alors éteignez les si vous n'en avez pas besoin.

  3. Je ne sais pas trop à quel point le rétroéclairage consomme de l'énergie.

    [Avertissement]Avertissement

    Pour autant que je sache, ce dispositif ne peut supporter qu'un nombre limité cycles de fonctionnement. Alors évitez les économiseurs d'écran, qui éteignent le rétroéclairage.

    Si vous voulez tout de même le faire, utilisez xset +dpms et xset dpms 0 0 300 Cela éteint l'écran après 5 minutes d'inactivité. Fonctionne seulement si l'écran est compatible DPMS.

  4. pour construire des batteries avec un accroissement du temps de fonctionnement allant jusqu'à 8 heures, voir les exemples dans Repair4Laptop: Battery .

  5. Pour obtenir des informations sur APM regarder le chapitre APM ci-dessus.

  6. L'option "noatime" dit au noyau, en montant les systèmes de fichiers, de ne pas mettre à jour l'information sur le temps d'accès du fichier. Presque personne n'utilise cette information, même si elle est parfois utile. Par conséquent, vous pouvez la désactiver sans risques, évitant ainsi un accès disque à chaque fois que vous utilisez cat sur un fichier. Voici un exemple d'une option économisatrice d'énergie de /etc/fstab : /dev/hda7 /var ext2 defaults,noatime 0 2

  7. hdparm hdparm est un utilitaire pour disque IDE sous Linux qui vous permet de régler les délais de ralentissement et d'autres paramètres de disques durs. Cela fonctionne aussi avec certaines options SCSI.

  8. Mobile Update Daemon C'est un remplaçant simple à installer pour le démon de mise à jour (update) standard, mobile-update minimise les augmentations de vitesse des disques et réduit leur temps de fonctionnement. Il vide les mémoires tampon seulement quand un autre disque fonctionne. Pour être sûr d'avoir un système de fichiers cohérent appelez manuellement sync . Autrement les fichiers pourraient être perdus en cas de coupure électrique. mobile-update n'utilise pas APM. Il fonctionne donc également sur des systèmes plus anciens.

  9. noflushd : noflushd surveille l'activité des disques et ralentit les disques qui ont été inactifs pendant plus de tant de secondes (selon le <timeout>). Pour cela il faut avoir un noyau >=2.2.11 . Utile en combinaison avec hdparm et mount avec l'option noatime pour baisser l'activité des disques.

    Voici des commentaires et des réflexions de Nat Makarevitch sur une approche possible d'une réduction de l'activité des disques sous Linux (économiser de l'énergie, en particulier avec noflushd) le fichier Documentation/filesystems/proc.txt à la racine de Linux donne des informations sur certaines options utiles, particulièrement dans la section /proc/sys/vm. Sous Linux 2.2 j'ai utilisé :

    echo "100 5000 8 256 500 60000 60000 1884 2" > /proc/sys/vm/bdflush
    
    en particulier sous Linux 2.4 qui utilise son temps libre pour 'pré-sauvegarder' les pages mémoire les moins utilisées du swap, augmentant ainsi l'activité des disques. J'ai essayé de trouver les paramètres les plus adaptés (Linux 2.4.9, 192 MB RAM, Portable Toshiba 3480) attention : certains de ces paramètres peuvent être dangereux ou inutiles (je n'ai pas réuni assez d'information sérieuse sur l'efficacité pratique). De plus n'oubliez pas que remettre à plus tard l'écriture de données sur les disques est intrinsèquement dangereux
    echo 99 512 32 512 0 300000 60 0 0 > /proc/sys/vm/bdflush
    # is '60' the max value for age_super?
    echo 1 1 96 > /proc/sys/vm/buffermem
    echo 512 128 32 > /proc/sys/vm/kswapd
    echo 1 10 96 > /proc/sys/vm/pagecache
    

  10. Les Toshiba Linux Utilities sont un ensemble d'utilitaires Linux pour gérer le ventilateur, les mots de passe du superviseur, et les raccourcis claviers des portables Toshiba Pentium. Il y a un package KDE Klibreta, aussi.

  11. Sur la page de Kenneth E. Harker il y a une recommandation pour LCDproc LCDProc . "LCDproc est un petit logiciel qui permettra à votre machine Linux d'afficher les informations système en direct sur un écran LCD rétroéclairé de 20x4 lignes. Ce programme montre, entre autres, le niveau de batterie des notebooks." J'ai essayé ce logiciel et j'ai constaté qu'il se connectait seulement à l'écran LCD 20x4 externe Matrix-Orbital , qui est un écran LCD connecté à un port série. Je n'y vois encore aucun usage pour un ordinateur portable, mais on pourrait l'utiliser en informatique intégrée à l'habillement [wearable].

  12. Le Diald Dial Daemon fournit une connectivité internet à la demande en utilisant les protocoles SLIP ou PPP. Diald peut se connecter automatiquement à un hôte distant si besoin ou éteindre des connexions modem inactives.

  13. KDE fournit KAPM, Kbatmon et Kcmlaptop. Ecrit par Paul Campbell kcmlaptop est un ensemble d'écrans de controle KDE qui comprennent des fonctions de support pour ordinateur portables, il comporte un contrôleur optionnel de statut de batterie pour les ordinateurs portables qui se place sur la barre de statut KDE - en bref, une petite icône qui montre combien de temps de batterie il vous reste . Il vous avertira aussi quand la batterie deviendra faible et permet de configurer vos options d'économie d'énergie. On peut trouver un logiciel similaire sur le projet GNOME GNOME . Voir les cartes des logiciels sur les deux sites.

  14. voir Battery-Powered-HOWTO pour plus d'information.

Quelques mots sur le ralentissement des disques avec les utilitaires noflushd ou hdparm. L'objectif est de réduire l'usage du disque dur au minimum, car sur la plupart des ordinateurs portables, c'est la première source de bruit et de consommation d'énergie. Le démon "noflushd" est un remplaçant d'"update" qui permet à la mémoire tampon de mettre à jour le disque seulement quand d'autres données sont en cours de lecture sur le disque (le comportement d'"update" est de vider les mémoires tampon toutes les 5 secondes et cela génère habituellement une activité constante des disques, si bien que le disque ne s'arrête jamais). "noflushd" détermine aussi le ralentissement de la rotation du disque et appelle automatiquement "sync" avant de ralentir. La syntaxe est quelque chose du genre "noflushd -n 5 /dev/hda". Utiliser "noflushd" peut provoquer des pertes de données si certains fichiers étaient édités pendant que le disque était inactif et non synchronisé, par exemple si le courant était brutalement coupé.

L'utilitaire hdparm peut aussi fixer le délai de mise en veille, et également modifier les paramètres des disques pour de meilleures performances. Assurez vous que le paramètre du noyau IDE "Use DMA by default when available" (section "Block devices") est activé.

Toutefois, il ne suffit pas d'activer noflushd ou le délai de mise en veille des disques IDE pour rendre les disques effectivement silencieux, car dans la plupart des installations par défaut, le système fait tourner beaucoup de programmes cron, écrit dans les fichiers de journal, utilise le swap etc. Cette activité n'est pas toujours souhaitable, en particulier si l'ordinateur est non connecté (pas sur un réseau) et utilisé principalement par un seul utilisateur. Voici quelques recommandations.

Tout d'abord, le démon cron et ses amis (anacron, atd, logrotate, sendmail / exim / ...) peuvent être enlevés du système si on n'a pas besoin des services qu'ils permettent (comme, nettoyer les dossiers /tmp et les journaux, relever les courriels etc.).

Ensuite, le fichier de configuration syslogd /etc/syslog.conf devra être modifié pour réduire le nombre de fichiers de journal et de messages enregistrés, et aussi pour mettre le signe "-" avant chaque nom de fichier (ce qui signifie que le système n'aura pas à synchroniser le disque à chaque fois qu'un message sera enregistré).

De plus, il est conseillé d'ajouter "mark:none;" aux chaînes de caractères de "syslog", pour que les messages "truc truc truc POINT truc truc truc" ne soient plus écrits dans les journaux toutes les demi-heures. L'installation Linux classique a maintenant trop de fichiers de journaux pour l'utilisateur lambda.

Enfin, le disque peut ne pas se mettre en veille quand beaucoup d'espace swap est utilisé. Tapez "free" et regardez combien de swap est utilisé et combien de mémoire RAM est disponible. Si vous pensez qu'il y a assez de RAM libre pour que cela fonctionne sans SWAP, ou qu'il y a beaucoup de swap utilisé ET aussi beaucoup de RAM libre, vous pouvez envisager de libérer de l'espace swap ("su; swapoff -a; swapon -a") ou même de désactiver le swap ("su; swapoff -a"). Fonctionner sans swap ne devrait pas poser de problèmes aux systèmes ayant 64Mo de RAM ou plus. (Fonctionner sans swap réduira la mémoire disponible, bien sûr, et certains logiciels plantent sans prévenir quand il n'y a plus de mémoire. Mais ajouter du swap n'empêchera pas le plantage dû à des logiciels surconsommateurs de mémoire, cela ne fera que le retarder, et cela utilisera beaucoup le swap avant que cela n'arrive.)

Grâce à ces changements dans le système, on peut arriver à ce qu'un ordinateur portable fonctionne pendant des durées plus longues avec le disque dur éteint.

Le noyau peut être configuré avec "Yes" à "APM Support" et "Enable console blanking using APM" (section "General setup"). La lampe d'écran LCD s'éteindra alors en mode console (ainsi, il n'y aura pas que l'écran qui deviendra noir mais aussi la lampe). En mode X, le même effet peut être obtenu avec "xset +dpms" (active la fonction DPMS ) et "xset s blank" (active l'effacement de l'écran). On peut ajouter ces commandes à la session fenêtre X ou aux scripts d'initialisation du gestionnaire de fenêtre.

Les options économisatrices d'énergie du BIOS (mise en veille du disque dur, extinction de vidéos, etc.) ne sont sans doute pas utiles et peuvent même parfois causer des plantages. Elles peuvent donc être désactivées dans le BIOS d'un ordinateur portable.

Beaucoup d'éléments optionnels des noyaux sont destinés aux ordinateurs portables. Par exemple APM, IrDA®, PCMCIA et certaines options pour certains ordinateurs portables, par exemple pour les ThinkPads IBM™. Dans certaines distributions elles ne sont pas incluses par défaut. Et le noyau est en général plus gros que nécessaire. Personnaliser son noyau semble alors être une bonne idée. Même si cette tâche peut sembler difficile au débutant , c'est vivement recommandé. Comme cela comprend des manipulations dangereuses, il faut faire attention. Mais si vous réussissez à installer un meilleur noyau, vous avez gagné votre médaille du mérite de l'administrateur système Linux, niveau intermédiaire. - Je ne traiterai pas ça ici car ce sujet est déjà couvert par d'autres documents.

Compilez un noyau modulaire avec les modules pour les lecteurs CD et disquettes, pcmcia, le son et tout autre périphérique. Cela permettra de retarder le chargement de ces modules jusqu'à ce qu'ils soient effectivement utilisés, et cela peut aider à récupérer le système après un problème de matériel, par exemple un mauvais lecteur CD, car un module peut être enlevé et remis sans redémarrer le système.

Déjà une petite liste, mais je cherche plus d'information.

  1. BOA ' "Le serveur web poids plume et haute performance. boa est un serveur HTTP mono-tâche. Cela signifie que, contrairement aux serveurs traditionnels, il ne se dédouble pas à chaque connexion qui arrive , il ne le fait pas non-plus pour gérer les connexions multiples . Il multiplexe en interne toutes les connexions HTTP en cours et ne se duplique que pour les programmes CGI (qui doivent être des processus séparés.) Les tests préléminaires ont montré que boa est capable de gérer plusieurs centaines de visites par seconde sur un Pentium à 100 MHz."

  2. MGR - système de fenêtres graphique, qui utilise beaucoup moins de ressources que X.

  3. X avec peu de bande-passante :

    Alan Cox dans LINUX REDUX, fevrier 1998 " .. En voici deux qui gèrent très bien les programmes habituels. LBX (Low Bandwidth X) est le programme officiel du consortium X11 (maintenant OpenGroup). Dxpc est l'équivalent que la plupart des gens choisissent. Ces systèmes jouent le rôle de serveurs proxy X11 et compressent les flux de données de bien plus de 50 pour cent pour les requêtes habituelles , atteignant souvent une réduction à 25 pour cent de l'utilisation originale de la bande-passante . Avec dxpc, les programmes X Windows sont tout à fait utilisables avec un modem 28.8 ou au travers d'Internet."

  4. blackbox - "C'est un gestionnaire de fenêtres pour X. Sur beaucoup d'aspects, il est similaire à des logiciels connus comme Window Maker, Enlightenment, et FVWM2. Il pourrait vous intéresser si vous être fatigué des gestionnaires de fenêtres qui représentent une énorme ponction sur les ressources de votre système, mais que vous désirez tout de même une interface jolie et d'aspect moderne."


  5. xfce est un environnement de bureau stable et léger pour divers systèmes UNIX.

  6. linux-lite - distribution basée sur un noyau 1.x.x pour les systèmes ayant seulement 2Mo de mémoire vive et 10Mo de disque dur. Voir ci-dessous pour l'adresse.

  7. SmallLinux est une micro-distribution de Linux et d'utilitaires sur trois disques. Basée sur un noyau 1.2.11. Le disque principal est au format ext2 et a fdisk et mkfs.ext2 pour qu'il soit possible d'installer un disque dur. Utile pour démarrer sur les vieilles machines avec moins de 4Mo de RAM.

  8. cLIeNUX ' distribution Linux orientée utilisation client.

  9. minix , pas un Linux mais un UNIX utile pour les très petits systèmes, comme un processeur 286 MHz et 640Ko de RAM . Il y a même un support X11 appelé mini-x de David I. Bell .

  10. screen - gestionnaire de console tout petit mais puissant. John M. Fisk <fiskjm_AT_ctrvax.vanderbilt.edu> dans LINUX GAZETTE :"It's a GUI, GUI, GUI, GUI world! " , ou c'est ce que vous ferait croire les fabriquants de systèmes d'exploitation les plus importants. La vérité c'est que, même si c'est de plus en plus le cas, il y a des fois où l'interface en ligne de commande (CLI [Command Line Interface]) est un très bon choix pour que les choses se fassent. C'est rapide, efficace en général, et c'est un bon choix pour les machines limitées en mémoire ou en puissance processeur . Et n'oubliez pas qu'il est toujours possible de faire plein de choses très futées en console."

  11. tinyirc ' "Client IRC tout petit et réduit au minimum. N'a pas la plupart des commandes les plus avancées dans la famille ircII des clients IRC ; il n'a pas non plus de couleurs, mais il fonctionne, et il est petit."

  12. La version personnelle d'Emacs de JOVE Jonathan, un éditeur petit mais puissant. .

Les scientifiques du projet ReUse situé à l' Université Technique de Berlin ont récemment comparé la consommation d'énergie de différents ordinateurs tout au long de leur cycle de vie. Pour leur production, les ordinateurs ont, de fait, besoin de 535 kWh ce qui est 10 % de moins qu'il y a 4 ans . Un ordinateur consomme le plus d'énergie quand il est utilisé par exemple au travail , 8h par jour. La consommation d'énergie des nouveaux ordinateurs avec des processeurs à 2,5-3 GHz est toujours de 100 watts même en mode veille, alors qu'un PC à 1,4 GHz a besoin de 80 watts et un PC vieux de 4 ans n'avait besoin que de 60 watts. Ainsi, du point de vue écologique, c'est mieux d'acheter un vieil ordinateur qui n'a pas eu besoin d'énergie pour une nouvelle production et qui consomme moins d'électricité quand il est utilisé.

Les écrans LCD ont besoin de moins d'énergie que les autres écrans. Pour cette raison les ordinateurs portables sont les plus écologiques des ordinateurs comparés. Ils ont besoin de moins d'énergie quand ils sont utilisés. Et les ordinateurs portable de 3 ans sont mieux que les nouveaux étant donné que leurs processeurs ont besoin de moins d'énergie que les nouveaux. Il y a aussi un article dans le magazine informatique allemand C't 21/ 2003.

Il y a aussi de quoi s'informer sur Linux comme moyen de protéger notre environnement dans le Linux-Ecology-HOWTO.

Ce chapitre est dû à Cedric Adjih, même si j'ai apporté quelques petites modifications. A noter : une autre méthode pour avoir une meilleure résolution en mode texte est l'utilisation du pilote framebuffer (comme expliqué dans le chapitre X-Windows plus haut). Cette méthode requiert une reconfiguration du noyau (Certaines distributions de Linux incluent déjà un noyau approprié) et une nouvelle entrée (vga=NNN) dans /etc/lilo.conf. En mode texte, cela fonctionne même avec les BIOS VESA avant la version 2.0, au moins sur les modèles sur lesquels j'ai pu le tester. Cependant la méthode SVGATextMode peut être plus rapide (je n'ai pas encore pu le vérifier).

Un fait apparemment peu connu sur le chipset Neomagic NM20xx est que vous pouvez fonctionner en mode texte en 100x37 (c'est-à -dire 800x600). Ce mode texte est très bien (comparé au mode 80x25 qui est laid). Je l'ai essayé avec un OmniBook 800 d' HP et je suppose qu'il doit fonctionner aussi avec d'autres ordinateurs portables qui utilisent le chipset NeoMagic.

Le problème principal est qu'il est un peu difficile à mettre en place, et si vous vous trompez dans les commandes SVGATextMode ou restoretextmode certains résultats sur le LCD peuvent faire peur. Cependant je n'ai pas réussi à casser mon LCD avec beaucoup d'essais qui se sont mal passés, AVIS DE NON RESPONSABILITÉ : CECI PEUT ENDOMMAGER VOTRE MATÉRIEL. VOUS ÊTES PRÉVENU. SUIVEZ LES INSTRUCTIONS SUIVANTES A VOS RISQUES ET PÉRILS. JE NE SUIS PAS RESPONSABLE EN CAS DE PÉPIN.

Tous les fichiers que j'ai modifiés sont disponibles dès maintenant sur mes pages

Scott Mueller: Upgrading and Repairing Laptops, 2003

De l'éditeur : « Scott Mueller va là où aucun autre auteur de livre informatique n'est allé auparavant, plus loin que les autocollants de garantie , les vices cachés, et le facteur peur, pour produire un véritable manuel de l'utilisateur que chaque possesseur d'ordinateur portable devrait avoir sur son bureau. Ce livre décrit les améliorations que les utilisateurs peuvent faire, celles qu'il vaut mieux laisser au fabriquant, et comment utiliser des périphériques supplémentaires pour tirer le meilleur parti d'un ordinateur portable. Le CD contient une vidéo, et pas n'importe laquelle, qui montre ce qu'il y a à l'intérieur d'un ordinateur portable. » Sur Amazon.

Autre documentation :

Chris Hurley, Michael Puchol, Russ Rogers, Frank Thornton : WarDriving - Drive, Detect, Defend,(administrer, détecter, défendre) A Guide to Wireless Security, 2004 (Guide sur la sécurité du sans fil)

Selon l'éditeur : "Wardriving a réuni une partie des personnes les plus importantes de l'industrie du sans-fil pour élaborer un livre riche en information sur ce qu'est le wardriving et sur les outils qui devraient faire partie de l' arsenal de tous les départements informatiques qui utilisent les technologies sans-fil ou qui pensent les déployer." -John Kleinschmidt, fondateur de Michiganwireless.org La philosophie du WarDriving est d'associer de façon originale loisirs, recherche en sociologie, et évaluation de la sécurité. Circuler en voiture ou à pieds en zone urbaine avec un ordinateur portable équipé wifi pour relever les réseaux sans fils protégés et non-protégés a suscité un débat intense chez le législateur, les professionnels de la sécurité et de l'industrie des télécommunications. Le tout premier livre sur le WarDriving a été écrit selon le point de vue privilégié des créateurs des outils qui rendent le WarDriving possible et de ceux qui rassemblent, analysent et maintiennent à jour les données sur tous les points d'accès sécurisés ou non dans les grandes métropoles de par le monde. Ces initiés fournissent aussi des informations pour sécuriser votre réseau wifi avant qu'il ne soit exploité par des pirates. Les réseaux sans fil sont devenus un mode de vie ces deux dernières années. Au fur et à mesure que le nombre de réseaux mis en place s'accroît, les besoins en sécurité augmentent. Avec ce livre, les utilisateurs de réseaux sans fils ainsi que ceux qui les administrent découvriront quelles sont les failles de sécurité associées aux réseaux sans fils. Cette stratégie s'appelle WarDriving. Pour pouvoir pratiquer le WarDriving avec succès il faut du matériel et des logiciels. Ce livre aborde ces différents outils, ainsi que des estimations des coûts et des recommandations. Comme il y a des centaines de configurations possibles qui peuvent être utilisées pour faire du WarDriving, seules certaines des plus répandues sont présentées pour aider les lecteurs à choisir quoi acheter pour leur configuration personnelle de WarDriving. Beaucoup des outils utilisés pas un WarDriver sont les mêmes que ceux qui pourraient être utilisés par un pirate pour accéder sans autorisation à un réseau wifi. Comme un WarDriver n'est pas fait pour ça, la méthodologie présentée est celle qui relève d'une utilisation éthique. De plus, les applications WarDriving y sont traitées de façon exhaustive, par exemple NetStumbler, MiniStumbler et Kismet, y figurent." Sur Amazon.

Documentation TuxMobil :

Isidor Buchmann : Batteries in a Portable World [Les batteries dans le monde du portable) - A Handbook on Rechargeable Batteries for Non-Engineers, 2001 (Manuel sur les batteries pour ceux qui ne sont pas ingénieurs)

Selon l'éditeur : « Batteries in a Portable World comble un manque évident d'informations pratiques sur les batteries rechargeables. Assez souvent les caractéristiques au niveau performance des batteries et des chargeurs sont données pour des conditions idéales. Les constructeurs réalisent des tests de batteries sur de l'équipement tout neuf et dans un environnement protégé, loin des contraintes d'utilisation quotidienne. . Dans Batteries in a Portable World, Mr. Buchmann s'intéresse aux batteries dans le vie de tous les jours de l'utilisateur habituel. En lisant Batteries in a Portable World, vous comprendrez mieux quels sont les points forts et les limites d'une batterie. Vous apprendrez à prolonger le vie d'une batterie, vous vous familiariserez avec les méthodes d'entretien recommandées et vous saurez comment restaurer une batterie faible, si cela est possible pour ce type de batterie. En sachant entretenir une batterie on prolonge sa durée de vie, on améliore la fiabilité d'un équipement portable et on économise de l'argent. Pour couronner le tout, des batteries qui fonctionnent bien ont besoin d'être remplacées moins souvent, réduisant ainsi les problèmes écologiques de l'élimination des batteries. » Sur Amazon.

Documentation TuxMobil :

Bob Toxen: Real World Linux Security: Intrusion Detection, Prevention, and Recovery 2nd Ed., 2002 (Sécurité Linux du monde réel : détection d'intrusion, prévention, et récupération)

Ce livre comporte un chapitre sur la sécurité mobile. Sur Amazon.

Documentation TuxMobil :

Certains ordinateurs portables ont rencontré plus de succès auprès des utilisateurs de Linux que d'autres. Cette liste n'est probablement pas complète :

Page des inconditionnels du COMPAQ Concerto et Aero-FAQ .

La dernière version du pilote Linux Compaq Concerto Pen est disponible sur la page de Joe Pfeiffer.

Liste de diffusion sur linux-dell-laptops

Information fabriquant pour Linux : DELL

Outil de configuration Linux pour ThinkPad de Thomas Hood tpctl

Faire tourner Linux sur IBM™ThinkPads, pour s'inscrire envoyez un courriel à linux-thinkpad-subscribe_at_topica.com, Pour poster envoyez un courriel à linux-thinkpad_at_topica.com . Voir ici pour des informations.

pilote TrackPoint de Till Straumann.

Pour l'installation sur VAIO via un lecteur CD externe, voir le chapitre Installation plus haut. Pour le Jog-Dial vous trouverez des indications au chapitre Les différentes espèces de souris. Les séries SONY VAIO C1 comprennent des modèles, qui sont basés sur le premier processeur dédié au mobile, le CRUSOE. Le CRUSOE est fabriqué par TransMeta . Chez TransMeta vous trouverez des informations sur la compatibilité des exécutables avec CRUSOE. Le programme Sony PCG-C1XS Picturebook Camera Capture capture des images et des films sur un Sony VAIO picturebook PCG-C1XS, en profitant de la caméra CCD et de l'encodeur JPEG matériel qu'il contient. Il est équipé de capture PPM, JPEG(JPEG matériel), de capture AVI de MJPEG, de capture MJPEG image par image (pour l'encodage MPEG), du réglage de la luminosité, du contraste, etc., et de l'option de sous échantillonage en 1:4.

Deux Guides pratiques HOWTO sont disponibles : Le HOWTO Linux SONY Vaio PCG-C1XD de Philippe CADIC <ccadic_AT_cadic.com>. Et le VAIO-HOWTO au LDP.

Il y a aussi une liste de diffusion Linux sur les VAIO C1 <linux-c1_at_gnu.org>.

La FAQ Sony Vaio C1 essentiellement pour MS-Windows, mais qui contient des informations utiles sur le matériel et une liste de diffusion.

Le démon SONY VAIO SPIC est un petit programme rapide pour créer un apmd qui fonctionne pour les ordinateurs portables Sony VAIO. Il utilise le module du noyau sonypi pour détecter le statut de l'adaptateur de courant alternatif, le rétroéclairage LCD,et cpufreq pour les changements de fréquence du processeur.

spicctrl utilise l'interface du sonypi fournie par /dev/sonypi et le noyau Linux.

Utilitaires Linux Toshiba Ensemble d'utilitaires Linux pour gérer le ventilateur, les mots de passe administrateur, et les raccourcis claviers des notebooks Toshiba Pentium. Il y a également un package KDE Klibreta.

Voir aussi Utilitaires Linux Toshiba

Listes de diffusion : linux-on-portege , Linux sur Toshiba Satellite 40xx linux-tosh-40xx <majordomo_at_geekstuff.co.uk>.

Chez Toshiba, maintenant, on propose même le Support Linux Toshiba (pour le Japon) et le Support Linux Toshiba (pour l'Allemagne) .

Utilitaires de remplacement Linux pour les portables Toshiba. Le package d' utilitaires Linux pour Toshiba comporte des bonus pour ordinateurs portables Toshiba. Des utilitaires pour gérer le ventilateur changer le mot de passe de l'administrateur, régler les modes de batterie/secteur et réassigner la touche fonction <FN> en font partie.

J'aimerais remercier les nombreuses personnes qui m'ont aidé grâce à leurs corrections et suggestions. Grâce à contribution, ce travail est bien meilleur que je ce que j'aurais jamais pu faire seul. En particulier j'aimerais remercier :

  • Tout d'abord Kenneth E. Harker , dont j'ai largement utilisé la page Linux sur les ordinateurs portables pour ce HOWTO, mais sans l'avoir toujours cité mot pour mot.

  • Les autres auteurs de THE LINUX DOCUMENTATION PROJECT - TLDP .

  • Les membres du Linux/IrDA® Project .

  • Les membres de la liste de diffusion Linux-Laptop.

  • Les membres de la liste de diffusion Debian-Laptop.

  • Les membres de la liste de diffusion SuSE-Laptop.

  • Les visiteurs et les personnes qui ont contribué à mon projet TuxMobil .

  • Cedric Adjih , qui a écrit le chapitre sur la puce NeoMagic.

  • Amlaukka

  • Michele Andreoli, responsable de la maintenance de muLinux.

  • Patrick D. Ashmore

  • Ben Attias .

  • Gerd Bavendiek , netenv

  • John Beimler , qui a fourni l'URL de photopc.

  • Henri Bergius

  • Ludger Berse .

  • Stephane Bortzmeyer pour ses suggestions sur la messagerie électronique avec UUCP, l'utilisation de CVS ou autres outils pour synchroniser deux machines, et l'option de montage noatime.

  • Lionel, "trollhunter" Bouchpan-Lerust-Juery

  • Felix Braun .

  • David Burley

  • David Chien

  • Sven Crouse pour les informations sur les pavés tactiles.

  • Eric qui a écrit comment transférer des images depuis une caméra numérique.

  • Ingo Dietzel , pour sa patience envers le projet.

  • Brian Edmonds

  • Peter Englmaier , qui a fourni le chapitre sur une configuration sophistiquée de messagerie électronique.

  • Joel Eriksson , pour les informations sur les ordinateurs portables Atari.

  • Heiko Ettelbrueck

  • Gledson Evers , qui a commencé la traduction en portuguais.

  • Klaus Franken .

  • Guido Germano , pour les informations sur le Macintosh Powerbook 145B.

  • Bill Gjestvang .

  • Andreas Gohr qui a préparé entre autres des parties du chapitre PDA

  • Alessandro Grillo , qui a commencé la traduction en italien.

  • Sven Grounsell TuxHilfe

  • Mikael Gueck

  • Marcus Hagn qui a écrit des astuces pour économiser de l'énergie

  • W. Wade, Hampton , qui a fait beaucoup de vérifications d'orthographe, de grammaire et de style et a ajouté beaucoup d'informations précieuses.

  • Sebastian Henschel qui a, entre autres, preparé des parties du chapitre PDA

  • David Hinds, responnsable de la maintenance du package PCMCIA-CS .

  • Karsten Hopp

  • Scott Hurring

  • JK

  • Uwe SV Kubosch , pour des conseils sur Amiga

  • Jeremy D. Impson qui a fourni des indications pour l'installation sur un Toshiba Libretto 50CT Jeremy D. Impson

  • Adrian D. Jensen , qui a fourni des notes sur les disques durs amovibles.

  • Steven G. Johnson , a fourni la plupart des informations sur les machines Apple/Macintosh m68k et sur LinuxPPC sur le PowerBook.

  • Dan Kegel , m'a montré la page Linux de Toshiba.

  • Michael Kupsch

  • Gilles Lamiral pour avoir fourni le PLIP Install-HOWTO.

  • Sian Leitch , pour ses suggestions sur le style.

  • Stephan Loescher

  • LuftHans , qui a présenté ce HOWTO au responsable de la maintenance du Hardware-HOWTO.

  • Anderson MacKay , RLUG - Rice University Linux User Group , qui a donné beaucoup de recommandations détaillées de toutes sortes.

  • Nat Makarevitch qui a fait des suggestions sur la manière d'utiliser noflushd

  • Jari Malinen , pour son soutien sur HUT Mobile IP.

  • Paul Mansfield , pour la documentation ICQ:13391313 sur les disques durs amovibles

  • Stefan Martig .

  • Marco Michna , de SuSE

  • Harald Milz , de SuSE, qui a fourni de nombreuses informations complémentaires.

  • Emerson, Tom # El Monte , pour son idée sur les sacoches pour ordinateurs portables.

  • Dan Mueth auteur du kmc_utils

  • Louis A. Mulieri , pour l'information sur les disques durs amovibles

  • Nathan Myers , from LL - LinuxLaptops pour de nombreux informations complémentaires.

  • Leandro Noferin , pour avoir relu les parties en italien.

  • Ulrich Oelmann , qui a donné de précieuses informations sur l'installation avec muLinux.

  • Michael Opdenacker, pour les trucs et astuces sur les PDA et son soutien moral Free-Electrons

  • Federico Pellegrin , qui a fourni le chapitre sur l'installation à partir d'un lecteur CD sur le port parallèle.

  • Sean 'Shaleh' Perry, , qui effectue la maintenance Debian de anacron et d'autres packages, pour le soutien côté Debian.

  • Igor Pesando .

  • Benjamin C. Pierce

  • Lucio Pileggi , qui a fourni des informations sur le téléphone portable Siemens S25.

  • Jacek Pliszka , qui a fourni des informations sur des sujets divers, par exemple sur les périphériques USB, et les lecteurs de CD et de disquettes externes.

  • Lorn 'ljp' Potter (Qtopia Community Liaison) qui a apporté des améliorations au chapitre PDA

  • Steve Rader .

  • Bruce Richardson

  • Jaime Robles , qui m'a donné des informations sur le HAM-HOWTO.

  • Pete Rotheroe

  • Simon Rowe

  • Frank Schneider .

  • Hans Schou , pour le FlashPath pour Linux

  • Martin "Joey" Schulze

  • Chandran Shukla .

  • Fabio Sirna qui a fourni un script pour montrer le statut de la batterie en mode console avec ACPI

  • Adam Spiers .

  • Peter Sprenger .

  • Bill Staehle

  • Leon Stok

  • Christian Stolte

  • Peter Teuben , pour ses suggestions sur les disques durs.

  • Bob Toxen .

  • Thomas Traber .

  • Geert Van der Plas , qui a fourni des informations sur le pilote pour pavé tactile inclus dans le GPM.

  • Marcel Ovidiu Vlad .

  • Michael Wiedmann , PIA - X11 based PalmPilot Address Manager , qui a trouvé beaucoup d'erreurs d'orthographe entre autres.

  • Tim Williams , qui m'a montré le gestionnaire de partitions System Commander 2000.

  • Serge Winitzki qui a écrit des recommandations pour diminuer le bruit et/ou économiser l'énergie

  • Richard Worwood

Désolé, mais j'ai sans doute oublié de mentionner tout ceux qui m'ont aidé.

GNU GPL "Que la source soit avec vous ... toujours!"

-- N.N.

Version 1.1, March 2000

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It is requested, but not required, that you contact the authors of the Document well before redistributing any large number of copies, to give them a chance to provide you with an updated version of the Document.

You may copy and distribute a Modified Version of the Document under the conditions of sections 2 and 3 above, provided that you release the Modified Version under precisely this License, with the Modified Version filling the role of the Document, thus licensing distribution and modification of the Modified Version to whoever possesses a copy of it. In addition, you must do these things in the Modified Version:

A. Use in the Title Page (and on the covers, if any) a title distinct from that of the Document, and from those of previous versions (which should, if there were any, be listed in the History section of the Document). You may use the same title as a previous version if the original publisher of that version gives permission.

B. List on the Title Page, as authors, one or more persons or entities responsible for authorship of the modifications in the Modified Version, together with at least five of the principal authors of the Document (all of its principal authors, if it has less than five).

C. State on the Title page the name of the publisher of the Modified Version, as the publisher.

D. Preserve all the copyright notices of the Document.

E. Add an appropriate copyright notice for your modifications adjacent to the other copyright notices.

F. Include, immediately after the copyright notices, a license notice giving the public permission to use the Modified Version under the terms of this License, in the form shown in the Addendum below.

G. Preserve in that license notice the full lists of Invariant Sections and required Cover Texts given in the Document's license notice.

H. Include an unaltered copy of this License.

I. Preserve the section entitled "History", and its title, and add to it an item stating at least the title, year, new authors, and publisher of the Modified Version as given on the Title Page. If there is no section entitled "History" in the Document, create one stating the title, year, authors, and publisher of the Document as given on its Title Page, then add an item describing the Modified Version as stated in the previous sentence.

J. Preserve the network location, if any, given in the Document for public access to a Transparent copy of the Document, and likewise the network locations given in the Document for previous versions it was based on. These may be placed in the "History" section. You may omit a network location for a work that was published at least four years before the Document itself, or if the original publisher of the version it refers to gives permission.

K. In any section entitled "Acknowledgements" or "Dedications", preserve the section's title, and preserve in the section all the substance and tone of each of the contributor acknowledgements and/or dedications given therein.

L. Preserve all the Invariant Sections of the Document, unaltered in their text and in their titles. Section numbers or the equivalent are not considered part of the section titles.

M. Delete any section entitled "Endorsements". Such a section may not be included in the Modified Version.

N. Do not retitle any existing section as "Endorsements" or to conflict in title with any Invariant Section.

If the Modified Version includes new front-matter sections or appendices that qualify as Secondary Sections and contain no material copied from the Document, you may at your option designate some or all of these sections as invariant. To do this, add their titles to the list of Invariant Sections in the Modified Version's license notice. These titles must be distinct from any other section titles.

You may add a section entitled "Endorsements", provided it contains nothing but endorsements of your Modified Version by various parties for example, statements of peer review or that the text has been approved by an organization as the authoritative definition of a standard.

You may add a passage of up to five words as a Front-Cover Text, and a passage of up to 25 words as a Back-Cover Text, to the end of the list of Cover Texts in the Modified Version. Only one passage of Front-Cover Text and one of Back-Cover Text may be added by (or through arrangements made by) any one entity. If the Document already includes a cover text for the same cover, previously added by you or by arrangement made by the same entity you are acting on behalf of, you may not add another; but you may replace the old one, on explicit permission from the previous publisher that added the old one.

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